Les remorqueurs de Fayence

PA25-235B Pawnee F-GFPD ©Xavier Cotton

Cet été je suis passé par Fayence et n’ai pu m’empêcher de faire une halte sur l’un des terrains les plus réputés en France pour la pratique du vol à voile. Mais n’étant pas pilote de planeur je me suis  surtout intéressé aux remorqueurs, il y en avait trois très différents les uns des autres qui permettaient chacun à leur tour aux planeurs de se mettre en l’air.

Tableau de Bord du PA25-235 Pawnee ©Xavier Cotton

Deux appartiennent à l’Association Aéronautique de Provence Côte d’Azur, Il s’agit de ce Piper PA25-235B (F-GFPD cn/25-2685 de 1964) à train classique aussi utilisé pour le travail agricole. il est équipé d’un moteur 6 cylindres Lycoming O-540 de 235 Cv

Rallye Comodore MS893 F-BMNL ©Xavier Cotton

L’autre est plus usuel dans le monde des remorqueurs de planeurs, c’est un Morane Saulnier MS 893A rallye Comodore à train tricycle équipé d’u moteur de 180 Cv, c’est le F-BMNL (cn10849 de 1965)

Diamond Super Dimona HK36TTC F-CHQD ©Xavier Cotton

Le troisième est en réalité un motoplaneur immatriculé dans la catégorie des planeur F-C…, il s’agit Diamond  Super Dimona HK36TTC (F-CHQD cn/36610 de 1999) équipé d’un moteur ROTAX 914 F3 de seulement 115 Cv

tableau de bord du Super Dimona ©Xavier Cotton


Aéropuces 2011

Aéropuces 22 et 23 octobre 2011 
90 exposants sur 500 mètres linéaires d’exposition : une édition record pour la célèbre brocante aéronautique !

Pour la 5e année consécutive, le musée de l’Air et de l’Espace organise sa grande brocante aéronautique. Collectionneurs, particuliers et professionnels se retrouvent, sous les ailes des deux Concorde du musée, pour deux jours de « chasse aux trésors », dans une ambiance festive. Les 90 exposants attendus font de cette édition un record de participation. Entrée gratuite.



Hall Concorde : la brocante dédiée à l’aviation pendant tout le week-end
Au cœur du premier musée aéronautique du monde, sur l’aéroport mythique du Bourget, Aéropuces,  initiative de deux passionnés, Jean-Charles Le Carréres et Jean Molveau, présente des stands diversifiés, pour satisfaire le plus grand nombre. On y croise d’insatiables collectionneurs de maquettes, des boulimiques de récits d’aventures, de documentation technique ou de bandes dessinées, des collectionneurs d’uniformes, d’objets publicitaires, d’affiches ou de cartes postales. D’autres « chinent » fiévreusement à la recherche de l’instrument de bord, du carburateur ou de l’hélice qui trônera dans leur salon ou les aidera à faire voler leur avion. Vendeurs (venant aussi de l’extérieur de l’hexagone, comme les Britanniques d’Avation Bookshop…) et visiteurs peuvent réellement dialoguer : contrairement à un achat sur Internet, Aéropuces permet un contact direct.


Salle Caquot : vente aux enchères le 22 octobre à 17 h
L’étude Morand & Morand, commissaires-priseurs à Paris est encore présente cette année, avec plus de 200 lots « aviation » mis en vente : affiches, dessins, photographies, maquettes d’avions civils et militaires, objets publicitaires, revues, etc. Les amateurs les plus passionnés trouveront de la documentation technique, des livres, des objets de l’armée de l’Air, des pièces d’avions, etc.


Visite exceptionnelle des ateliers de restauration du musée de l’Air et de l’Espace
Cette année, pendant tout le week-end des Aéropuces, il sera possible de visiter les ateliers de restauration du musée de l’Air, situés côté Dugny et habituellement fermés au public. Ce privilège, accordé une fois par an lors des Journées du Patrimoine, avait dû être annulé en septembre. C’est une occasion unique de s’émerveiller devant le travail des restaurateurs qui donnent une seconde vie aux aéronefs.

Informations pratiques :
Samedi 22 et dimanche 23 octobre, de 10 h à 18 h. Entrée gratuite. Venir à Aéropuces
• Vente aux enchères : exposition vendredi 21 octobre de 10h à 17h et samedi de 10h à 15h // vente samedi 22 octobre à 17h. Voir le catalogue.
• Visite des ateliers : plan d’accès et horaires des navettes gratuites depuis le musée.


