Category: Centenaire

DIJON : UNE « SEMAINE GUYNEMER » EN HOMMAGE AU PLUS ILLUSTRE DES AS !

Affiche_expositio_Guynemer

La base aérienne 102 de Dijon, entrée en service au printemps 1914 et qui sera dissoute le jeudi 30 juin prochain après cent deux années d’existence, célébrera à la mi-mai les cent ans de la venue à Dijon, le 13 mai 1916, du pilote dont elle porte le nom depuis un demi-siècle, l’as de guerre aux 53 victoires certifiées Georges Guynemer (1894-1917), entré au Panthéon en 1922. Cette semaine – qui se déroulera du lundi 9 au samedi 14 mai – sera organisée en lien avec de nombreux partenaires locaux : la Ville de Dijon et les Archives municipales, le Conseil départemental de la Côte-d’Or, les Archives départementales, la ville de Longvic, la commune d’Ouges, etc.

Lundi 9 mai
Lancement de la semaine par M. François Rebsamen, maire de Dijon.
Exposition « Dijon vu du ciel pendant la Grande Guerre » (visible jusqu’au 14 mai) présentée par les Archives municipales et organisée dans le cadre du projet labellisé du Centenaire de la Ville de Dijon.

Dijon, Cellier de Clairvaux, à 10 heures (sur invitation).

Mercredi 11 mai
Vernissage de l’exposition « Un as pour parrain » (visible jusqu’au 24 juin) présentée en partenariat avec le conseil départemental de la Côte-d’Or, en présence de M. François Sauvadet, président du conseil départemental.

Dijon, Archives départementales, hôtel du Chancelier Rolin, à 19 heures (sur invitation).

Affiche conférence à Ouges du jeu 12 mai 2016

Jeudi 12 mai
Conférences données par M. Frédéric Lafarge, historien et délégué au patrimoine de la BA 102 (« A la vie, à la mort : Guynemer, le plus illustre des as de guerre »), et M. Jean-Marc Binot, journaliste et historien (« Le mystère de Poelcapelle »).

Ouges, salle des fêtes, à 20 heures (entrée libre et gratuite).

Georges Guynemer, porte drapeau, sur l'actuelle base 102 de Dijon, le 13 mai 1916

Georges Guynemer, porte drapeau, sur l’actuelle base 102 de Dijon, le 13 mai 1916

Vendredi 13 mai
Cérémonie militaire du centenaire de la venue de l’as Georges Guynemer à Dijon, sous la présidence du général d’armée aérienne André Lanata, chef d’état-major de l’Armée de l’air.

Base aérienne 102 d’Ouges-Longvic, monument Guynemer, à 14 heures (sur invitation).

Affiche de l'événement philatélique en JPG (déf.)

Samedi 14 mai
Mise en vente de deux souvenirs philatéliques de la cérémonie de présentation du drapeau de l’Aviation militaire du 13 mai 1916 : bloc de quatre timbres à l’effigie de l’as et enveloppe souvenir avec timbre personnalisé et timbre à date. Longvic, médiathèque Michel Etiévant, de 14 heures à 17 h 30 (accès libre).

Semaine Guynemer (lun 9 au sam 14 mai 2016) - Logo seul

A noter…
Un recueil de 20 pages édité par la BA 102 sur le thème de l’as Georges Guynemer sera offert aux participants des différentes manifestations organisées sur la semaine (préface du colonel Réal, commandant de la BA 102).

Le magazine bimestriel « Bourgogne Magazine » et la revue trimestrielle « Pays de Bourgogne », partenaires, consacreront plusieurs pages à l’as (numéros à paraître en avril).

L’exposition virtuelle est désormais visible sur le site internet des archives départemental de la Côte-d’or : http://www.archives.cotedor.fr/cms/home/activites-culturelles/les-expositions/exposition-guynemer.html

Pour tout renseignement :

Service des relations publiques de la base aérienne 102  (tel 03 80 69 51 56).


Il y a 100 ans : la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation

La victoire aérienne remportée le 5 octobre 1914 par le pilote Joseph Frantz et l’observateur Louis Quenault, vue par l’artiste Paul Lengellé (fait « peintre officiel du ministère de l’air » en 1936).

