Renaissance du Caudron Simoun

©Association pour la renaissance du Caudron Simoun

Stéphane LANTER et François MINARD, deux pilotes professionnels et passionnés d’aviation, mettent en commun depuis de nombreuses années leurs avions et leurs désirs de créer une aventure humaine autour d’avions de collections.
En 2003, l’occasion leur est donnée de se lancer dans ce qui est une extraordinaire aventure: la remise en état de vol d’un avion mythique, le dernier CAUDRON SIMOUN.
En 2009, ils décident alors d’élargir leur action et créent  « L’Association pour la Renaissance du Caudron Simoun« . Cette Association a donc pour objet essentiel la restauration, en état de vol d’ aéronefs anciens marqués par leur rareté et leur intérêt patrimonial tant français qu’étranger et pour commencer la reconstruction et la préservation en état de vol d’un CAUDRON-RENAULT SIMOUN.Après la disparition accidentelle en 2002 à Roanne-Renaison de l’unique CAUDRON-RENAULT SIMOUN restauré en état de vol, le F-AZAM de feu Albert PROST. Il ne reste plus dans le monde que deux exemplaires de cet avion de légende :
Celui aux couleurs de la compagnie AIR BLEU, conservé au Musée de l’air et de l’Espace de Paris-Le Bourget, qui ne sera jamais remis en vol et celui de « L’Association pour la Renaissance du Caudron Simoun » qui après de longs travaux de restauration sera le dernier à revoler un jour.
Ce Caudron n’est pas un inconnu, car il était la propriété de Jean BLONDEL, l’un des premiers grands collectionneurs Français d’avions historiques . Jean BLONDEL décédé, ses héritiers ont mis en vente sa collection qui a été rachetée par Stéphane LANTER et François MINARD qui ont à cœur de faire revoler ce seul et dernier témoin d’une belle réussite de l’industrie aéronautique française.

Ce CAUDRON SIMOUN est un C-635M (M pour militaire) n/c 8433 (pour 8433 avions fabriqués par la société CAUDRON). Il est sorti d’usine le 14 avril 1939, il est le trois cent quarante deuxième d’une série d’environ cinq cents commandée par l’Armée Française. Vous pouvez lire son histoire complète sur le site  de l’association : http://www.caudron-simoun.com/

Antoine de SAINT-EXUPERY posséda deux CAUDRON SIMOUN. L’accident qu’il eut avec l’un d’eux dans le désert de Libye fait l’objet de très belles pages dans son roman « Terre des Hommes » et lui aurait inspiré « Le Petit Prince ». S’il est toujours difficile de donner une date pour un premier roulage, l’objectif visé est l’année 2014 avec un SIMOUN qui devrait porter la décoration de celui d’Antoine de SAINT-EXUPERY, le F-ANRY.

Pour être tenu à jour de la progression de la restauration, des premiers vols et des événements organisés autour de ce projet, ne manquez pas de visiter régulièrement le site de l’Association pour la renaissance du Caudron Simoun et abonnez vous à sa page Facebook.
Si vous avez une connaissance particulière de l’histoire de cet avion , si vous possédez des documents techniques ou historiques, si vous savez localiser des pièces détachés du Caudron, du moteur Renault ou de l’hélice Ratier mais surtout si vous aimez la mécanique, l’aviation ou que vous souhaitez comme bénévole accompagner dans l’atelier, les mécaniciens sur ce projet alors prenez contact avec L’Association pour la Renaissance du Caudron Simoun
Coordonnées :

Site de l’association : http://www.caudron-simoun.com/
Page facebook : http://www.facebook.com/RenaissanceCaudronSimoun

eMail : contact@caudron-simoun.com

Localisation de l’atelier :
Hangar AMERIDAIR  H4
AERODROME DE PARIS-CERGY- PONTOISE
95650 BOISSY-L’AILLERIE

Adresse courrier :
Association pour la Renaissance du Caudron Simoun
Port Van Gogh
2, quai Aulagnier
92600 ASNIERES


Starck AS-70

Starck AS-70 à Toulouse-Lasbordes ©Jacques Hémet

Vous connaissez tous le célèbre designer français Philippe Starck, mais connaissez vous son père André Starck qui fut concepteur d’avion, malheureusement méconnu. Et pourtant, après avoir présenté un avion expérimental l’AS-20 le 23 octobre 1942, le français André Starck a poursuivi la construction d’une gamme de huit avions après 1945 : AS-37, AS-57/3, AS-57/4, AS-57/5, AS-70 « Jac » AS-71 AS-80 « Holiday » et AS-90 « New Look ». C’est d’ailleurs un avion Starck qui a reçu juste après la guerre le premier Certificat de navigabilité restreint d’Aéronef (CNRA) accordé aux avions de construction amateur.  

