FK9 testé l’été dernier par la gendarmerie @Pascal Ballut |
Durant l’été dernier, dans le cadre d’un dispositif renforcé de sécurisation du chantier de construction de la ligne très haute tension Maine-Cotentin, la Gendarmerie Nationale a pu tester pendant un mois l’intérêt d’utiliser en mission opérationnelle un ULM. Cet ULM de type FK9 a été principalement employé pour des missions de surveillance et d’observation ou encore de reconnaissance de zone.
60 heures de vol ont étés effectuées sur toute la longueur du chantier permettant de transmettre en temps réel un certain nombre de renseignements opérationnels au centre d’opérations et de renseignement de la gendarmerie et au poste de commandement opérationnel installé à Saint-Lô (Manche).
L’ULM s’avère être un outil d’observation économique (14 litres/heure), rapide et discret (peu de bruit, livrée civile), donc bien adapté à l’action de la GTA (Gendarmerie des Transports Aériens). Dans un même temps, sa faible vitesse en configuration d’atterrissage lui permet de se poser sur des terrains de moins de 300 m et sa vitesse de croisière supérieure à 200 km/h lui permet de s’intégrer au trafic d’aérodromes plus importants sans gêner. Cette souplesse d’utilisation permettrait d’augmenter la fréquence de surveillance des aérodromes, nombreux et distants des brigades de GTA, et de faciliter les contacts avec les usagers des aérodromes secondaires.
L’ULM pourrait être un outil complémentaire de l’hélicoptère qui seul permet le vol et l’observation de nuit, l’observation en stationnaire et l’emploi d’équipements sophistiqués (caméra, phare,etc.)
60 heures de vol ont étés effectuées sur toute la longueur du chantier permettant de transmettre en temps réel un certain nombre de renseignements opérationnels au centre d’opérations et de renseignement de la gendarmerie et au poste de commandement opérationnel installé à Saint-Lô (Manche).
L’ULM s’avère être un outil d’observation économique (14 litres/heure), rapide et discret (peu de bruit, livrée civile), donc bien adapté à l’action de la GTA (Gendarmerie des Transports Aériens). Dans un même temps, sa faible vitesse en configuration d’atterrissage lui permet de se poser sur des terrains de moins de 300 m et sa vitesse de croisière supérieure à 200 km/h lui permet de s’intégrer au trafic d’aérodromes plus importants sans gêner. Cette souplesse d’utilisation permettrait d’augmenter la fréquence de surveillance des aérodromes, nombreux et distants des brigades de GTA, et de faciliter les contacts avec les usagers des aérodromes secondaires.
L’ULM pourrait être un outil complémentaire de l’hélicoptère qui seul permet le vol et l’observation de nuit, l’observation en stationnaire et l’emploi d’équipements sophistiqués (caméra, phare,etc.)
La Gendarmerie renouvellera l’expérience en 2013 en axant principalement les missions sur les activités GTA.
Crée en 1953, La Gendarmerie des Transports Aériens fête cette année ses 60 ans d’existence.
Crée en 1953, La Gendarmerie des Transports Aériens fête cette année ses 60 ans d’existence.
Source des informations :
Ma passion, l’ avion : http://pascal-avion.blogspot.fr
Le mensuel de la DGAC : Aviation civile Magazine : n° 366 – Avril 2013
Le magazine interne du ministère de l’intérieur : Civique numéro 211 décembre 2012
TAG Magazine N°13 Novembre-Décembre 2012
Le mensuel de la DGAC : Aviation civile Magazine : n° 366 – Avril 2013
Le magazine interne du ministère de l’intérieur : Civique numéro 211 décembre 2012
TAG Magazine N°13 Novembre-Décembre 2012