C’est dans le ciel de la Champagne que, il y aura tout juste cent ans dans quelques jours, s’est déroulée la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation, événement fondateur que la Marne, comme l’Armée de l’air, s’apprêtent à célébrer. Dans la matinée du 5 octobre 1914, un appareil allemand était en effet abattu par un biplan français à quelques kilomètres au nord-ouest de Reims.   Le Voisin type III (1) immatriculé V89 qui décolle du terrain de Lhéry (2) dans la Marne, lieu de stationnement de l’escadrille V 24 (3), au petit matin du lundi 5 octobre 1914 a reçu pour mission la reconnaissance et le bombardement d’une concentration de troupes allemandes signalées à proximité de Reims, un peu au nord du fort de Brimont. Piloté par le sergent Joseph Frantz (4) assisté de l’observateur – et mitrailleur – Louis Quenault (5), le frêle biplan parvient sans dommage au-dessus de son objectif et réussit à y larguer les six bombes qu’il a embarquées – des obus de quatre-vingt-dix millimètres empennés. Le feu nourri de l’ennemi oblige toutefois le pilote de l’avion à entreprendre une manœuvre de dégagement pour se mettre hors de portée de l’adversaire ; mais l’appareil n’a pas été endommagé et reprend la direction du terrain de Lhéry. Néanmoins, son pilote entend lui faire faire un petit détour : un survol de la vallée de la Vesle, au-dessus de laquelle il espère rencontrer un avion ennemi, ce qui lui permettrait de faire usage de l’arme dont son appareil a été équipé. Celui-ci appartient en effet à la seule formation ayant armé ses avions : la susdite V 24 (6). Une escadrille qui, à l’initiative du capitaine André Faure qui la commande et du constructeur Gabriel Voisin, a doté ses six biplans d’une mitrailleuse Hotchkiss de 8 millimètres de calibre (7).  

Deux aviateurs auréolés de gloire : Joseph Frantz (à gauche) et Louis Quenault (à droite), photographiés le 9 octobre 1914 sur le terrain de Lhéry (Marne). Les deux hommes viennent d’être décorés, respectivement, de la Légion d’honneur et de la médaille militaire par le colonel Ganter commandant l’aéronautique de la VeArmée.

