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Decollage L-39 Albatros à Reims en Champagne

Décollage en douceur à Reims en Champagne du L39 Albatros LX-STN ©Xavier Cotton

Hier de passage au terrain de Prunay, ah non pardon !  j’oubliais que l’aérodrome de Reims-Prunay s’appelle désormais Reims en Champagne, cela fait quand même plus sérieux même si la distance disponible au décollage (TODA) indiquée sur la carte VAC n’est que de 1100m. Ceci étant dit, si c’est largement suffisant pour les avions d’aéroclub style DR400, C172 et autre PA28, cela semble l’être aussi pour ce L39 Albatros de la patrouille Sparflex qui était en ligne de vol avant même la moitié de la piste. Sur la photo ci-dessus juste après décollage le LX-STN amorce son virage au cap 270 comme indiqué par la procédure en piste 25 afin d’éviter le survol du site FRANGAZ et du village de Puisieulx.

Vous pouvez voir plus de de photos de cet avion en allant voir l’album « L-39 Albatros Patrouille Sparflex » sur ma galerie Flickr : https://www.flickr.com/photos/passiondesavions/


l’Adjudant-Chef Sahuc sur Potez 25 lors de la Coupe Bréguet 1927

Adjudant-Chef Sahuc devant son Potez 25 à l’occasion de la Coupe Bréguet 1927 ©Jacques Hémet

Merci à Jacques Hémet de nous faire partager les richesses de sa collection privée. Grâce  à BnF-Gallica voic ce qu’on peut lire dans la Revue Bi-mensuelle L’Air N°191 du 15 octobre 1927 page 13 sous la rubrique « d’une quinzaine à l’Autre » :

« La période automnale incite beaucoup d’équipages, avant de replier leurs ailes pour la saison d’hiver, à entreprendre d’importants voyages. Lorsque paraîtront ces lignes sans doute de nouveaux exploits auront-ils été accomplis et nous attendons beaucoup de certains projets français, sérieux. La quinzaine nous permet en outre d’enregistrer plusieurs voyages de grande envergure. Une mention spéciale doit être accordée aux résultats obtenus par l’adjudant-chef Sahuc dans la Coupe Bréguet. Ah ! si l’on confiait à certains de nos équipages militaires le soin de faire briller leurs cocardes tricolores au loin, je vous assure que nous aurions souvent l’occasion de nous enthousiasmer. Mais ils sont trop souvent considérés comme n’ayant pas le droit de dépasser les limites de la grande volière qu’est la France.

L’adjudant Sahuc détenteur de la Coupe Breguet

La Coupe Breguet devant venir à échéance le 31 Octobre, la lutte est de plus en plus sévère pour le classement, et les performances s’améliorent sans cesse. C’est ainsi qu’au cours d’un essai fait du 28 Septembre au Ier Octobre, l’adjudant-çhef Sahuc, a élevé de près de 8 kilomètres la moyenne réalisée jusqu’alors.

Il prenait le départ, le 28 Septembre,  du Bourget, à 12 h 40 et y revenait à 17 h 31m ayant bouclé le circuit Paris-Metz-Dijon-Metz-Paris, soit 973 kilomètres en 4 h. 51 m., ce qui donne lune moyenne officielle de 207 km 190 à l’heure, déduction faite des 10 minutes officiellement retranchées.

Le 29 Septembre, départ à 12 h. 14 m., retour à 17 h. 31 s, soit 211 km. 960 à l’heure.

Le 30 Septembre, départ à 12 h. 6 min 6 s, retour à 16 h. 54 min. 56 s., à l’allure de 208 km. 756.

Le 1er Octobre enfin, pour le dernier tour de l’épreuve, départ à 9 h. 51 m. 34 s., retour à 14. h. 44 m. 34 s. 4/5, soit 206 km. 636 à l’heure.

La moyenne générale était donc de 208 km. 636. Mais la bonification résultant des quatre parcours réalisés dans le minimum de jours, par des conditions atmosphériques peu favorables, notamment le 29 Septembre et le 1er Octobre, portait la moyenne réalisée au cours de l’épreuve à 215 km. 101 à l’heure.

L’adjudant-chef Sahuc à bord de son Potez 25 lors de la coupe Bréguet 1927 ©Jacques Hémet

Sahuc prenait ainsi la première place du classement provisoire, devant le lieutenant Lasalle, qui avait obtenu une moyenne de 207 km. 935.

Sahuc avait remporté la Coupe Bréguet en 1925 et s’y était classé 4e en 1926. Il avait, le mois dernier, réalisé un très beau raid de propagande de près de 5.ooo kilomètres à travers les pays baltes avec le capitaine Lahorie.

Dans toutes ces performances, il montait un avion Potez 25 entoilé et verni à l’Avionine muni d’un moteur Lorraine démultiplié.

