À priori, cet avion s’était posé à Auxerre en 2006 pour que l’avionique y soit modernisé, mais aurait été saisi par la justice. Depuis lors, cet avion avait été déplacé plusieurs fois, du parking nord à l’angle nord-est dans le fond, et comme malgré les scellés, certains venaient le « visiter » alors qu’il était encore équipé de ses armements de déclenchement de siège éjectable, il fut mis coté pompier pour être visible, puis finalement à l’entrée de l’aérodrome.
Le L39 RA3366K restauré par le musée de Savigny-les-Beaunes
À priori, cet avion s’était posé à Auxerre en 2006 pour que l’avionique y soit modernisé, mais aurait été saisi par la justice. Depuis lors, cet avion avait été déplacé plusieurs fois, du parking nord à l’angle nord-est dans le fond, et comme malgré les scellés, certains venaient le « visiter » alors qu’il était encore équipé de ses armements de déclenchement de siège éjectable, il fut mis coté pompier pour être visible, puis finalement à l’entrée de l’aérodrome.
Show aérien Le Mans
28 septembre 2014
Et en exclusivité cette année le face à face amical d’un sport prototype Pescarolo 02 de 380 Ch et d’un Mudry CAP 232.
Le show aérien sera commenté par Ivan Hairon.
Pour plus d’informations :
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Portes ouvertes à Toussus-Le-Noble
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Les MS472 de l’ERALA 1/36 d’Essey-lès-Nancy
Alignement de MS472 à Essey lès Nancy en 1957© Jacques Hémet |
L’ERALA 1/36 est donc créée le 1er janvier 1957 faisant suite au CERO 307 qui a été mis sur pied le 31 janvier 1952 à Essey-lès-Nancy, devenu CER le 21 juillet 1954 et dissous le 31 décembre 1956.
La mission principale des CERO consiste à maintenir un niveau minimum d’entraînement opérationnel et militaire pour les réservistes (Personnel Naviguant et Personnel Non Naviguant). Commandés par un officier d’active, les CERO peuvent aussi mener des missions secondaires au profit de la Défense opérationnelle du territoire (DOT), aux ordres des commandants de régions aériennes (liaison, observation…). L’insigne visible sur le premier Vanneau de la photo est celui du CERO de Nancy : un écu noir à une aigle bicéphale éployée.
Sources :
Michel Baron, Guy Fruchart, Jacques Hémet, Gilbert Neel, Bernard Palmieri
Le Fanatique de l’Aviation N°104 de juillet 1978 au n°108 de novembre 1978 : les Morane Saulnier « Vanneau » par Edouard Mihaly.
http://www.traditions-air.fr
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Rennes Airshow® 2014
Blériot XI, Stampe SV4, hélicoptère Sea King, EC135, Fokker DR1, Nieuport 28, Bücker 131 Jugman, Extra 260 (Eddy Dusseau), Breitling Wing Walkers, Piper L18 et L19, Nord 3202, Spitfire, EC120 Colibri, TBM700, P51 Mustang, Extra 330 de l’EVAA, Patrouille de France, Corsair, Sea Fury, Klemm 35D et Rafale Solo Display.
Départ de la Patrouille de France, Biplan HATZ, départ du C160 Transall, Blériot XI, Stampe SV4, EC135, Bücker 131 Jugman, Klemm 35D, Spitfire, Sea Fury, Piper L18, Piper J3, Nord 3202, Morane Saulnier MS760 Paris, Extra 260 (Eddy Dusseau), TBM700, Rafale Marine, EC120 Colibri, Breitling Wing Walkers, Fokker DR1, arrivée des « Red Arrows » (Royal Air Force), Nieuport 28, hélicoptère Sea King, Corsair, Rafale Solo Display, Extra 330 de l’EVAA, Piper L18, P51 Mustang, « Red Arrows » (Royal Air Force).
Infos pratiques :
Tarif : 10€/jour gratuit pour les moins de 12 ans
Le programme 3 €
Parking Gratuit
Ouverture du terrain : 12h00 le samedi 20 et 09h30 le dimanche 21 septembre
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Meeting aérien Des Étoiles et des Ailes à Toulouse-Francazal 2014
Affiche dessinée par Bernard Cadène |
Le festival Aérospatial Des Étoiles et des Ailes réunit pendant quatre jours en novembre depuis 2010, petits et grands, amateurs, néophytes et passionnés autour d’animations, de projections de films, de conférences et d’un salon du livre et de la bande-dessinée.