Fort de son accélération, l’avion français s’approche rapidement à une centaine de mètres de l’ennemi ; un peu trop vite et pas assez discrètement sans doute puisque l’équipage du Voisin voit soudain l’Aviatik virer brutalement à gauche et accélérer pour tenter d’échapper à son adversaire. Seule alternative pour les Français : couper le virage décrit par l’avion allemand, en dépit des risques représentés par la pénétration dans l’angle de tir de l’observateur allemand. Un observateur qui, d’ailleurs, armé d’une carabine automatique à répétition, en profite aussitôt pour faire feu sur son assaillant, manquant toutefois sa cible. Fort heureusement, Joseph Frantz parvient à repositionner son appareil et le place à moins de cinquante mètres en arrière de l’avion allemand. À Louis Quenault, maintenant, de s’appliquer dans son tir et d’abattre l’appareil ennemi ! Celui-ci, appuyé sur sa mitrailleuse montée sur un trépied métallique, fait feu avec calme, préférant le coup par coup au tir en rafale afin d’éviter l’enrayage de son arme ; l’exercice est d’autant plus aisé que l’ennemi, qui tente bien de se dérober en virant continuellement, ne parvient pas à se dégager du Voisin. Les tirs du Français ne faiblissent pas, seulement interrompus une fois les vingt-cinq premiers coups tirés par la nécessité de changer de chargeur. Mais soudain, ce que Louis Quenault redoutait se produit : voilà que la quarante-septième cartouche enraye la mitrailleuse et la rend inutilisable… Le combat, dominé jusque-là par les Français, va-t-il tourner à l’avantage de l’ennemi ? Non ! Par chance, plusieurs balles ont atteint leur cible… En effet, alors que Louis Quenault a déjà commencé le démontage de la culasse de l’arme pour tenter de réparer, voilà que l’Aviatik, soudain, se cabre (12), puis retombe sur le dos et se met à adopter des mouvements totalement incohérents, suivant une trajectoire désordonnée. L’appareil, dont le pilote est blessé ou inconscient – et même peut-être mort –, n’est visiblement plus contrôlé… Peu après, l’essence embarquée prend feu. L’appareil pique vers le sol en tourbillonnant comme une feuille morte et, à l’issue d’une chute vertigineuse, vient s’écraser dans les marécages de la vallée de la Vesle, à proximité des villages de Jonchery-sur-Vesle et de Muizon.   Suivi à distance par des milliers de spectateurs – les combattants des deux camps terrés dans leurs tranchées respectives –, ce combat d’une quinzaine de minutes soulèvera l’enthousiasme des combattants français. Des combattants qui répondront au bruit sourd du crash de l’avion par une longue ovation. Sur les lieux du crash déferleront un grand nombre de curieux guidés par le nuage de fumée noire provenant de l’appareil en flammes. Puis des fantassins arriveront, qui extrairont des décombres de l’Aviatik les corps partiellement calcinés des deux Allemands (13). Un groupe d’officiers s’approchera alors, parmi lesquels le général Louis Franchet d’Espèrey (14) commandant la Vearmée, qui a personnellement assisté au combat et qui ordonnera leur mise en terre avec les honneurs militaires (15). Ayant pu atterrir à peu de distance du lieu du crash, les deux aviateurs français tenteront de gagner le point de chute à travers les marécages, ce qu’ils feront sous les acclamations. Parvenus sur les lieux, ils y apprendront que les corps des aviateurs allemands ont été retrouvés, chacun, transpercés de plusieurs balles, ce qui les rassurera : du moins ont-ils échappé à d’horribles souffrances. Le général Franchet d’Espèrey promettra alors de décorer Joseph Frantz et Louis Quenault, qui recevront quelques jours plus tard, respectivement, la croix de chevalier de la Légion d’honneur et la médaille militaire (16).   Vers onze heures, les deux Français s’envoleront pour rejoindre leur terrain de Lhéry, satisfaits d’avoir fait leur devoir… et fiers d’avoir remporté la toute première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation. De retour sur l’aérodrome, où l’on s’est inquiété de ne pas voir rentrer l’appareil, les deux aviateurs feront connaître la grande nouvelle : « Nous l’avons eu, notre Boche ! ». Dans les jours qui suivront, deux « reliques » leur seront rapportées des lieux du crash : d’une part un morceau déchiqueté du moyeu de l’hélice de l’Aviatik (17) et, d’autre part, un lourd pistolet bi-canon en cuivre et bois (gravé au pointeau de l’inscription « B 114 »), arme vraisemblablement utilisée par l’équipage allemand pour lancer des fusées servant au réglage de l’artillerie.   Cette victoire aérienne fondatrice, les deux aviateurs français ne devaient jamais l’oublier. Pas plus que le constructeur du biplan, Gabriel Voisin, qui, bien que ne l’ayant pas « vécue », déclarera bien des années plus tard : « J’ai souvent pensé à ces deux enfants que j’ai tués avec une préméditation absolument inhumaine, car c’est moi qui avais conçu cet avion meurtrier, et cet armement presque démesuré pour notre machine. »

Auteur :Frédéric Lafarge, ancien conservateur du Musée de la base aérienne 112 et de l’aéronautique locale (Reims). Septembre 2014.  

Sources : fonds d’archives du Musée de la BA 112 et de l’aéronautique locale (actuel Musée de l’aéronautique locale de Bétheny).

Notes explicatives :  

