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Histoire du GLAM

Histoire du GLAM
Groupe de Liaisons Aérienne Ministérielles
Des ailes au service de l’État
Alain Bévillard
Pour des raisons de discrétion dans l’action politique mais aussi pour assurer un maximum de sécurité dans les voyages des présidents, ministres ou secrétaires d’États, le GLAM (Groupe de liaisons aériennes ministérielles) a offert, de 1940 à 1995, une disponibilité de tous les instants. Il a garanti les libertés de manœuvre et de réactivité indispensables au bon fonctionnement de l’État français.

Dans cet ouvrage dévoilant plus d’une centaine d’anecdotes inconnues du grand public, Alain Bévillard nous emmène au cœur de cette unité dédiée au transport des plus hautes autorités de l’État. Rendant hommage à ses serviteurs dévoués, navigants, mécaniciens ou personnels administratifs, tous professionnels de haut niveau, il permet de saisir les valeurs exceptionnelles des équipages d’avions et d’hélicoptères au fil des années.


Un seul mot d’ordre vaut pour tous au travers des décennies : réussir la mission !
L’auteur :
Alain BÉVILLARD, général de corps aérien, titulaire de la croix d’officier de la Légion d’honneur, de commandeur dans l’Ordre national du Mérite, de la médaille de l’aéronautique, totalise 7 000 heures de vol, notamment sur N2501, Transall C160, Mystère XX, Falcon 50 et Falcon 900. De 1986 à 1988, il a commandé le GLAM, unité dédiée au transport des plus hautes autorités de l’état et a été le pilote du Président de la République française, François Miterrand et de Jacques Chirac, alors premier minsitre.
Il a déjà publié la Saga du transport aérien militaire français, de Kolwezi à Masar-e-Sharif et de Port au- Prince à Dumont-D’Urville (l’Esprit du livre, 2008)

Titre : Histoire du GLAM Des ailes au service de l’État
Auteur : BÉVILLARD Alain
Editeur : Editions Privat
Format : 15 x 22 cm, broché
Nombre de pages : 540 pages, 1 cahier quadrichromie de 16 pages
ISBN : 978-2-7089-9262-7
Prix Unitaire : 20€


André Turcat

 André Turcat
Biographie
Pierre Sparaco
André Turcat, né le 23 octobre 1921 à Marseille, est l’un des plus grands pilotes d’essais envol. Diplômé de l’École Polytechnique, il a acquis une notoriété exceptionnelle dès le début de sa carrière grâce aux records mondiaux des démonstrateurs technologiques Gerfaut et Griffon, puis dans les années 1970 et 1980 en qualité de directeur des essais de Concorde. C’est une personnalité rare, pluridisciplinaire, qui a marqué son temps. « Rien ne le destinait pourtant à embrasser une carrière de pilote, et moins encore à prendre place dans le cockpit d’appareils à la pointe du progrès (…), à battre des records mondiaux, à recevoir le prestigieux Harmon Trophy américain des mains de Richard Nixon en 1959 et, plus tard, à prendre les commandes de Concorde. Mais ce ne fut là qu’un début, une première vie (…) son parcours est unique. Et son CV pourrait avoir été rédigé par Jacques Prévert. »
Cet ouvrage retrace minutieusement ses vies multiples, sa longue carrière, au terme de plusieurs dizaines d’entretiens en tête à tête avec Pierre Sparaco, au cours desquels André Turcat a révélé beaucoup de lui-même, même si l’homme ne se « livre » pas facilement. L’ensemble compose un portrait qui souligne la complexité et la richesse tant du personnage que de l’homme public qu’il a été et demeure aujourd’hui.
Le premier vol du Concorde eut lieu à l’aéroport de Toulouse – Blagnac, le 2 mars 1969.
L’Auteur :
Pierre Sparaco est membre de l’Académie de l’air et de l’espace, journaliste, éditorialiste et écrivain. Il a été président de l’Association des journalistes professionnels de l’aéronautique et de l’espace, a reçu le Decade of Excellence Award de la Royal Aeronautical Society britannique, le prestigieux Lyman Award américain pour l’ensemble de sa carrière et le Grand Prix 2006 de l’Aéro-Club de France « pour l’ensemble de son œuvre ». Pierre Sparaco a signé une vingtaine de livres dont un Concorde qui a reçu le Prix Guynemer. Il a publié début 2012 une autobiographie consacrée à ses 50 années de journalisme aéronautique.
Auteur : SPARACO Pierre
Éditeur : Éditions Privat
Date de parution : 11-06-2015
ISBN : 978-2-7089-9254-2
Prix Unitaire : 12,50€