Sur la photo ci dessus prise par Jacques Hemet  à Toulouse-Lasbordes (LFCL) en 1954, vous pouvez voir le Starck AS-70 immatriculé F-PBGJ (c/n 6). Il est équipé d’un moteur en étoile Salmson 9Adb de 45 Cv qui lui permet de voler à 185 Km/h jusqu’à son plafond de 6200 m avec une autonomie de 420 Km. Cet avion a une envergure de 7,40 m pour une longueur de 5, 33m et une surface portant de 8 m2. Sa masse à vide est de 202 Kg pour une masse maxi de 300 Kg.

Cet avion fut immatriculé pour la 1ère fois le 25 juin 1947 et basé à Montauban, il a appartenu à Roger Hillier puis à Roger Pautal. Ensuite il déménage pour Toulouse-Lasbordes où il devient la propriété de l’Aéroclub de Toulouse Midi-Pyrénnées  le 29 juillet 1954. Enfin Jean-Yves Niel le grand spécialiste des avions Starck en fait l’acquisition le 11 mai 1995 et le base à Cuers-Pierrefeu.

Starck AS70 F-PBGK en 1958 à Fréjus-Saint-Raphaël ©Maurice Carabin

Ci dessus un autre Starck AS70, le F-PBGK qui appartenait à la société Chocolat SCHAAL de Strasbourg. Il fut détruit à Fréjus lors de la rupture du barrage de Malpasset le 2 décembre 1959. Son CNRA a été radié administrativement qu’en 1983.

Il existe 5 motorisations différentes de l’AS-70 :

  • AS-70        moteur en étoile Salmson 9Adb de 45 Cv
  • AS-71        moteur Walter Mikron II 4 cylindres en ligne inversés de 65 Cv
  • AS-72        moteur en étoile Salmson 9Adr de 45 Cv
  • AS-72/1     moteur Percy II
  • AS-75        moteur 4 cylindre à plat Continental A65-8S à refroidissement par air de 65 Cv

À noter que Le Musée Régional de l’Air d’Angers dispose en stock des avions Starck  AS-37b n°36 F-PYLM et AS-57 n°02 F-PEAY et que vous pouvez y voir exposé le planeur Starck AS-07 Stabiplan .

Source des informations :


Beech D17S Staggerwing F-AZJP

Jean-Philippe Chivot à bord de son Beech D17S Staggerwing F-AZJP ©Liliane Cotton

Le 16 septembre  2012 lors du meeting Aérien Franco-Polonais de Lens-Benifontaine, Jean-Philippe Chivot nous à présenté de façon sublime son Beech D17S Staggerwing, le F-AZJP (cn 6738) construit en 1944 et basé depuis plus de 20 ans à Abbeville.

 

Le prototype du Beech 17 « Staggerwing » a volé pour la 1ère fois le 4 novembre 1932, cet avion a été conçu comme étant un biplan rapide et puissant pour se rendre utile aux hommes d’affaires toujours plus pressés . Le beech D17S est un biplan quadriplace en bois et toile à train rentrant dont l’esthétisme soigné lui donne encore fière allure de nos jours. Équipé d’un moteur en étoile Pratt & Whitney R-985  » Wasp Junior » de 450 ch, il croise à environ 250 à 260 km/h à 3500 pieds avec 4 personnes à bord pour une consommation de 80 litres/heure. Il approche à 130 km/h et touche à 75 km/h pour s’arrêter en 350 à 400 m . Le D17S fut construit à 67 exemplaires civils et 412 exemplaires militaires sous la désignation UC-43.

 

Le nom de Staggerwing du Beech 17 qui signifie « Ailes décalées » vient de la disposition très inhabituelle de ses ailes pour un biplan , celle du haut étant plus en arrière que celle du bas . Cette disposition visait à améliorer la visibilité du pilote tout en réduisant les interférences entre les ailes. Mais cette disposition n’est pas sans inconvénient selon Jean-Philippe : « L’atterrissage est peu ordinaire car sans précautions l’aile du dessous décroche d’abord, l’avion s’enfonce vers l’avant et rebondit allègrement sur son train à ressorts boudins mal amortis. Il faut donc avoir la bonne vitesse pas trop élevée et mettre les volets à fond sur l’aile inférieure, ce qui fait qu’elle décroche en même temps que celle du dessus.« 

 

Voici le témoignage de Jean-Philippe Chivot au sujet de son Beech D17S « Staggerwing » :
Le mien a été construit en 1944 dans le dernier lot pour les militaires US. Il a été réceptionné par la marine US à San Diego et n’a pas servi à grand chose avant d’être vendu au Mexique. Il a un peu volé aux alentours de Mexico jusqu’à être racheté par un américain de Los Angeles en 1960 qui l’a revendu à un pilote de la TWA en 1961. ce dernier a très peu volé, il a fait réviser le moteur et l’a équipé de freins à disques à étrier et plaquettes.
Les Beech D17S et F17S sont équipés d’origine d’un système de freins à empilement de disques fixes et de disques tournants, empilement que l’on serre avec des pistons hydrauliques, malheureusement ce système de freinage a envoyé pas mal de Staggerwing sur le pif. Ça freine pas ou peu, puis tout d’un coup un disque mobile se déforme sous la chaleur et le tout se bloque. Au moins deux sur trois des Staggerwing en état de vol ont conservé des freins à empilement de disques, car pour les remplacer par des freins à étrier et plaquettes, il faut récupérer des freins de Beech G17S et ça devient très difficile.