  1. Bombardier dérivé du Voisin I construit par l’entreprise Voisin Frères de Billancourt (premier vol effectué en février 1914). Motorisation : moteur Salmson en étoile refroidit par eau animant une hélice propulsive. Dimensions : 14,75 m (envergure) x 9,50 m (longueur) x 2,95 m (hauteur). Surface alaire : 49,7 m². Vitesse maximale : 115 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 3 500 m. Masse à pleine charge : 1 350 kg (à vide : 950 kg). Armement : une mitrailleuse Hotchkiss de 7,7 mm. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, mitrailleur à l’avant).
  2. Commune du canton de Ville-en-Tardenois dans l’arrondissement de Reims.
  3. Escadrille dotée de six appareils commandée par le capitaine André Faure.
  4. Né le 7 août 1890 à Beaujeu (Rhône) et décédé le 12 septembre 1979 à Paris, à l’age de quatre-vingt-neuf ans. Repose au cimetière de Montparnasse dans le 14e arrondissement de paris.Koseph Frantz, grand officier de la Légion d’honneur, était titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre 1914-1918 et de la médaille de l’Aéronautique.
  5. Né le 2 octobre 1892 à Paris, décédé à Marseille le 26 avril 1958. Repose à Peyruis (Alpes-de-Haute-Provence).
  6. Particularité s’expliquant par le fait que les aviateurs des deux camps bénéficient dans les premières semaines de la guerre d’une « impunité tacite », les états-majors excluant tout combat entre avions, comme en témoigne notamment une communiqué du quartier général allemand daté du 1eroctobre 1914 : « Ainsi que l’expérience l’a démontré, un véritable combat dans les airs, comme l’ont décrit les journalistes et les romanciers, doit être considéré comme un mythe. Le devoir de l’aviateur est de voir et non de combattre. »
  7. Mitrailleuse qui a été équipée d’un sac permettant de récupérer les douilles éjectées lors du tir, de manière à ce qu’elle ne puissent aller heurter l’hélice en rotation.
  8. Wilhelm Schlichting, âgé de vingt-trois ans, était né à Altendorf le 8 août 1891. Il était le fils de Klaus-Heinrich Schlichting, cordonnier, et de Johanna-Augusta-Sophia née Krey.
  9. Fritz von Zangen, âgé de trente et un ans, était né à Darmstadt (Hesse) le 4 mars 1883.
  10. Avion de reconnaissance construit par Aviatik Automobil und Flugapparatefabrik entreprise fondée en 1910 à Mulhouse et transférée dès 1914 à Fribourg-en-Brisgau . Mise en service : 1914. Motorisation : moteur Mercedes D.I à six cylindres en ligne à refroidissement liquide animant une hélice tractive.Dimensions : 13,97 m (envergure) x 8,63 m (longueur) x 3,30 m (hauteur). Vitesse maximale : 105 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 2 500 m. Masse à pleine charge : 1 250 kg (à vide : 825 kg). Armement : aucun. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, observateur à l’avant).
  11. « Il avait une vue prodigieuse ! » témoignera Gabriel Voisin, parlant de Joseph Frantz. « [Il avait] un excellent esprit, des réflexes étonnants et, surtout, un caractère très pointilleux pour ce qui touchait au fonctionnement de la machine. » Posture qui, un très court instant, inquiètera Louis Quenault, qui redoutera que le biplan ne percute l’Aviatik, d’où une énergique tape qu’il assènera à son pilote : « Attention ! On va rentrer dedans ! »
  12. Dépouilles dont seules les jambes sont calcinées, le reste des corps ayant échappé aux flammes.
  13. Louis Félix Marie François Franchet d’Espèrey, alors général de division, né à Mostaganem (département d’Oran, Algérie) le 25 mai 1856 et décédé à Saint-Amancet (Tarn) le 8 juillet 1942, nommé commandant de la Ve armée le 3 septembre 1914. Il sera élevé à la dignité de maréchal de France en 1921.
  14. Il fera de plus expédier leurs effets personnels à leurs familles, via la Croix-Rouge. Parmi ces effets figurait une lettre que le lieutenant allemand avait écrit à sa mère et qu’il n’avait eu le temps de poster avant de décoller : « […] il y a quelques jours, nous avons rencontré un avion ennemi qui nous a tiré dessus […]. »
  15. « On me propose pour la Légion d’honneur, ça me paraît beaucoup. » écrira Joseph Frantz, au soir du 5 octobre 1914, dans son petit carnet noir ficelé à l’aide d’un élastique. Ces décorations leur seront remises le vendredi 9 octobre 1914 sur le terrain d’aviation de Lhéry par le colonel Ganter, commandant l’aéronautique de la Vearmée. La différence de « traitement » entre les deux aviateurs s’explique par le fait que Joseph Frantz possédait déjà la médaille militaire, décoration qui lui fut remise une quinzaine de jours plus tôt « pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne ». Joseph Frantz et Louis Quenault seront cités au Journal officiel de la République française du dimanche 18 octobre 1914 et le texte de la citation de Frantz sera ainsi libellé : « Par décision ministérielle en date du 13 septembre 1914, la médaille militaire a été conférée au sergent Frantz, pilote aviateur, pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne. En particulier, le sergent Frantz, au mois d’août dernier, avait réussi, sous le feu de l’infanterie et de l’artillerie de la garnison de Metz, à lancer deux obus sur les hangars d’aérostation de Frescati. Le 5 octobre dernier, ce même sous-officier, accompagné du mécanicien tireur Quenault, a poursuivi un aéroplane et réussi à abattre un avion allemand en reconnaissance dans les lignes françaises. Le général commandant en chef lui confère la croix de chevalier de la Légion d’honneur et décerne au mécanicien Quenault la médaille militaire. »
  16. Pièce de bois rougeâtre portant l’inscription « Heine Berlin ».