Cazaux Histoire de la base aérienne 120 « Commandant Marzac »

Cazaux

Histoire de la base aérienne 120
 « Commandant Marzac »
Robert Galan
Préfaces du Colonel Laurent Thiébaut et du Général d’armée aérienne Denis Mercier


Ce livre, illustré de plus de 120 photographies inédites, paraît à l’occasion du centenaire de la base aérienne de Cazaux et des 80 ans de l’armée de l’air.
Entre l’océan et l’étang de Sanguinet, dans un cadre paradisiaque, la base aérienne 120 « Commandant Marzac » est une complexe machine de guerre dont ce livre retrace la grande et la petite histoire. L’ouvrage se décompose en 7 chapitres : de la création de la base aérienne au Cazaux du XXIe siècle tout en évoquant le rôle du site dans les deux conflits mondiaux.

Dans une première partie, Robert Galan revient sur la création de la base qui fut un centre d’instruction au tir avant la Première Guerre mondiale, sous l’impulsion du commandant Marzac –
officier aussi clairvoyant dans son appréciation du rôle de l’arme aérienne dans les conflits futurs,
qu’ingénieux lorsqu’il s’agira de faire vivre la base avec les moyens du bord.

Dans les chapitres suivants l’auteur évoque le rôle du site durant la Grande Guerre et la 2ème Guerre
mondiale. « Si au tout début de la guerre, en 1914, le site de Cazaux fut délaissé. » L’été 1915, Cazaux faisait son entrée dans l’histoire de l’aviation en devenant « l’Ecole de tir aérien de Cazaux ». Durant le 2e conflit mondial, « la base n’est pas oubliée dans le plan de bataille français. En mai 1940, l’école devint Ecole de perfectionnement de tir et de bombardement ». Sous l’occupation « rapidement elle devint un camp d’entraînement pour Ergänzungsgruppe JG51 et 54 équipés de Bf-109E. »
Au lendemain de la guerre la base se réorganise : « les groupes de bombardement furent transformés en groupes de transport, les mitrailleurs et navigateurs reconvertis en navigateurs et radiotélégraphistes de bord. (…) Une instruction ministérielle porta création de l’École de mitrailleurs, navigateurs et bombardiers sous le nom de base école 2/706. »

Mais ce n’est qu’en 1962 que le site deviendra base aérienne BA 120. La guerre froide est alors une réalité et la base un élément de l’éventuelle riposte nucléaire. Elle accueille les Mirage IV porteurs de l’arme nucléaire, le Centre d’études et d’instruction des armes nucléaires, biologiques et chimiques et organise des campagnes de tir aérien où les aviateurs s’exercent avec des munitions réelles. Plus tard, s’ajouteront les escadres de chasse et leurs célèbres Alpha Jet, un escadron d’hélicoptères et l’étonnant Squadron des forces aériennes Singapouriennes.
« Cent ans ont passé depuis que le Capitaine Marzac a découvert, (…), le site dans lequel allait se
nicher, puis croître et s’épanouir, la base de Cazaux. Le site n’a pas changé… ». Pourtant la base aérienne de Cazaux est devenue la plus grande base aérienne de France, et une composante incontournable de l’économie du secteur.

Cazaux Histoire de la base aérienne 120 « Commandant Marzac »
Robert Galan
Editions Privat
143 pages – 24,50 €TTC
ISBN : 978-2-7089-9248-1


Histoire de l’armée de l’air et des forces aériennes françaises du XVIIIe siècle à nos jours