Désirant faire mieux encore, Sahuc repartait le 7 Octobre dans l’espoir d’améliorer son temps ou tout au moins de s’attribuer une nouvelle place de lauréat au classement : reprenant le même circuit Paris-Metz-Dijon-Metz-Paris, il partait du Bourget à 11 h. 47 et y rentrait à 16 h. 38 min. 9 s., après une montée à 4.000 mètres. Il réalisait la moyenne horaire de 207 km. 746. Le lendemain, parti à 11 h. 3 m. 3 s. 1/5, il était de retour à 15 h. 57 m. 39 s. 3/5, avec une montée à 3.000 mètres, soit 205 km. 230 à l’heure.

Le 9 Octobre, Sahuc quittait le Bourget à 10 h. 13 m. et y rentrait à 15 h. 2 m. 29 s., avec montée à 2.000 mètres. La moyenne était de 209 km. 279.

Le quatrième parcours était effectué à 2.000 mètres d’altitude et à une moyenne de 210 km. 904 à l’heure. Avec la bonification supplémentaire de 3 % de régularité, la moyenne générale était de 214 km. 537, inférieure de 500 mètres seulement à celle de la précédente performance. L’adjudant Sahuc devenait donc 1er et 2e du classement provisoire.

Le capitaine Wizen, dans une tentative. effectuait, le 10 Octobre, son premier parcours à 206 km. 114 à l’heure, le record, le lendemain, à 215 km. 126 de moyenne, sur Bréguet 19.

Sources :

Revue Bimensuelle L’Air N°191 du 15 octobre 1927

Jacques Hémet


Atterrissage délicat par vent de travers

 Déposé sur YouTube par HvdH-Plane-Spotter, cette vidéo montre combien les pilotes de ce  Dash8 Q400 (D-ABQD) ont du se battre avec les commandes de l’avion pour le poser  sans encombre sur la piste à Dusseldorf en Allemagne. L’atterrissage de ce vol  d’Eurowings en provenance de Bologne en Italie a eu lieu le 18 janvier dernier alors que sévissait la tempête Friederike responsable de la mort de neuf personnes. Le vent soufflait avec des rafales atteignant 63 Kt soit 110Km/h et plus de 20 avions avait préféré avorter leur tentative d’atterrissage et remettre les gaz. Bravo à tous ces pilotes quelques soient leur décisions, ils ont fait du bon boulot.

Spitfire la Légende d’Alain Pelletier

LE SPITFIRE, UN AVION DONT LA NOTORIÉTÉ N’A FAIT QUE CROÎTRE AU FIL DES ANNÉES, AU POINT D’ÊTRE AUJOURD’HUI DEVENU L’AVION INCONTOURNABLE DE L’HISTOIRE DE L’AVIATION.

il s’est illustré dans plusieurs batailles marquantes de la Seconde Guerre mondiale, comme la bataille d’Angleterre, le siège de l’île de Malte ou encore la défense contre les V-1et a équipé les aviations renaissantes de différents pays, dont la France. Aujourd’hui, le Spitfire est l’objet d’une passion dont la flamme n’est pas prête de s’éteindre. Grâce à l’action de nombreux collectionneurs, le Spitfire participe à de nombreux meetings aériens où il fait immanquablement jaillir un moment d’émotion intense parmi le public venu le voir. Le lecteur découvrir a dans cet ouvrage plus de 250 photographies, des graphiques, des ca tes ainsi qu’un tableau synoptique complet des unités de la RAF ayant volé sur Spitfire , l’inventaire complet des pays ayant utilisé le Spitfire et un chapitre dédié à leur utilisation par l’armée de l’Air et l’Aéronavale française.

Ce livre exhaustif des modèles de Spitfire ambitionne de faire connaître l’histoire de cet avion et de ses exploits, dont certains sont devenus légendaires.

L’AUTEUR
Alain pelletier est passionné par l’histoire de l’aviation depuis plusieurs dizaines d’années. il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages relatifs à l’aéronautique, parus en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Avec La légende Spitfire, il signe son sixième titre aux éditions E.T.A.I. après Boeing, géant de l’aéronautique de 1916 à nos jours, Histoire mondiale des avions de ligne depuis 1908, Haute voltige, histoire de l’acrobatie aérienne, Courses aériennes, l’âge d’or de l’aviation et Les filles d’Icare, histoire mondiale des aviatrices.