   


L’aérodrome de Challes fête ses 100 ans

 

Cet article a été rédigé par « Challes Aviation », qui organise cet anniversaire, pour l’office de tourisme de Challes-les-Eaux et publié initialement sur Marque-en-Ciel de Jean-Noël Violette.
Le 26 octobre 1913 naissait l’aérodrome de Challes-Les-Eaux, inauguré en grande pompe en présence de tous nos édiles locaux.
Les acteurs aéronautiques actuels de cette belle plateforme ne pouvaient que commémorer cet évènement au cours de quelques temps forts, auxquels tous nos concitoyens seront les bienvenus.
6 avril 2013 à 11 h : inauguration , après rénovation, de la Stèle dédiée aux Ailes Brisées , à l’entrée de l’aérodrome.
Cette cérémonie sera suivie d’une petite réception devant le hangar historique de notre aérodrome redécoré avec son habillage  » 1913 « . Quelques aéronefs anciens (planeurs et avions) seront présents lors de cette journée .
8 au 30 avril 2013 : Exposition de photographies relatant la création de l’aérodrome ainsi que l’activité des femmes pilotes célèbres du siècle dernier. Cette exposition aura lieu à la médiathèque de Challes les Eaux lors de ses heures d’ouverture au public .
3 mai au 20 octobre 2013 : au CHÂTEAU DES COMTES DE CHALLES , exposition de photographies consacrées à la vie de l’aérodrome de Challes lors de la 1ère partie du 20ème siècle (ouverte au public) .
8 et 9 juin 2013 : Fête aérienne sur l’aérodrome de Challes , avec rassemblement d’ avions, exposition d’avions et de planeurs anciens, journées portes ouvertes des différents acteurs de la plateforme (Centre de vol à voile , Aéroclub de Challes , Les amis du CLAP 73 , Airmonie , Les aéromodélistes des Raz – Mottes et la Société de construction et de réparation de matériels volants Stralpes Aéro)
Ces journées sont ouvertes au public gracieusement, et des vols d’initiation (à titre payant) seront organisés. Le public sera accueilli sur les espaces qui lui seront dévolus .
9 novembre 2013 : Un colloque sur  » 100 ans d’aviation sur l’aérodrome de Challes-les-eaux  » est organisé au  » Manège  » à Chambéry de 9h à midi et de 14h à 17 h 30 .
Une quinzaine d’intervenants feront revivre un siècle d’aviation sur notre aérodrome , en insistant sur les  » grands moments « . Toutes les personnes intéressées sont chaleureusement invitées à y assister. ENTRÉE LIBRE .
Ce colloque se clôturera par une soirée Grand Public , toujours au  » Manège  » , sur un sujet majeur de l’ aviation contemporaine (sujet non défini à ce jour), concernant l’Air ou l’Espace. Le sujet et l’horaire seront communiqués prochainement : ENTRÉE LIBRE
4 novembre au 31 décembre : Une exposition plus conséquente de photographies, illustrant la vie de l’aérodrome de Challes depuis ses débuts , est organisée à la galerie EUREKA à Chambéry (Carré Curial) . ENTRÉE LIBRE .
Le livre « Challes avec deux ailes » de Jean-Noêl Violette pourra être dédicacé à l’occasion de nos diverses manifestations