Le 21 septembre 2014, le 1er meeting aérien Des Étoiles et des Ailes se déroulera à l’aéroport de Toulouse-Francazal piste historique de l’aviation française.
Informations pratiques :
Entrée : 10€, gratuit pour les moins de 12 ans
Billets en vente : http://www.desetoilesetdesailes.com/fr/meeting-aerien/billetterie
Parking sur le site de Francazal
Navettes TISSEO gratuites de puis le metro Basso Cambo et parking Carrefour Portet sur Garonne à partir de 11h00
Navettes gratuites depuis Thales Alenia Space à partir de 11H00
Meeting de Toulouse-Francazal : http://www.desetoilesetdesailes.com/fr/meeting-aerien
Des Étoiles et des Ailes : http://www.desetoilesetdesailes.com/
Aeroscopia : http://www.aeroscopia-blagnac.fr/
Bernard Cadène : http://www.bernardcadene.com/
La Patrouille de France : http://www.patrouilledefrance.fr/
La Patrouille Breitling Jet Team : http://www.breitling-jet-team.com/fr/
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Il y a 100 ans : la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation
C’est dans le ciel de la Champagne que, il y aura tout juste cent ans dans quelques jours, s’est déroulée la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation, événement fondateur que la Marne, comme l’Armée de l’air, s’apprêtent à célébrer. Dans la matinée du 5 octobre 1914, un appareil allemand était en effet abattu par un biplan français à quelques kilomètres au nord-ouest de Reims. Le Voisin type III (1) immatriculé V89 qui décolle du terrain de Lhéry (2) dans la Marne, lieu de stationnement de l’escadrille V 24 (3), au petit matin du lundi 5 octobre 1914 a reçu pour mission la reconnaissance et le bombardement d’une concentration de troupes allemandes signalées à proximité de Reims, un peu au nord du fort de Brimont. Piloté par le sergent Joseph Frantz (4) assisté de l’observateur – et mitrailleur – Louis Quenault (5), le frêle biplan parvient sans dommage au-dessus de son objectif et réussit à y larguer les six bombes qu’il a embarquées – des obus de quatre-vingt-dix millimètres empennés. Le feu nourri de l’ennemi oblige toutefois le pilote de l’avion à entreprendre une manœuvre de dégagement pour se mettre hors de portée de l’adversaire ; mais l’appareil n’a pas été endommagé et reprend la direction du terrain de Lhéry. Néanmoins, son pilote entend lui faire faire un petit détour : un survol de la vallée de la Vesle, au-dessus de laquelle il espère rencontrer un avion ennemi, ce qui lui permettrait de faire usage de l’arme dont son appareil a été équipé. Celui-ci appartient en effet à la seule formation ayant armé ses avions : la susdite V 24 (6). Une escadrille qui, à l’initiative du capitaine André Faure qui la commande et du constructeur Gabriel Voisin, a doté ses six biplans d’une mitrailleuse Hotchkiss de 8 millimètres de calibre (7).
Fort de son accélération, l’avion français s’approche rapidement à une centaine de mètres de l’ennemi ; un peu trop vite et pas assez discrètement sans doute puisque l’équipage du Voisin voit soudain l’Aviatik virer brutalement à gauche et accélérer pour tenter d’échapper à son adversaire. Seule alternative pour les Français : couper le virage décrit par l’avion allemand, en dépit des risques représentés par la pénétration dans l’angle de tir de l’observateur allemand. Un observateur qui, d’ailleurs, armé d’une carabine automatique à répétition, en profite aussitôt pour faire feu sur son assaillant, manquant toutefois sa cible. Fort heureusement, Joseph Frantz parvient à repositionner son appareil et le place à moins de cinquante mètres en arrière de l’avion allemand. À Louis Quenault, maintenant, de s’appliquer dans son tir et d’abattre l’appareil ennemi ! Celui-ci, appuyé sur sa mitrailleuse montée sur un trépied métallique, fait feu avec calme, préférant le coup par coup au tir en rafale afin d’éviter l’enrayage de son arme ; l’exercice est d’autant plus aisé que l’ennemi, qui tente bien de se dérober en virant continuellement, ne parvient pas à se dégager du Voisin. Les tirs du Français ne faiblissent pas, seulement interrompus une fois les vingt-cinq premiers coups tirés par la nécessité de changer de chargeur. Mais soudain, ce que Louis Quenault redoutait se produit : voilà que la quarante-septième cartouche enraye la mitrailleuse et la rend inutilisable… Le