Titre :Spitfire la légende
Auteur : Alain Pelletier
Nombre de pages : 192
Photos : 255 couleurs
Format : 240 x 290 mm
ISBN : 979 10 283 0241 2
Prix public : 49,00€ TTC


Rumpler et LVG et DFW C exposés dans cours des invalides en 1917

Deux avions exposés dans la cours de l’hôtel national des Invalides :  Rumpler C.I 4525/15 de la FA(A) 273  et au fond DFW C.V(LVG)    (collection privée Jacques Hémet)

Pour cette photo prêtée par Jacques Hémet c’est de nouveau Christophe Cony, rédacteur en chef de la revue « AVIONS » qui indiqué ces informations concernant les deux avions exposées à partir du 3 juillet 1917 dans la cour de l’hôtel national des Invalides

Au premier plan on trouve le Rumpler C.I 4525/15 de la FA(A) 273 posé par erreur à Fismes-La Cense (Marne) le 23 janvier 1917 (équipage prisonnier : Ltn. Hans von Stockhorn, pilote, et Ltn. Heinrich von Unruh, observateur) ; à l’arrière de la photo et sur celle ci-dessous, le DFW C.V(LVG) 5155/16 capturé à Dannemarie (Haut-Rhin) par le Sgt Edmond Pillon (3e v.), un futur as de la N 82, le 24 avril 1917. A l’origine de couleur toile, le Rumpler sera camouflé par les Français avant le 2 août 1917.

DFW C.V(LVG) 5155/16 (collection privée Christophe Cony)


17 eme victoire de Georges Madon

Rumpler C.IV contraint à se poser à Passavant-en-Argonne le 24 octobre 1917

Merci à Christophe Cony, rédacteur en chef de la revue « AVIONS » a qui je dois l’explication de cette photo` :

« Cet avion est un Rumpler C.IV, dont le numéro de série exact est C.8302/16. C’est la 17e victoire confirmée de l’as Georges Madon de la N 38, qui a contraint son pilote (Hans Villinger) à se poser à Passavant-en-Argonne le 24 octobre 1917. Sur ce cliché, l’appareil est exposé devant la porte Sainte-Croix de Châlons-sur-Marne, avec derrière lui la mère, la sœur et la future femme de l’as… »

 


Accès direct aux revues aéronautiques sur BNF Gallica

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C’est grâce au partenariat entre l’association du Musée Air France et La Bibliothèque nationale de France que s’est concrétisé  la numérisation de  nombreuses revues aéronautique mises en ligne sur Gallica. Cette collection de périodiques aéronautiques est désormais accessibles par des liens directs grâce au document PDF ci-dessus produit par le musée Air-France ce qui sera une aide précieuse pour les historiens de l’aviation.

Sources :

Musée Air France : http://www.airfrancemusee.org
Bibliothèque nationale de France : http://www.bnf.fr/
Gallica : http://gallica.bnf.fr


une application et un nouveau site pour AIRcontact

Depuis juillet 2004, tous les mois, Géraldine Galland et Véronique Barraud, passionnées du « monde de l’air », éditent une version papier d’AIRcontact offrant une multitude d’annonces dans le domaine de l’aviation légère et sportive. 4 000 exemplaires sont envoyés aux clubs et aux professionnels du secteur. La version numérique du journal est quant à elle diffusée auprès de 15 000 pilotes, par courriel ainsi que sur Facebook et Twitter.

Aujourd’hui, AIRcontact devient une plateforme unique d’annonces : 1 application smartphone + 1 site web + 1 journal papier et numérique. Toutes les annonces postées sur www.air-contact.com peuvent être relayées sur l’édition papier, mais aussi sur Facebook et sur Le Bon Coin. Voilà une formule sans pareille pour augmenter ses chances de bien vendre et bien acheter dans le domaine de l’aviation légère et sportive !

Concrètement sur AIRcontact dont le succès ne s’est pas démenti ces dernières années, vous pouvez vendre ou dénicher : des appareils neufs ou d’occasion (avions, hélicoptères, planeurs, pendulaires, autogires, multiaxes, montgolfières, deltaplanes, parapentes, paramoteurs, parachutes, modèles réduits, drones, kites, cerfs-volants), des pièces détachées, des accessoires, des services, des offres et demandes d’emplois et de formations (avec la présentation des écoles), des annonces de manifestations, etc.

AIRcontact offre également un outil unique et gratuit qui référence plus de 6000 professionnels, clubs et associations. Cet annuaire, véritable mine d’or, est à votre disposition sur le site et sur l’application.

Grâce aux liens tissés depuis presque 15 ans dans le domaine de l’aviation légère et sportive, Géraldine et de Véronique visent aujourd’hui à rassembler une communauté de professionnels, d’amateurs et de passionnés autour d’échanges et de bons plans !