LE RASE-MOTTE TUE !

Campagne de sécurité (collection privée Jean-Claude Baehr)

Jean-Claude Baehr qui nous a déjà fait profiter de sa collection de vignettes aéronautiques sur le thème de la Quinzaine Aéronautique Internationale de 1948 revient avec cette nouvelle vignette sur le thème de la sécurité des vols pour essayer d’avoir plus informations sur sa publication.
Cette vignette (6,50 cm x 10,2 cm) qui devait être faite pour être collée au pare-brise, est recouverte au recto d’un glaçage vraisemblablement avec un produit collant ce qui a pour effet de la rendre brillante à l’éclairage et qui empêche toute lecture des textes écrits en rouge sur partie rouge foncé.
l’angle passé au microscope, on découvre l’inscription suivante qui apparaît que sur 3mm où le fond est moins rouge , le reste se confondant dans l’unique teinte rouge.
Sur cette partie un peu burelée, on peut déchiffrer ce qui suit :
SECU………..
L’AVI ……….
RE C………..
A priori la première ligne pouvant être SÉCURITÉ et la seconde L’AVION, L’AVIATION ou encore L’AVIETTE POSTALE, revue mensuelle de documentation aérophilatélique publiée entre 1928 et 1950.
Bien sur j’ai posé la question sur Aéroforum, et malgré les réponses, les recherches n’ont pas beaucoup avancé. Nous savons qu’une affiche (auteur M BRAULT) sur le même thème avait été vendue salle DROUOT le samedi 25 février 2006 pour 450 € : http://www.world-encheres.com/boisgirard/resultats/resultats25022006.htm
Affiche "Le Rase-Motte Tue"

Affiche « Le Rase-Motte Tue »

Le 19 mai 2018 nous avons la confirmation par un lecteur que le dessin de l’affiche et celui de la vignette sont identiques. Le texte non visible sur la vignette est le suivant : « Secrétariat Général à l’aviation civile et commerciale – Service de l’aviation légère et sportive« . Signature de M. Brault.

La Fédération Nationale Aéronautique (devenue la FFA) à abordé à plusieurs reprises les différents thèmes de la sécurité de vols (rase motte, autonomie de vol, météo…) par l’intermédiaire d’affiches à apposer dans les aéroclubs, celle-ci s’est déroulée entre 1946 et 1955.
Si vous avez plus d’informations sur cette campagne de sécurité de vols ou sur la vignette, laissez vos commentaires ou écrivez moi à contact(at)passionpourlaviation.fr
Et surtout : FLY SAFE.

Maurice Tabuteau gagne la coupe Michelin 1910

(photo collection privée Denys Tabuteau)
Répondant à l’appel que j’ai lancé sur mon profil, Denys Tabuteau, petit-neveu de Maurice Tabuteau (1884-1976) m’a envoyé un mail avec la photo ci-dessus où on peut voir Henri Farman (à  genoux) charger un réservoir d’essence de 300 litres sur l’avion de son concurrent. Mais, il ne savait pas que l’avion ne pouvait pas décoller  avec le plein complet .
Pour gagner  la coupe Michelin (prix de 25 000 Francs or) crée en 1908, il fallait parcourir la distance la plus longue de l’année, le mieux  était donc de tenter ce vol le plus tard possible en décembre .
En 1910, 1er coup de génie de Maurice Tabuteau (brevet n°128 du 1er juillet 1910) est d’avoir commandé dans le secret le réservoir pour le faire adapter au dernier moment. Tous les autres concurrents y compris Maurice Farman ont utilisé un réservoir identique, mais en le  remplissant à ras bord, du coup leurs essais pour décoller sont restés vains. Très finement, Maurice Tabuteau n’avait rempli le sien seulement qu’avec 250L, juste assez pour parcourir la distance.
En 1908, la coupe Michelin fut gagné par Wilbur Wright avec un vol de 121 km. En 1909 Maurice Farman double la distance, et le 30 décembre 1910, Maurice Tabuteau la double à nouveau à Buc avec 582 km 935 m en 7 heures 48 minutes et 31 secondes sur Biplan Maurice Farman à moteur Renault de 50 Cv. Maurice Tabuteau vola à titre privé jusqu’à l’age de 85 ans.
(photo collection privée Denys Tabuteau)
Denys Tabuteau publie  en 2000 aux éditions Amateis les mémoires de son grand-oncle un ouvrage abondamment illustré qui se lit d’un trait : « Maurice Tabuteau Pionnier de l’aviation« . Celui-ci s’exprime à la première personne dans un style fluide très vivant et souvent cocasse car rempli d’anecdotes dont étaient parsemées le quotidien de ces pionniers. Un long extrait des Mémoires de Maurice Tabuteau fut publié en 1988 en 6 parties dans le « Fana de l’aviation » sous le titre « Moi, Maurice Tabuteau, aviateur professionnel en 1910 » (numéro 224 de juillet au numéro 229 de décembre)