combat, dominé jusque-là par les Français, va-t-il tourner à l’avantage de l’ennemi ? Non ! Par chance, plusieurs balles ont atteint leur cible… En effet, alors que Louis Quenault a déjà commencé le démontage de la culasse de l’arme pour tenter de réparer, voilà que l’Aviatik, soudain, se cabre (12), puis retombe sur le dos et se met à adopter des mouvements totalement incohérents, suivant une trajectoire désordonnée. L’appareil, dont le pilote est blessé ou inconscient – et même peut-être mort –, n’est visiblement plus contrôlé… Peu après, l’essence embarquée prend feu. L’appareil pique vers le sol en tourbillonnant comme une feuille morte et, à l’issue d’une chute vertigineuse, vient s’écraser dans les marécages de la vallée de la Vesle, à proximité des villages de Jonchery-sur-Vesle et de Muizon. Suivi à distance par des milliers de spectateurs – les combattants des deux camps terrés dans leurs tranchées respectives –, ce combat d’une quinzaine de minutes soulèvera l’enthousiasme des combattants français. Des combattants qui répondront au bruit sourd du crash de l’avion par une longue ovation. Sur les lieux du crash déferleront un grand nombre de curieux guidés par le nuage de fumée noire provenant de l’appareil en flammes. Puis des fantassins arriveront, qui extrairont des décombres de l’Aviatik les corps partiellement calcinés des deux Allemands (13). Un groupe d’officiers s’approchera alors, parmi lesquels le général Louis Franchet d’Espèrey (14) commandant la Vearmée, qui a personnellement assisté au combat et qui ordonnera leur mise en terre avec les honneurs militaires (15). Ayant pu atterrir à peu de distance du lieu du crash, les deux aviateurs français tenteront de gagner le point de chute à travers les marécages, ce qu’ils feront sous les acclamations. Parvenus sur les lieux, ils y apprendront que les corps des aviateurs allemands ont été retrouvés, chacun, transpercés de plusieurs balles, ce qui les rassurera : du moins ont-ils échappé à d’horribles souffrances. Le général Franchet d’Espèrey promettra alors de décorer Joseph Frantz et Louis Quenault, qui recevront quelques jours plus tard, respectivement, la croix de chevalier de la Légion d’honneur et la médaille militaire (16). Vers onze heures, les deux Français s’envoleront pour rejoindre leur terrain de Lhéry, satisfaits d’avoir fait leur devoir… et fiers d’avoir remporté la toute première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation. De retour sur l’aérodrome, où l’on s’est inquiété de ne pas voir rentrer l’appareil, les deux aviateurs feront connaître la grande nouvelle : « Nous l’avons eu, notre Boche ! ». Dans les jours qui suivront, deux « reliques » leur seront rapportées des lieux du crash : d’une part un morceau déchiqueté du moyeu de l’hélice de l’Aviatik (17) et, d’autre part, un lourd pistolet bi-canon en cuivre et bois (gravé au pointeau de l’inscription « B 114 »), arme vraisemblablement utilisée par l’équipage allemand pour lancer des fusées servant au réglage de l’artillerie. Cette victoire aérienne fondatrice, les deux aviateurs français ne devaient jamais l’oublier. Pas plus que le constructeur du biplan, Gabriel Voisin, qui, bien que ne l’ayant pas « vécue », déclarera bien des années plus tard : « J’ai souvent pensé à ces deux enfants que j’ai tués avec une préméditation absolument inhumaine, car c’est moi qui avais conçu cet avion meurtrier, et cet armement presque démesuré pour notre machine. »
Auteur :Frédéric Lafarge, ancien conservateur du Musée de la base aérienne 112 et de l’aéronautique locale (Reims). Septembre 2014.
Sources : fonds d’archives du Musée de la BA 112 et de l’aéronautique locale (actuel Musée de l’aéronautique locale de Bétheny).
Notes explicatives :
- Bombardier dérivé du Voisin I construit par l’entreprise Voisin Frères de Billancourt (premier vol effectué en février 1914). Motorisation : moteur Salmson en étoile refroidit par eau animant une hélice propulsive. Dimensions : 14,75 m (envergure) x 9,50 m (longueur) x 2,95 m (hauteur). Surface alaire : 49,7 m². Vitesse maximale : 115 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 3 500 m. Masse à pleine charge : 1 350 kg (à vide : 950 kg). Armement : une mitrailleuse Hotchkiss de 7,7 mm. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, mitrailleur à l’avant).