 

Avant 1960 il a eu vraisemblablement un accident car 3 ailes étaient de 1944 et une aile supérieure de 1939  (on peut supposer une sortie de piste et choc contre un hangar)

Vue du dessous du Beech D17S Staggerwing F-AZJP ©Xavier Cotton

Je l’ai acheté à Los Angeles en 1990 et l’ai fait ramener en container, comme indiqué par l’usine en 1944, par le canal de Panama. A l’arrivée au Havre la corrosion due à la chaleur et au sel avait fait que tous les câbles de commandes étaient bloqués.
J’ai volé pendant presque 20 ans en France, Suisse, Belgique jusqu’au moment où au cours d’un vol d’essai pour des journalistes je n’ai pu remonter la pression d’essence à la pompe à main après un changement de réservoir. J’ai du me poser train rentré dans un champ avec 4 personnes à bord. les dommages furent importants mais j’ai fait reconstruire les parties usées ou endommagées et c’est la deuxième fois depuis sa restauration qu’à Lens je le présentais en meeting, toujours avec de petits problèmes de réglages très agaçants.

 

Au cours de la reconstruction je me suis aperçu que la construction en série d’avions en bois avait des conséquences néfastes. Ce fut le cas pour les Tiger Moth construit par les usines Morris en Angleterre et les Staggerwing. Pour que ça aille plus vite la colle employée était de la colle à l’urée à séchage très rapide et les assemblages de bois sur gabarit étaient bourrés de colle et maintenus en place par des tasseaux cloués en contreplaqué. Conséquences: la colle à l’urée cristallise à la longue et ne colle plus et les petits clous des tasseaux rouillent et se détachent. Il faut tout refaire avec des bois modernes et des colles d’aujourd’hui.

 

Le Staggerwing est très agréable en présentation car il restitue remarquablement en montée l’énergie acquise lors d’un piqué. Il ne décroche pas vraiment à cause des ailes décalées qui font que, je l’ai dit, l’aile du dessus décroche bien après celle du dessous. l’avion plonge et reprend de la vitesse. Cela intervient aux alentours de 65 km/h ce qui est ridiculement faible pour un avion de plus de 2 tonnes.

Le Beech D17S Staggerwing F-AZJP train sorti © Liliane Cotton

Sur le Beech G17S qui a succédé au D17S, la dérive est un peu plus grande pour améliorer le contrôle directionnel, la liaison parebrise capotage moteur est plus fluide, les tôles de carénage de roues n’ont plus le triangle d’évidemment, les freins sont à disque avec des plaquettes comme pour des freins actuels et comme sur le F-AZJP, et le manche basculant n’a pas le même dessin. Sinon le reste et les performances sont rigoureusement identiques.

 

Le Beech 17 quasiment entièrement construit à la main et équipé sur mesure ne résista pas  à la concurrence du Beech 35 Bonanza, avion tout métal plus moderne à performances sensiblement équivalentes pour le tiers du prix . Seulement Vingt Beech G17S furent vendus et sa production s’arrêta en 1948 . Au total, 781 Beech 17  » Staggerwing » furent fabriqués en huit modèles différents au cours des 16 années de production . Seulement trois Beech D17S « Staggerwing » sont en état de vol en France plus un stocké en parfait état, alors si vous avez l’occasion d’en voir voler un régalez vous les yeux.

 

Source des informations :
Jean-Philippe Chivot proprietaire du Beech D17S Staggerwing F-AZJP
Le Fana de L’aviation N°515 Octobre 2012

IMPATIENCES DANS L’AZUR

 

 Impatiences dans l’azur

L’aventure du 1er Vol Orienté  de l’histoire de l’aviation interprétée par 50 acteurs et une pianiste .
A La Tour Du Pin /Centre Equinoxe
Samedi 27 (20h30) – Dimanche 28 (16H30) – Lundi 29 Octobre (20H30)
Texte et mise en scène Claude Bonin / Cie Le Château de Fable / Association LES GODAS 

Dans le cadre du Festival de Théâtre Amateur : Les Théâtrales.