Hélice bipale Levasseur à identifier (bis)

Une lectrice Suisse ayant offert cette hélice bipale pour l’anniversaire de son mari passionné d’aviation voulait en savoir plus sur son origine. En utilisant Google comme moteur de recherche, elle est arrivée sur mon blog ou j’avais précédemment écrit deux articles concernant des hélices Levasseur, une quadripale et une bipale noire.
Quelques photos des indications gravées sur le moyeu de l’hélice accompagnant le message pouvait aider à ma recherche. Une fois de plus je pensais au forum technique d’Aérostories pour transmettre la question à des spécialistes de l’histoire de l’aviation. 
La réponse ne se fit pas attendre, Pierre-Michel Decombeix m’apporta ses connaissance sur le sujet « Le profil est typique des hélices Levasseur. Les petits poinçons à peine visibles sur l’image du plat du moyeu indiquent que l’hélice a été fabriquée entre 1914 et 1922.
Ce qui compte pour aller plus loin, ce sont les marquages qui sont sur les côtés arrondis du moyeu. « S….450 » va aussi dans le sens d’une hélice Levasseur : la série 450 mesure exactement 2m45 de diamètre, avec un trou central de 60mm et un moyeu de 100mm d’épaisseur avec 8 trous de fixation. Elle était destinée aux avions  Nieuport (Le Nieuport XI en particulier) équipés de moteur Rhône de 80 chevaux. 

Sur un côté du moyeu on devrait voir les marquages correspondants : sous le « SERIE 450 », il devrait y avoir « NUMERO xxxxx » (c’est le numéro d’hélice).

et de l’autre côté :
« Nie » suivi de chiffres romains (XI ou XXI) et « Rh 80 » (éventuellement HP ligaturés). Dessous, devant un poinçon carré, une lettre et éventuellement un chiffre.

Avec le Numéro d’hélice (xxxxx) et une photo en gros plan des deux groupes de chiffres qui encadrent les poinçons carrés du plat du moyeu, il est éventuellement possible de déterminer une date assez précise de fabrication.


Cessna 404 Titan

(photo collection privée Xavier Cotton)
Le 26 septembre dernier sur l’aérodrome de  Reims-Prunay était présent ce Cessna 404 Titan (c/n 404-0855) immatriculé OO-MAP, construit en 1981 il a successivement été immatriculé F-ZBDB (douanes françaises de mars 1982 à juin 1996) N404N, VT-DAT puis G-OOSI. il est actuellement au service de la société Aerodata International Survey qui est spécialisé spécialisée dans l’acquisition de données spatiales aéroportées de la surface de la terre et son traitement avancé qui sert de base pour Google Earth part exemple. Aerodata International Survey utilisent pour son travail bien d’autres avions tel que ce Partenavia P68C-TC immatriculé OO-PXL (C/N 245-08-TC construit en 1981) vu aussi à Reims-Prunay.
(photo colleection privée Xavier Cotton)

Sikorsky S-76B HB-ZMS

(photo collection privée Xavier Cotton)

Le 26 septembre dernier, sur l’aérodrome de Reims-Prunay, l’hélicoptère Sikorsky S-76B (s/n 760430) immatriculé HB-ZMS arrive tranquillement au parking en roulant, il repartira dans l’après midi pour Deauville. Cet hélicoptère précédemment immatriculé N9HM puis VP-BIR a été construit en 1995 et est maintenant exploité par Linth Air Service AG basé sur l’aéroport de Mollis (LSMF) situé à 40 Nm à l’est de Zurich, le propriétaire étant Sikonir SA.