- Commune du canton de Ville-en-Tardenois dans l’arrondissement de Reims.
- Escadrille dotée de six appareils commandée par le capitaine André Faure.
- Né le 7 août 1890 à Beaujeu (Rhône) et décédé le 12 septembre 1979 à Paris, à l’age de quatre-vingt-neuf ans. Repose au cimetière de Montparnasse dans le 14e arrondissement de paris.Koseph Frantz, grand officier de la Légion d’honneur, était titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre 1914-1918 et de la médaille de l’Aéronautique.
- Né le 2 octobre 1892 à Paris, décédé à Marseille le 26 avril 1958. Repose à Peyruis (Alpes-de-Haute-Provence).
- Particularité s’expliquant par le fait que les aviateurs des deux camps bénéficient dans les premières semaines de la guerre d’une « impunité tacite », les états-majors excluant tout combat entre avions, comme en témoigne notamment une communiqué du quartier général allemand daté du 1eroctobre 1914 : « Ainsi que l’expérience l’a démontré, un véritable combat dans les airs, comme l’ont décrit les journalistes et les romanciers, doit être considéré comme un mythe. Le devoir de l’aviateur est de voir et non de combattre. »
- Mitrailleuse qui a été équipée d’un sac permettant de récupérer les douilles éjectées lors du tir, de manière à ce qu’elle ne puissent aller heurter l’hélice en rotation.
- Wilhelm Schlichting, âgé de vingt-trois ans, était né à Altendorf le 8 août 1891. Il était le fils de Klaus-Heinrich Schlichting, cordonnier, et de Johanna-Augusta-Sophia née Krey.
- Fritz von Zangen, âgé de trente et un ans, était né à Darmstadt (Hesse) le 4 mars 1883.
- Avion de reconnaissance construit par Aviatik Automobil und Flugapparatefabrik entreprise fondée en 1910 à Mulhouse et transférée dès 1914 à Fribourg-en-Brisgau . Mise en service : 1914. Motorisation : moteur Mercedes D.I à six cylindres en ligne à refroidissement liquide animant une hélice tractive.Dimensions : 13,97 m (envergure) x 8,63 m (longueur) x 3,30 m (hauteur). Vitesse maximale : 105 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 2 500 m. Masse à pleine charge : 1 250 kg (à vide : 825 kg). Armement : aucun. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, observateur à l’avant).
- « Il avait une vue prodigieuse ! » témoignera Gabriel Voisin, parlant de Joseph Frantz. « [Il avait] un excellent esprit, des réflexes étonnants et, surtout, un caractère très pointilleux pour ce qui touchait au fonctionnement de la machine. » Posture qui, un très court instant, inquiètera Louis Quenault, qui redoutera que le biplan ne percute l’Aviatik, d’où une énergique tape qu’il assènera à son pilote : « Attention ! On va rentrer dedans ! »
- Dépouilles dont seules les jambes sont calcinées, le reste des corps ayant échappé aux flammes.
- Louis Félix Marie François Franchet d’Espèrey, alors général de division, né à Mostaganem (département d’Oran, Algérie) le 25 mai 1856 et décédé à Saint-Amancet (Tarn) le 8 juillet 1942, nommé commandant de la Ve armée le 3 septembre 1914. Il sera élevé à la dignité de maréchal de France en 1921.
- Il fera de plus expédier leurs effets personnels à leurs familles, via la Croix-Rouge. Parmi ces effets figurait une lettre que le lieutenant allemand avait écrit à sa mère et qu’il n’avait eu le temps de poster avant de décoller : « […] il y a quelques jours, nous avons rencontré un avion ennemi qui nous a tiré dessus […]. »
- « On me propose pour la Légion d’honneur, ça me paraît beaucoup. » écrira Joseph Frantz, au soir du 5 octobre 1914, dans son petit carnet noir ficelé à l’aide d’un élastique. Ces décorations leur seront remises le vendredi 9 octobre 1914 sur le terrain d’aviation de Lhéry par le colonel Ganter, commandant l’aéronautique de la Vearmée. La différence de « traitement » entre les deux aviateurs s’explique par le fait que Joseph Frantz possédait déjà la médaille militaire, décoration qui lui fut remise une quinzaine de jours plus tôt « pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne ». Joseph Frantz et Louis Quenault seront cités au Journal officiel de la République française du dimanche 18 octobre 1914 et le texte de la citation de Frantz sera ainsi libellé : « Par décision ministérielle en date du 13 septembre 1914, la médaille militaire a été conférée au sergent Frantz, pilote aviateur, pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne. En particulier, le sergent Frantz, au mois d’août dernier, avait réussi, sous le feu de l’infanterie et de l’artillerie de la garnison de Metz, à lancer deux obus sur les hangars d’aérostation de Frescati. Le 5 octobre dernier, ce même sous-officier, accompagné du mécanicien tireur Quenault, a poursuivi un aéroplane et réussi à abattre un avion allemand en reconnaissance dans les lignes françaises. Le général commandant en chef lui confère la croix de chevalier de la Légion d’honneur et décerne au mécanicien Quenault la médaille militaire. »
- Pièce de bois rougeâtre portant l’inscription « Heine Berlin ».