Lumières Franz Banlier – Costumes Evelyne Bourset, Françoise Reybaud, Elisabeth Hans – Piano Tatiana Alamartine – Son Michel Picot – Vidéo Thao Huynh – Production association les Godas / Montceau avec le soutien du Conseil général de l’Isère, de la Capi, du Théâtre Jean-Vilar de Bourgoin_Jaliieu et des Services Culturels de la Tour du Pin.
Avec Marylise Thoulet, Romain Lansigu, Pierre-Jean Bonin, Marc Fouchier, Roger Bruno_Mignot, Jésus Valle, Anne-Julie Barras, Léa Bonin, Eddy Genevay, Grégory Dufant, Yves Andrieu, Carole Bohnert, Laurent Calvet, Henry Gaget, Olivier Courault, Jean-Pierre Lansigu, Elisabeth Lansigu, Philippe Bongiraud, Bruno Rabilloud, Denis Barillot, Alexandra Genevay, Pascal Blot, Manue Paris, Monique Marie, Maxime Gonin, Sandrine Bourset, Nerys Michard, Lucille Richermoz, Marine Richermoz, Clémence Barras, Lou-Anne Raynaud, Hanaé Bourset, Sélène Bourset, Inès Simond, Nathan Richermoz, Bérenger Simond, Yasmina Moumen, Jocelyne Ricard, Laurent Pierregrosse, Nicole Depinois, Jocelyne Bruno-Mignot, Marinette Milliat.
10 Février 1911 – Albert Kimmerling, jeune pilote de 28 ans effectue pour la première fois dans l’histoire de l’aviation un vol orienté reliant un point A à un point B avec exactitude : alors l’avion n’est plus seulement un outil de reconnaissance ou de prouesse sportive ; il devient un moyen de transport. L’aviation moderne est née. C’est la genése et la réussite de cet authentique exploit effectué depuis l’aérodrome de Bron («champ d’expériences d’aviation ») au terrain dit « les pièces longues » vers la Chapelle de Montceau qu’interprètent 48 acteurs amateurs accompagnée par une pianiste professionnelle sous la direction Claude Bonin (auteur et metteur en scène de la compagnie Le Château de Fable). Cette fresque relate un fait exceptionnel du Nord-Isère et par delà, sa densité historique : La noblesse d’un théâtre amateur jubilatoire. Le rapport à l’espace et au temps revisité.  » Impatiences…  » poursuit son envol libre …

Durée 1h30 – Tarif 13 € – abonnés 10€ – jeune 5€
Réservation : Service culturel – 04 74 97 59 73

le récit du vol :
http://club.quomodo.com/lesgodas/les_activites/la_vraie_histoire_d_impatiences_dans_l_azur_.html
Un aperçu du spectacle
http://club.quomodo.com/lesgodas/les_activites/theatre_impatiences_dans_l_azur.html


Air 14 Payerne Suisse

Ce film digne d’un clip à la « Top Gun » accompagné du logo « AIR 14 » ont été présentés mercredi dernier à la presse. Ils annoncent l’un des plus grands meetings européens de 2014, composé de plus de 300 avions et attirant près de 400 000 spectateurs à Payerne en Suisse . En 2004, sur un seul week-end « Air 04 » avait déjà attiré plus de 270 000 spectateurs autour du dernier meeting aérien d’envergure organisé à Payerne.
En 2014 plusieurs anniversaires auront lieu dont le centenaire de l’armée de l’air suisse, le 50eme anniversaire de la Patrouille Suisse et le 25eme anniversaire de la « PC7 Team ». Plusieurs événements seront organisés en 2014 pour marquer ces différents anniversaires dignement, le tout s’articulant autour de dix journées, dont la moitié seront ouvertes au grand public .

Le début des festivités sera lancé au sud des Alpes où la Base aérienne Locarno célébrera le 75ème anniversaire de son terrain d’aviation militaire et civil.
Le 31 juillet, la célébration officielle sera tenu à Berne Beundenfeldsite de la première piste d’atterrissage des Forces aériennes suisses. 

En 2014, c’est deux meeting aériens qui auront lieu à Payerne pour fêter un anniversaire d’une telle importance. Les deux week-ends consécutifs de fin août et début septembre, Payerne deviendra le rendez-vous incontournable pour les passionnés d’aviation AIR 14 PAYERNE . Alors surtout n’oubliez pas ces deux dates.

30 – 31 août et 6 – 7 septembre 2014


Le Colonel GS Ian Logan, chef du projet « AIR 14« , est responsable de l’organisation de toutes les activités organisées pour fêter le centenaire de l’Armée de l’air suisse .

Sources des informations :

Aéropuces 2012

©Musée de L’air et de l’Espace

Aéropuces 20 et 21 octobre 2012
 

Pour la 6eme année consécutive, le musée de l’Air et de l’Espace organise sa grande brocante aéronautique. Collectionneurs, particuliers et professionnels se retrouvent, sous les ailes des deux Concorde du musée, pour deux jours de « chasse aux trésors », dans une ambiance festive. Plus de 60 exposants sont attendus sur 300m d’exposition linéaire. Entrée gratuite.