Histoire de l’armée de l’air
et des forces aériennes françaises

du XVIIIe siècle à nos jours
Sous la direction de Jean-Marc Olivier

Cet ouvrage paraît à l’occasion des 80 ans de l’armée de l’air française.
Cet ouvrage de Claude Carlier, Sylvain Champonnois, Pascal Gaste, Claire Juilliet, Éric Mahieu, Jean-Marc Olivier et Gaëtan Sciacco constitue une référence pour tous ceux qui veulent se plonger dans« cette épopée fascinante que représente l’histoire des forces aériennes françaises, dont l’histoire de l’armée de l’air est indissociable ».
Pour Jean-Marc Olivier : « Cette nouvelle histoire des forces aériennes françaises se veut la plus totale possible afin de mieux comprendre comment la France a pu conserver un rang élevé dans la
hiérarchie des forces aériennes mondiales pendant plus d’un siècle. Cette question du maintien à un
haut niveau des forces aériennes constitue un fil directeur (…) dans cet ouvrage. »
Si l’histoire trouve ses racines dès le XVIIIe siècle avec les premiers ballons destinés l’observation
aérienne. C’est « dès le début du XXe siècle que l’aviation militaire va véritablement prendre son essor. Forts de leur esprit d’innovation, (…) des Français vont relever les défis les plus insensés (…). Ils vont donner à la France les fondements d’une aviation militaire qui deviendra vite un exemple dans le monde entier (…)», comme le rappelle le Général d’armée aérienne Denis Mercier.
En 1909, le pays de Blériot dispose déjà d’appareils opérationnels. Lors de la Première Guerre
mondiale, l’aviation devient la 5e arme du dispositif militaire français et « au sortir de la guerre, l’armée française victorieuse dispose d’un énorme parc aérien.(…) En 1919, la force aérienne française est la première au monde. », comme le souligne Eric Mahieu. Mais au fil du temps, les appareils français perdent leur suprématie face aux avions produits par les autres pays et à la fin des années 1920, la France possède une aviation mal adaptée à ses besoins futurs.
« La fin des années 1920 et le début des années 1930 ont marqué l’institutionnalisation et la création effective d’une armée de l’air indépendante ». Claire Juilliet souligne la « hausse de l’intervention de l’Etat et du pouvoir politique dans la définition des missions qui sont dévolues à l’armée de l’air dans l’organisation de l’industrie aéronautique. »

Le livre traite également de l’armée française dans la seconde guerre mondiale. Au début du conflit la politique aérienne de la France apparaît « ambitieuse et raisonnée » mais errances stratégiques et tactiques, entre autres, ne permettent pas de construire une armée de l’air performante. L’armistice marque « une volonté réelle de l’Allemagne de briser cette armée ». Et à la sortie du conflit, l’industrie aéronautique a pris un retard important.

Sylvain Champonnois et Claude Carlier évoquent l’après-guerre qui est marqué par trois innovations : la bombe atomique, le missile balistique et l’avion à réaction, trois mutations stratégiques fondamentales. Et c’est dans les années 1960, en accédant à la capacité nucléaire, que la France s’affirme comme la troisième puissance à la surface du globe.

Durant la période qui suit (1975-1991), il est nécessaire de faire évoluer la situation « pour rétablir un certain équilibre entre dissuasion nucléaire, (…), et forces de combat classiques », comme le souligne Gaëtan Sciacco. Il aborde dans un dernier chapitre, la nécessité d’adapter la force aérienne au nouveau contexte géopolitique et économique.
Cet ouvrage prouve combien ces quatre-vingts années d’existence de l’armée de l’air sont une chance pour la France et montre comment une passion constante pour la conquête de l’air a su donner naissance à l’armée de l’air française, corps de défense décisif pour la protection de l’espace aérien national et international.
Références du livre :
Histoire de l’armée de l’air et des forces aériennes françaises du XVIIIe siècle à nos jours
Sous la direction de Jean-Marc Olivier
Parution le 26 juin 2014
Editions PRIVAT
Collection : Histoire
550 pages – 23 €TTC Prix de lancement jusqu’au 19 juillet inclus : 12 €
ISBN : 978-2-7089-5252-2

Guide de la France aéronautique

Voilà une bonne idée….
Un livret de 220 pages qui regroupe tout les bons plans classé par région.
On en a rêvé, Magali REBEAUD l’a fait, il est édité chez Privat.
Préface du Commandant Gérard FELDZER (Ancien Président de l’Aéroclub de France. Directeur du Musée de l’Air – Le Bourget).
Imaginez un Guide Vert, ou bien le routard de l’aéronautique, vous avez les bons plans, les adresses des bases aériennes et leur numéro de téléphone, les conditions d’admission, les sites de préservation du patrimoine aéronautique.

Un guide a avoir absolument dans la voiture ou dans son aéronef afin de lier l’utile à l’agréable.

Prix : 17 euros !
Editions Privat