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Journées Européennes du Patrimoine 2014 : Safran ouvre les portes de son musée
©Patrice Véron / Safran |
Safran ouvre les portes de son musée
Paris, le 1er septembre 2014
- Les « As de la Grande Guerre » qui s’inscrit dans le cadre des commémorations de la Première Guerre mondiale (exposition photos)
- L’« Oiseau Blanc » : avion équipé du légendaire moteur Lorraine-Dietrich1, qui aurait traversé l’Atlantique 12 jours avant Lindbergh en 1927. Une maquette de l’avion sera exposée ainsi que le moteur Lorraine. 1 L’entreprise Lorraine-Dietrich créée en 1871 construisait des automobiles, du matériel roulant ferroviaire puis du matériel lourd et des moteurs d’avion. Elle est reprise par l’entreprise Gnome et Rhône en 1941. Le moteur Lorraine-Dietrich fera d’ailleurs bientôt partie de la collection permanente du musée Safran.
©Gérard Maré / Safran |
- Le cockpit de l’A320 d’Airbus équipé du moteur le plus vendu au monde, le CFM56, sera mis en place sur le site. Il permettra aux visiteurs de s’initier au pilotage d’un avion de ligne, du décollage à l’atterrissage.(En partenariat avec GG Production « Le rêve n‘a pas de limite »)
- Un simulateur hélicoptère Bell 206, célèbre hélicoptère américain. Les visiteurs pourront prendre les commandes de cet outil d’entrainement réaliste et faire des vols d’initiation VFR (vol à vue) & IFR (vol aux instruments).(En partenariat avec Nonolight « L ‘hélicoptère à portée de tous »)
- Trois ateliers Fusées à eau et trois ateliers Micro-fusées à poudre seront proposés aux jeunes (dès 8 ans) afin de leur présenter de façon ludique les différentes étapes de la propulsion spatiale. Les fusées seront tirées depuis le parking du Musée (Altitude moyenne : 20 m). (En partenariat avec « Planète Sciences »)
- Un atelier animation mini hélicoptères radiocommandés permettra une initiation au pilotage de ces machines électriques. Cet atelier fonctionnera en continu, par période de 10-15 min. (Proposé par l’AAMS : Association des Amis du Musée Safran)
Enfin, toutes les collections permanentes du Musée seront accessibles de 9h à 18h, avec notamment :
- L’automobile Messier 1925 (première voiture équipée d’une suspension oléopneumatique).
- La moto à gazogène (Gnome & Rhône D3 de 1929).
- L’avion « Mirage III C » et l‘hélicoptère « Alouette II » à bord desquels les visiteurs pourront se faire photographier.
- L’avion « Blériot 11 » (équipé du premier moteur Gnome Omega)
- Démonstration du réacteur à décollage vertical (Coléoptère).
- Présence sur le parking tout au long de la journée du foodtruck Goody’s
Les 20 et 21 septembre deux petits trains seront mis à disposition de tous les visiteurs et feront la navette entre les animations proposées par la commune de Réau et le Musée Safran.
Témoignages de visiteurs 2013 :
« Mon fils qui rêve d’être pilote est monté à bord du Mirage ! »
«Je suis venu en famille, c’est idéal pour les enfants car il y a beaucoup d’activités de démonstrations.»