Hall Concorde : la brocante dédiée à l’aviation pendant tout le week-end
Au cœur du premier musée aéronautique du monde, sur l’aéroport mythique du Bourget, Aéropuces,  initiative de deux passionnés, Jean-Charles Le Carréres et Jean Molveau, présente des stands diversifiés, pour satisfaire le plus grand nombre. On y croise d’insatiables collectionneurs de maquettes, des boulimiques de récits d’aventures, de documentation technique ou de bandes dessinées, des collectionneurs d’uniformes, d’objets publicitaires, d’affiches ou de cartes postales. D’autres « chinent » fiévreusement à la recherche de l’instrument de bord, du carburateur ou de l’hélice qui trônera dans leur salon ou les aidera à faire voler leur avion. Vendeurs  et visiteurs peuvent réellement dialoguer : contrairement à un achat sur Internet, Aéropuces permet un contact direct.

Informations pratiques :
Samedi 20 et dimanche 21 octobre, de 10 h à 18 h. Entrée gratuite. Venir à Aéropuces
Contact pour les exposants : http://www.museeairespace.fr/contact/communication/


Le Cahier des As Oubliés de 14-18 N°1 : Le concours d’aviation militaire de 1911

Le Cahier  N°1

  » Le concours d’aviation militaire de 1911″est le N°1 des Cahiers des As Oubliés de 14-18 qui paraitront deux fois par an en complément du site : http://www.asoublies1418.fr

Le concours d’aviation militaire de 1911
Claude Thollon-Pommerol 
Pour répondre aux besoins de l’armée le ministère organise un concours d’aéroplanes (on ne dit pas encore avion) selon un cahier de charges assez simple mais rigoureux. Les appareils de fabrication française, y compris le moteur, doivent être triplaces. Ils devront être facilement transportables par la route. Ils devront démontrer leurs qualités ascensionnelles (monter à 500 m en moins de 15 mn) et d’atterrissage et décollage (sur un pré de luzerne, des chaumes et un champ labouré) en portant une charge de 300 kg.
Devant les gains potentiels — plus d’un million de francs de prix — des commandes aux trois premiers, les constructeurs se mobilisent. Si plus de 100 sont inscrits fin 1910, seulement 34 aéroplanes se présentent le 1er octobre 1911 à Reims-Betheny. Le mauvais temps va empêcher le bon déroulement des épreuves qualificatives. De nombreux accidents de pilotes et la mort de deux hommes de piste et de deux pilotes vont marquer le concours.
Le 13 novembre 1911, neuf avions vont s’affronter en finale dans une épreuve de vitesse où ils devront emporter 3 personnes sur un parcours de 300 km. Seuls 8 appareils termineront le concours. Les favoris n’ont pas brillé, certains comme Voisin, Morane, Sommer, Blériot, ne qualifiant aucun appareil. Au-dessus du lot, avec une vitesse de plus de 117 km/h, le monoplan Nieuport de Weymann. Derrière lui un Breguet piloté par Moineau et le Deperdussin de Prevost. Mais il n’est pas certain que l’appareil militaire idéal ait été ainsi sélectionné…

Table des matières du Cahier des As Oubliés de 14-18 N°1 :
L’organisation du Concours
Les avions
Les pilotes
L’éphéméride des épreuves qualificatives
L’épreuve de vitesse
Les leçons du Concours

Le Cahier  N°2

Le Cahier des As Oubliés de 14-18 N°1  » Le concours d’aviation militaire de 1911 » est désormais disponible.
Le N°2 « Donnez des aéroplanes à La France. 1912-1913 » devrait être disponible en octobre, quant au N° 3 « L’aviation aux manœuvres d’avant-guerre. 1910-1913 » il sortira en novembre.
Vous pouvez commander chacun des 3 numéros au tarif de 15 euros port compris (France métropolitaine) auprès de Claude Thollon-Pommerol . Quatre pages de chaque numéro et le bulletin de commande sont disponible sur le site les « As » oubliés de 14-18. Histoire de l’aviation française de la 1ere guerre mondiale : http://www.asoublies1418.fr
 

le N°1 comporte 64 pages, 21 x 29,7 cm, 89 illustrations
Offset, dos carré cousu, couverture souple pelliculée couleur


Pascale Alajouanine-Duhoo, marraine du meeting aérien de Lens 2012

Pascale Alajouanine-Duhoo sur CAP 332 F-GRPA ©Xavier Cotton

Pascale Alajouanine-Duhoo sur CAP 332 F-GRPA ©Xavier Cotton

 

Originaire de Béthune (Pas de Calais), Pascale Alajouanine-Duhoo est la marraine officielle des meetings de Lens depuis 2007.
À l’occasion du meeting franco-polonais du 16 septembre 2012, Pascale Alajouanine-Duhoo a encore réjouit petits et grands par le spectacle magique de sa démonstration de voltige au dessus de l’aérodrome de Lens-Benifontaine . À bord de son CAP 332 rouge et blanc, Pascale a enchaîné pendant 10 minutes avec grâce mais fermeté et précision toutes les figures de la voltige aérienne  (tonneaux, boucles, retournements, renversements…..), le tout souligné par la trace d’un fumigène blanc . Je suis certain que sans le savoir, Pascale a encore influé sur l’avenir de quelques jeunes filles ou garçons qui prendront son relai d’ici quelques années…..