Application AIRcontact disponible sur  Apple store (Iphone, Ipad) ou Google Play (Android)
www.air-contact.com

 


D’azur et de sable de Marcel Migeo

Un récit exceptionnel d’une brûlante actualité

Marcel Migeo est un grand nom de l’époque héroïque de l’aviation, même s’il n’a pas la notoriété d’un Mermoz, d’un Guillaumet ou d’un Saint-Exupéry, qu’il a d’ailleurs connus tous les trois. Refusant une vie toute tracée de fonctionnaire au Ministère des Finances, il choisit l’aéronautique militaire par goût de l’aventure et des voyages. En janvier 1923, il part pour la Syrie, affecté comme pilote de chasse à la 53e escadrille du Levant basée à Deir ez-Zor. Sur Breguet XIV, il va participer aux opérations de « pacification » de la Syrie, y gagnant la Croix de guerre et la Médaille du Levant avec barrette.

Chaque jour, il a noté sur son inséparable carnet de moleskine les faits marquants de son quotidien : les missions aériennes, ses relations avec la population, sa découverte des villes et paysages de Syrie. Ces notes ont donné naissance à un manuscrit, inédit jusqu’à aujourd’hui.

Devenu assureur dans sa ville natale de Reims, Marcel Migeo a écrit une dizaine de livres, dont la majorité consacrée à l’aviation. On lui doit ainsi des récits de guerre, comme Batailles dans le ciel (Grand Prix littéraire de l’Aéro-Club de France) et des biographies de Saint-Exupéry, Henri Guillaumet, Maryse Bastié et Didier Daurat. Près de cent ans après, ses écrits sur la Syrie – nous retrouvons Alep, Palmyre, Raqqa et Deir ez-Zor – prennent une résonnance toute particulière et étonnamment actuelle, alors que ce pays est déchiré par une guerre civile qui a pris une dimension internationale.
Ce document exceptionnel inaugure la toute nouvelle collection des éditions Heimdal, Les Ailes de l’Histoire, consacrée aux personnages et faits majeurs de l’épopée aéronautique.
Le journaliste et écrivain Patrick Poivre d’Arvor, rémois lui aussi, préface cet ouvrage par fidélité à la mémoire de Marcel Migeo, qu’il a connu et dont les récits de jeunesse passionnés ne sont pas étrangers à la passion qu’il a développée, à son tour, pour les temps héroïques de l’aviation.

Editions HEIMDAL
Titre : D’azur et de sable, un aviateur français en Syrie en 1923
Auteur : Marcel Migeo
Broché, 256 pages,
cahier photos de 8 pages.
19,50 €
Sortie en décembre 2017


Epern’air Show à la recherche d’avions de la 1ere Guerre Mondiale

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Rappelez-vous le fabuleux plateau du meeting de 2015 à Epernay-Plivot , son organisateur Epern’Air Show prévoit un meeting pour fêter le centenaire de l’évacuation d’Épernay par les allemands  qui a eu lieu le 14 juillet 1918

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Albatros C2 et Fokker DR1La Ferte-Alais 2015 @Xavier Cotton

Le 14 juillet dans la nuit, le corps franc de DARNAND fait un coup de force dans un état-major à 800m dans les lignes ennemies, et récupère les plans de l’invasion du lendemain. Le 15 juillet c’est l’offensive allemande, ils traversent la Marne à Dormans. Ils sont repoussés avec l’aide des italiens dont le QG est à Hautvillers, des américains et des anglais, la victoire sera au bout. C’est cette deuxième bataille de la Marne que  l’aéroclub LES AILES SPARNACIENNES a choisi comme thème pour des expositions et animations en mai-juin-juillet 2018, qui se clôtureront par un important meeting aérien sur deux jours autours du 14 juillet 2018, A noter que l’entrée sera de nouveau gratuite ce qui est exceptionnel pour un meeting aérien de cette envergure

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Caudron G3 La Ferte-Alais 2015 @Xavier Cotton

Avec l’aide des « Poilu de la Marne », l’aéroclub « LES AILES SPARNACIENNES » organisera  un bivouac avec les poilus, des démonstrations d’artillerie avec le canon de 75 mm. Des véhicules de collection et du matériel d’époque sera également présenté.
Au cours du spectacle aérien, des avions répliques, des biplans d’époque, des modèles réduits seront présentés en évolution. Une demande de participation de la « Patrouille de France » est en cours auprès de l’état-major, ce qui constituerait l’évènement clef du meeting.
S’agissant d’une manifestation « de grande importance », selon les critères retenus par la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile),  il est nécessaire qu’un meeting aérien de moyenne importance  soit organisé en 2017.

Mais pour réussir  cette commémoration aéronautique, l’aéroclub « LES AILES SPARNACIENNES » fait appel à tous les propriétaires d’avions ou répliques d’ avions de la 1ere guerre mondiale de bien vouloirs participer au plateau du meeting aérien d’Épernay 2018. et surtout de prendre contact avec l’aéroclub d’Épernay  à cette adresse epernairshow@gmail.com ou en téléphonant au 03 26 57 64 04