« Ce n’est pas la première fois que je viens, mais à chaque fois on apprend ! Nous reviendrons. »
Le Musée Aéronautique et Spatial Safran présente une collection unique de plus de 100 moteurs d’avions, de fusées et d’hélicoptères, dont la plupart ont été restaurés par l’Association des Amis du Musée Safran (moteurs d’avions) ou par des anciens de SEP (moteurs-fusées). Fruits de l’histoire du groupe Snecma, ces moteurs racontent toute l’épopée de la conquête du ciel et de l’espace. Le Musée permet aux visiteurs de parcourir une exposition vivante et interactive où, aux cotés des objets et des
maquettes mis en scène, l’audiovisuel apporte un indispensable complément. Le Musée présente également les principaux équipements fabriqués par le groupe : trains d’atterrissage, systèmes de freinages… ainsi que différents produits prestigieux qui ont marqué son histoire ; voitures, motos, etc.
Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace (propulsion, équipements), de la Défense et de la Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 66 300 personnes pour un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros en 2013*. Composé de nombreuses sociétés, Safran occupe, seul ou en partenariat, des positions de premier plan mondial ou européen sur ses marchés. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2013 des dépenses de 1,8 milliard d’euros. Safran est une société cotée sur Euronext Paris et fait partie de l’indice CAC 40.
* Le chiffre d’affaires 2013 retraité des impacts IFRS11 s’établit à 14,4 milliards d’euros
Pour plus d’informations, www.safran-group.com / Suivez @SAFRAN sur Twitter
©Roberto Frankenberg / Safran |
Adresse du Musée :
Rond point René RAVAUD
REAU
77550 Moissy-Cramayel
Horaires d’ouverture :
9h- 18h
Pour plus de précisions, rendez-vous sur le site Internet du Musée www.museesafran.com ou contactez nous au 01 60 59 41 66
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Meeting aérien à Lens-Benifontaine : 23 mai 1988
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Amicale du Super Constellation – Journées Portes Ouvertes – 27 & 28 septembre 2014
Ce sera l’occasion pour le public de (re)découvrir le Lockheed L-1049 C Super Constellation, le plus bel avion de ligne à moteurs à pistons jamais construit.
Sorti des usines de Burbank, CA en novembre 1953, le F-BGNJ est le dernier exemplaire encore en « bon état » existant en France.
Classé monument historique, il est le premier appareil à avoir participé aux évacuations sanitaires lors du conflit du Biafra en 1968.
Il est ainsi à l’origine de la création d’Aviation Sans Frontières qui verra le jour 10 ans plus tard.
En restauration depuis 2000, il est depuis 2012 enfin ouvert au public.
Beaucoup de travaux de restauration restent à faire, notamment le remplacement de l’ensemble des hublots (en cours), la restauration complète du cockpit (quasi terminé), l’aménagement d’une partie des sièges et d’un petit salon version « Parisien Spécial », la remise en place des dérives à entoiler…
Cette année nous aurons le plaisir d’accueillir les associations Aéroscope, AREA ainsi qu’ Aviation Sans Frontières.
Venez nombreux !
Lieu : Aéroport de Nantes-Atlantique – Chemin de Frémiou, Saint Aignan de Granlieu. (à côté de Météo France)
GPS : Lat 47° 8’57.59″N – Long 1°36’25.12″O
Horaires d’ouverture : Samedi et Dimanche de 9h 12h30 et de 14h à 18h30
Tarif : 4 € (gratuit pour les moins de 18 ans), parking gratuit
Renseignements et informations : http://superconstellation-nantes.fr et contact@superconstellation-nantes.fr
Plan d’accès au Lockheed L-1049 C Super Constellation F-BGNJ |
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Portes Ouvertes du Bernay Cumulus Club d’ULM
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Meeting aérien du centenaire à Amiens
– Vols d’aéronefs historiques
14h30 – Ouverture et cérémonie commémorative
16h30 – Show acrobatique de la Patrouille de France
17h30 – Gonflement des ballons
18h30 – Décollage des ballons
19h00 – Décollage des montgolfières
Dimanche 14 septembre :
09h30 – Activités ludiques et animations
13h30 – Meeting aérien des avions historiques avec des avions venus de France, de Belgique, d’Allemagne et d’Angleterre. Depuis le car podium de l’Armée de l’Air, avec les commentaires éclairés d’Ivan Hairon et des présentateur de l’armée de l’air sur les différents avions en évolution, le public pourra mieux apprécie et comprendre le rôle important de l’aviation et ses évolutions au cours de la Grande Guerre.
• Triplan Sopwith
• Fokker Einedecker
• Royal Aircraft Factory SE5
• Patrouille de Stampes
• Boeing Stearman
• Piper Cub (avion de reconnaissance)
• Lancer de cerf-volant d’observation « Saconnney »
• Répliques ULM d’avion 14-18
• Voltige aérienne (avions et planeurs)
• Parachutisme
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