En tout cas elle m’a personnellement laissé rempli d’admiration par le professionnalisme de son travail et la beauté de sa chorégraphie aérienne.

CAP 332 au décollage ©Xavier Cotton

CAP 332 au décollage ©Xavier Cotton

Pascale Alajouanine-Duhoo ©Xavier Cotton

Pascale Alajouanine-Duhoo ©Xavier Cotton

Il faut dire que  Pascale Alajouanine-Duhoo voltigeuse de haut niveau est dotée d’un des plus impressionnants palmarès du monde aéronautique. Née le 23 avril 1955 à Hazebrouck, c’est seulement à 27 ans qu’elle prend ses premières leçons de pilotage incitée par son mari, Régis Alajouanine, lui-même pilote chevronné, voltigeur de haut niveau et créateur de l’Amicale de Voltige Aérienne de Saint-Cyr-L’École .

 
A partir de 1985, Pascale Alajouanine-Duhoo aborde la compétition et se classe seconde de la Coupe Espoirs, troisième de la Coupe Desavois en 1987. En 1989, elle devient championne de France biplace sur CAP 10 . Elle aborde ensuite les compétitions internationales aidée par des sponsors qui lui fournissent un Cap 231 puis un Cap 232. 

Pascale sera sacrée championne du monde par équipe en 1994, puis en 1995 championne de France en individuel à Montluçon et la même année championne d’Europe en Tchéquie. Pascale Alajouanine-Duhoo obtiendra deux nouveaux titres de championne de France 1996 et 2000. En 2002 elle réalise un nouveau doublé au championnat de France à Bordeaux et au championnat d’Europe en Lituanie. Elle obtient son cinquième titre de championne de France en 2004 à Jonzac  Enfin en juin 2005, elle est sacrée vice-championne du Monde en programme libre en Espagne. Elle affectionne particulièrement les programmes libres mais aussi inconnus (disputés sans entraînement et donnés quelques heures avant l’épreuve),

Pascale Alajouanine-Duhoo salue le public de Lens ©Xavier Cotton

Pascale Alajouanine-Duhoo salue le public de Lens ©Xavier Cotton

En août 2005, les Cap 231 et Cap 232 sont interdits de vol par la Direction Générale de l’Aviation Civile et n’ont pu revoler qu’à partir juin 2006, après quelques modifications techniques. 
Après 13 années passées en équipe de France de voltige aérienne et un palmarès qui fera rêver tout voltigeur pendant encore longtemps, Pascale Alajouanine-Duhoo profite de cette interruption pour arrêter la compétition et poursuivre son métier d’opticienne qu’elle a toujours continué d’exercer en parallèle de sa carrière de sportive de haut niveau. 

Pour le plus grand plaisir du public, Pascale Alajouanine-Duhoo continue de participer à de nombreux meetings aériens dont elle apprécie la convivialité  et la qualité des échanges humains. Cette grande dame de la voltige aérienne toujours souriante nous honore de la qualité impressionnante de ses démonstrations . Pascale vole toujours sur le CAP 332 F-GRPA (cn 6 construit en 1996) de l’Amicale de Voltige Aérienne de Saint-Cyr-L’École . Celui ci est équipé d’un moteur de 300 chevaux et d’une hélice tripale plus performante avec une aile en carbone pour un poids à vide de 590 kg. Son taux de roulis  de 420 °/s lui permet de faire un tonneau en moins d’une seconde. Ses longerons sont certifiés pour des accélérations de +9g à -9g.

CAP 332 F-GRPA de l'Amicale de Voltige Aérienne ©Xavier Cotton

CAP 332 F-GRPA de l’Amicale de Voltige Aérienne ©Xavier Cotton

Sources des informations :  
Amicale de voltige Aérienne : http://www.amicale-voltige.com
Le meeting aérien de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin : http://www.meeting-air-lens.com/Interview de Pascale Alajouanine-Duhoo dans la voix du nord : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lens/actualite/Secteur_Lens/2010/09/12/article_pascale-alajouanine-la-marraine.shtml


Antoine de Saint Exupéry « la gloire amère » (1936-1944) – Bernard Marck

Bernard Marck

Antoine de Saint Exupéry  
2. La gloire amère (1936-1944)

