Jules Vedrines (en combinaison et casque en cuir) et son Morane-Saulnier Type N
(photo collection privée Xavier Cotton)
Jules Védrines est né à Saint-Denis en 1881, il obtient non sans mal un brevet de pilote en 1910.
Entre 1910 et 1914, il participe aux grandes courses aériennes en France puis en Europe.
En 1912, il participe pour la première fois à la course Paris-Madrid, qu’il remporte en terminant seul concurrent.
ll a gagné la coupe Gordon-Bennett en Amérique, en battant le record de vitesse à 167,8 km/h, le 9 décembre 1912
En 1913, enfin, il effectue plusieurs raids en Europe centrale puis un Paris-Le Caire.
Jules Védrines est une immense vedette de l’aviation d’avant-guerre, qui déplace des dizaines de milliers de personnes lorsqu’il est annoncé sur un terrain.
Entre 1910 et 1914, il participe aux grandes courses aériennes en France puis en Europe.
En 1912, il participe pour la première fois à la course Paris-Madrid, qu’il remporte en terminant seul concurrent.
ll a gagné la coupe Gordon-Bennett en Amérique, en battant le record de vitesse à 167,8 km/h, le 9 décembre 1912
En 1913, enfin, il effectue plusieurs raids en Europe centrale puis un Paris-Le Caire.
Jules Védrines est une immense vedette de l’aviation d’avant-guerre, qui déplace des dizaines de milliers de personnes lorsqu’il est annoncé sur un terrain.
Mobilisé en 1914 dans la nouvelle armée aérienne, ses talents vont lui permettre de développer de nouvelles pratiques aériennes.
le 19 Janvier 1919 , il atterrit sur le toit des Galeries Lafayette à Paris .
Il s’est tué à 38 ans, le 21 Avril 1919, avec son mécanicien Guillain, à St Rambert d’Albon (Drôme), lors d’un raid Paris-Rome, à bord d’un bimoteur Caudron C-23 rempli de 1600 litres d’essence.
à lire : La vie d’un aviateur par Jules Védrines
le 19 Janvier 1919 , il atterrit sur le toit des Galeries Lafayette à Paris .
Il s’est tué à 38 ans, le 21 Avril 1919, avec son mécanicien Guillain, à St Rambert d’Albon (Drôme), lors d’un raid Paris-Rome, à bord d’un bimoteur Caudron C-23 rempli de 1600 litres d’essence.
à lire : La vie d’un aviateur par Jules Védrines