Alimenté par deux turbomoteurs Pratt & Whitney Canada  PT6B-36B, il est équipé de 7 sièges.
101 exemplaires de cette version furent construits, le S-76D est la dernière version proposée de cet hélicoptère.


Paris-Nouméa en ULM Dynamic WT9 : Spirit of Nouméa

Christian Tiriault et Marc Perdu à bord de leur Dynamic WT9

Dimanche 18 septembre Marc Perdu et Christian Tiriault devrait se lancer dans un périple à bord de leur ULM Dynamic WT9 nommé « Spirit of Nouméa » qui leur permettra de rallier Le Bourget à Nouméa soit un peu de plus de 21 000km. « Notre ULM possède toutes les dernières technologies en terme de sécurité dont un transpondeur, un pilote automatique, un GPS, une balise de détresse et un téléphone satellite. Nous voulons partir sereins », a indiqué Marc Perdu. Ce vol les fera passer par Corfou, Rome, Louxor, Abu Dhabi, Karachi, Bangkok, Singapour ou encore Darwin, soit quelques-unes des 31 villes étapes (liste complète) de leur voyage qui prendra environ deux mois. La dernière étape entre Bundaberg en Australie et Nouméa en Nouvelle-Calédonie sera la plus longue soit environ 1500km. L’arrivée à Nouméa est prévue le 14 novembre.
Vous pouvez suivre leur voyage grâce au à l’onglet tracking et à leur blog journalier sur leur site : spiritofnoumea.com

Marc perdu et et Christian Tiriault partent sur les traces de de Paul Klein et Henri Martinet qui ont rallié pour la première fois la Nouvelle-Calédonie à la France en 1939 à bord d’un Caudron Aiglon.

Le Dynamic WT9 F-JSUB « Spirit of Nouméa »

En hommage à Paul Klein, Marc Perdu et Christian Tiriault tous les deux pilotes privés ont créé un aéroclub afin de mettre en avant leur passion pour l’aviation et notamment l’ULM. Ils pourront y installer notamment l’ULM Dynamic WT9, capable de voler à 240km/h avec lequel ils ont effectuer le tour de France 2010.

Marc Perdu et Christian Tiriault à bord de leur Dynamic WT9 « Spirit of Nouméa »

Source des informations :
Spirit of Nouméa : http://spiritofnoumea.com/
Finesse-Max : http://www.finesse-max.com/

Aérodrome de Puimoisson

(photos collection privée Xavier Cotton)
 Cet été en vacances sur le plateau de Valensole connu pour sa culture de la lavande, je suis passé par Puimoisson, où j’ai vu un panneau indiquant un aérodrome. Intrigué par ce terrain que je ne connaissais pas, j’ai suivi les indications et après avoir suivi pendant 2,5 km un chemin très carrossable mais non goudronné, je suis arrivé sur un plateau où j’ai découvert le terrain de Puimoisson (LFTP) à usage restreint (carte VAC) réservé uniquement aux planeurs et leurs avions remorqueurs. Situé à 3,5 km à l’est de Puimoisson et à 10 km au nord du lac de Sainte Croix à une altitude moyenne de 750m, Ce terrain ouvert de mi-mars à fin septembre possède deux pistes orientées est-ouest et nord-sud permettant de décoller  et de se poser quelque soit l’orientation du vent.
Deux avions remorqueurs de type rallye (le F-BODD MS893 et le F-GBKL Rallye 235 E) sont mis à disposition ainsi que des cables pour l’amarrage des planeurs et des remorques. Vous pourrez assister à un briefing quotidien en français et en anglais portant sur le sécurité , la météo et les consignes de vol.
Il y a possibilité de loger sur place grâce un camping ombragé de 20 emplacements avec sanitaires et branchements électriques et pour vous distraire en attendant de voler vous trouverez un bar- restaurant, une piscine, des terrains de tennis, de boules et de volley-ball.

Situé sur le Plateau de Valensole, au pied des contre-forts des Alpes, l’ aérodrome de Puimoisson sera le point de départ idéal pour des vols dans les montagnes de la région. Ce terrain offre une grande variété de type de vol ( thermique, dynamique, onde …etc).