 » Saint Ex  » connu et inconnu

 1936. Après des années heureuses mais laborieuses, auxquelles ont enfin succédé l’action au sein de l’Aéropostale et le succès littéraire, Saint Exupéry entre une période incertaine, qui culmine avec la mort de son ami Mermoz, le 7 décembre . Terre des hommes, recueil de souvenirs et de reportages, développe l’année suivante une réflexion humaniste . Mais, désenchanté et désargenté, « Saint Ex »enchaîne les aventures aériennes périlleuses et sans lendemain.
Mobilisé malgré ses quarante ans, le pilote retrouve au début de l’offensive allemande un souffle nouveau, perceptible dans  Pilote de guerre . À l’armistice, après un passage en Afrique du Nord, il quitte la France pour New York, résolu à faire entrer les américains dans la guerre. Il devient alors l’une des voix de la Résistance.
Décidé à servir son pays à la dérive, il réussit à reprendre sa place dans le  » Grand Cirque  » et forcera l’admiration de ses camarades au sein du groupe de reconnaissance II/33, basé en Corse, chargé de préparer le débarquement de Provence . C’est un homme hanté par les dérives du progrès qui plonge dans les dangers et finit par sacrifier sa vie, en mission, le 31 juillet 1944, au large de Marseille……

Après La soif d’exister (1900-1936), Bernard Marck raconte les dernières années d’une vie bouillonnante, celle du pilote qui ne voulut pas suivre le général de Gaulle, mais aussi de l’écrivain dont Le petit prince, fable écrite aux États-Unis, fera plus pour sa gloire posthume que tous ses livres réunis . Le second volume d’un biographie magistrale, fruit de plus de vingt ans d’enquête et d’entretiens exclusifs avec des dizaines de témoins ou de proches

À propos du volume 1,  La soif d’exister (1900-1936) :

« Bernard Marck nous montre, comme on ne l’a jamais aussi bien fait, le pilote audacieux, l’aventurier, le héros de l’aéropostale tenant sa place dans les salons littéraires…. »(Edmonde Charkes-Roux, La Provence)


« Ce qui s’est fait de plus sérieux et de plus fouillé sur la vie d’un personnage bien compliqué . Une lecture indispensable…. « (Icare, revue de l’aviation)

Antoine de Saint Exupéry  2. La Gloire amère (1936-1944) de Bernard Marck
Editions L’Archipel : http://www.editionsarchipel.com/
528 pages – 8 pages de photos
24,00 €
ISBN : 9782809807752
Écrivain et journaliste, ancien rédacteur en chef  de la revue Aéroports Magazine, auteur d’une Histoire de l’aviation (Flammarion) et d’un Dictionnaire universel de l’aviation (Tallandier) de référence, Bernard Marck a fait découvrir à un large public quelques grandes figures de l’aviation : Il était une foi : Mermoz (Picollec, 1986), Le dernier Vol de Guynemer (Acropole, 1991), Amelia (Arthaud, 2010). Les éditions de l’Archipel ont publié Les aviatrices (1993), son édition de la correspondance de Mermoz (Défricheur du ciel, 2001) ainsi que ses biographies d’hélène Boucher (2003) et de Charles Lindbergh (2009)


Le Caudron C-601 F-PFLB revole

Christian Ravel aux commandes du Caudron Aiglon C-601 ©Yves Le Mao/GPPA
Depuis plus de trois ans le Caudron C-601 Aiglon immatriculé F-PFLB appartenant à Gonzague Gaudet était exposé au Musée Régional de l’Air à Angers-Marcé. Cet appareil ex-Caudron C-600 n°18 F-BFLB fut transformé en C-601 essentiellement par le remplacement de son moteur Renault 4Pgi de 100 Cv par un Renault 4Pei de 140 Cv . Le 24 juillet dernier, après une vérification approfondie de la cellule et du  moteur, Christian Ravel (Co-créateur du GPPA et Président du Musée Régional de lʼAir d’Angers) permit à cette belle machine de retrouver la voie des airs : « Le Caudron s’est parfaitement comporté. L’avion, très fin et sensible sur tous les axes fait apparaître un léger couple à droite, comme le Stampe avec qui il partage le même moteur. Les décollages et atterrissages sont faciles mais nécessitent de bien maitriser la technique trois points. En résumé une bien belle machine« 

Fin août le Caudron C-601 a quitté le Musée Régional de l’Air (GPPA)  par la voie des airs, en effet Christian Ravel a convoyé l’Aiglon jusqu’au terrain privé d’Orbigny (Indre-et-Loire)Classique Aéro Service spécialisé dans la restauration, la construction et l’entretien d’avions anciens lui permettra effectuer une cure de jeunesse. C’est l’unique Aiglon en état de vol en France.
Source des informations :
Musée Régional de l’Air d’Angers : http://www.musee-aviation-angers.fr
Info-pilote n°678 septembre 2012

POTEZ 60 F-PRYP aux 80 ans de la Montagne Noire

Potez 60 F-PRYP ©Jacques Hémet
L’histoire de cet avion école Potez 60 (F-PRYP) remonte à 1934 au temps du front populaire. Conservé par quelques amoureux des belles machines, il passa de terrains en terrains, avant de finir en Normandie, abandonné et en mauvais état. Il fut rapatrié à Carcassonne où l’Association des Constructeurs Amateurs et Pilotes Audois (ACAPA) l’ont restauré (voir photos) lui rendant une nouvelle jeunesse . Ce biplace en bois et toile à aile parasol et train classique est équipé d’un moteur Continental de 90 Cv qui lui donne une vitesse de croisière de 150 km/ h pour une autonomie de 5 heures.