Contact :

Aérodrome de Puimoisson : http://www.puivolavoile.com
Centre de Vol a voile de Puimoisson
B.P. 1 – F. 04410 Puimoisson


FK12 Comet

FK12 COMET à Reims-Prunay ©Xavier Cotton

Jeudi dernier en apercevant de loin cet ULM sur l’aérodrome de Prunay, je l’ai d’abord pris pour un Pitts tellement il est beau. Il s’agit en fait  d’un FK12 Comet qui peut être équipé soit d’un moteur Rotax 912 UL (80 CV) ou 912 ULSFR (100 CV)
Ce biplan est biplace en tandem, qui est soit en version torpedo comme sur cette photo (le poste avant peut même être fermé pour le transformer en monoplace) ou avec une verrière fermée et unique au dessus des deux places.
Grâce à une configuration biplan compacte et une conception moderne et robuste, le FK12 Comet est un biplan de sport aux performances inégalées dans sa catégorie.
Il est distribué par Innov’Air situé sur l’aérodrome de Muret-Lherm.
Contacter Innov’Air :
Zone ULM, Aérodrome de Muret-Lherm (LFBR)
20km au sud de Toulouse, sortie 34 sur A64/E80 ToulouseTarbes)
31600 MURET, France.
Téléphone : 33 (0) 5 61 51 03 34 / 33 (0) 951 89 17 33
Fax : 33 (0) 5 61 51 23 49
SKYPE: innov-aircp

1er salon de l’aviation, de l’artisanat et des produits du terroir à Calais/Dunkerque

1er salon de l’aviation, de l’artisanat et des produits du terroir 
Aérodrome de Calais/Dunkerque
Le 3 septembre 2011 de 8 heures à 18 heures
« Le premier salon de l’aviation, de l’artisanat et des produits du terroir se tiendra le 3 septembre de 8 heures à 18 heures. Lors de cette journée, une quinzaine d’artisans et de professionnels des métiers de bouche seront présents, un stand biblio-aéro, un stand de panneaux avec les photos des aérodromes de la région de Calais pendant la Seconde Guerre mondiale seront présentés, une exposition d’avions de l’aéroclub de Calais, un stand avec un simulateur de vol avion de l’Association aéronautique Louis Blériot. Il y aura également une exposition et des démonstrations de para-moteur radiocommandés d’Opale para moteur, un stand de parachutistes, un stand du club d’aéromodélisme de Marck, une présentation des aéroclubs, des baptêmes en hélicoptère, une évolution de voltige, etc. Soixante baptêmes de l’air pour deux personnes seront à gagner ce jour-là.« 
Source des informations :
Production Événementiel 62 : http://club.quomodo.com/prod-event62/accueil

PC6 Pilatus de Brienne-le-Château

PC-6 Pilatus G-WGSC ©Xavier Cotton

Pour remplir le vide laissé par mise en liquidation judiciaire du CPS (centre de parachutisme sportif) de Brienne-le-Château (LFFN), Elodie Perrot, vice-championne du monde à Gap en 2003, médaillée de bronze de la coupe du monde en 2005 et Yvan Perrot, 5000 sauts à son actif, titulaire du brevet d’Etat de moniteur en parachutisme, moniteur de tandem et PAC, ont crée le 1er avril 2011  une nouvelle société centre de formation pour la pratique du parachutisme : Aube-Parachutisme . Le redémarrage de l’activité  a bénéficié d’un soutien du conseil général. Le centre est ouvert tous les week-ends de mi-février à fin novembre et de nombreuses semaines durant l’été,  profitant d’un très bon site et d’un volume protégé montant jusqu’à 6000 m. Un camping attenant à la base permet aux pratiquants de loger près de l’aérodrome. Pour emmener les parachutismes, le centre dispose d’un PC6 Pilatus, dont le tableau de bord à fait l’objet du dernier quizz et qui peut emmener 10 personnes à son bord. Il sagit du G-WGSC PC6/B2-H4 sn848 construit en 1986 appartenant à Penny D.M. depuis le 2 janvier 1990, il fut précédemment la propriété de Tyrolean Jet Service (Autriche) sous l’immatriculation OE-ECS.
Le centre école propose des sauts en tandem avec une minute de chute libre à 200 km/h ou des PAC (progression accompagnée en chute) pour apprendre à évoluer seul et des initiations PAC pour ceux qui veulent faire le grand saut seuls mais sous le couvert de deux moniteurs.

Renseignements
Tél. 06.45.41.62.47.
mai : contact@parachutisme-aube.com
site internet www.parachutisme-aube.com