Le 09 juin 2012, Jacques Hémet a photographié ce Potez 60 venu en voisin pour participer aux 80 ans de l’aérodrome de la Montagne Noire à Revel . En effet c’est en 1932 que Jean-Thomas et Jean-Garrigue ont fondé l’aérodrome de la Montagne Noire (LFMG) site perché au-dessus de Saint-Ferréol . La Communauté de communes Lauragais-Revel-Sorézois est le propriétaire des installations de l’aérodrome.

Le week-end des 9 et 10 juin derniers, Le club de vol à voile et l’Association de Préservation du Patrimoine Aéronautique et de la Restauration d’Avions Typiques (APPARAT), gestionnaire du musée avaient organisé plusieurs manifestations pour fêter dignement l’anniversaire de cet aérodrome théâtre de nombreux exploits et records mondiaux . En devenant  centre national de vol à voile l’aérodrome de la Montagne Noire a connu son apogée, Jacqueline-Auriol, la première femme pilote sur avion de chasse et de nombreux pilotes de ligne sont venus s’y former .
Cet anniversaire était aussi marqué par la présence de Thérèse Boucheny, la fille d’Éric Nessler qui établit en 1942 au départ de l’aérodrome de la Montagne Noire le record du monde de durée en planeur soit 38h21 .

Sources des informations :
Association des Constructeurs Amateurs et Pilotes Audois : http://acapa11.free.fr
Vol à Voile Montagne Noire : http://vvmn.free.fr
Musée d’aviation légère de la Montagne Noire : Association pour la Préservation du Patrimoine Aéronautique et de la Restauration d’Avions Typiques (APPARAT)
La Dépêche : http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/15/1378652-revel-on-a-fete-les-80-ans-de-l-aerodrome.html


Journées du Patrimoine : Visitez un Super Constellation

JOURNÉES DU PATRIMOINE
15 et 16 septembre 2012
Visite du Super Constallation
à Nantes-Atlantique

Le samedi 15 et le dimanche 16 septembre 2012 de 09h00 à 18h00 l’Amicale du Super Constellation organise des journées « portes ouvertes »  du Super Constellation F-BGNJ basé sur l’aéroport de Nantes-Atlantique (Route de Frémiou) . Vous aurez ainsi l’occasion de visiter cet avion qui représente l’aboutissement des avions de ligne transatlantique à hélices  avant l’arrivée de l’ère du jet . Le F-BGNJ construit en 1943 classé au patrimoine des monuments historiques depuis le 31 juillet 2001. Livré à Air France le 2 novembre 1953, il fera partie de la flotte de note compagnie nationale jusqu’au 8 août 1968 . Sous l’immatriculation EC-BEN puis F-BRAD, il accumulera encore de nombreuse heures de vol jusqu’à son dernier voyage qui le vit atterrir sur l’aéroport de Nantes-Atlantique, où il échappa de peu au ferraillage grâce à son achat par un particulier Mr GABORIT qui l’entretien avec des moyens réduits pendant plusieurs années . En 1999 la Chambre de Commerce et d’Industrie rachète cet avion et en confie la préservation et restauration à l’Amicale du Super Constellation

Les travaux de restauration sont encore importants, comme par exemple la remise en état de l’intégralité de la cabine passagers + salons Parisien Spécial, sièges du poste de pilotage . Ces travaux demandant un budget considérable, l’Amicale lance un « Appel aux Dons » pour continuer à préserver et à restaurer le dernier exemplaire de Super Constellation aux couleurs Air France.

Pour cela, vous avez la possibilité de le faire sur le site de l’amicale : http://superconstellation-nantes.fr/
Il n’y a pas de montant minimum, vous pouvez effectuer votre don par compte Paypal ou par Carte Bancaire (transaction sécurisée).
Pour ceux qui préfère le faire par chèque, envoyez vos dons à cette adresse:

AMICALE DU SUPER CONSTELLATION
Aéroport de Nantes-Atlantique
Case Postale 60
44340 BOUGUENAIS

Les industriels ou organismes qui souhaiteraient devenir partenaire financier de ce projet peuvent aussi nous contacter à cette adresse: partenaire@superconstellation-nantes.fr

Sources des informations :
L’Amicale du Super Constellation : http://superconstellation-nantes.fr