Airbus A330 : avion de la République Française

A330-200 de la République Française à Nantes le 10 octobre 2014©Philippe Lohat

Depuis le 11 novembre 2010, le Président de la République Française peut utiliser pour ses déplacements officiels un avion de grande capacité et lui permettant d’effectuer un vol sur la moitié de la Terre sans être obligé de faire une escale technique. C’est en effet le 4 novembre 2010 que l’Airbus A330-200 F-RARF (MSN240) à été livré à l’Armé de l’Air Française pour intégrer l’ETEC (Escadron de Transport, d’Entrainement et de Calibration) basé à Villacoublay (BA107)

A330-200 de la République Française à Nantes le 10 octobre 2014©Philippe Lohat

La base de Villacoublay ne peut accueillir un appareil de cette dimension, mais par mesure de sureté, l’avion présidentiel ne peut non plus rester sur un aéroport civil, autrement que pour un stationnement à durée limitée, par conséquent l’A330-200 stationne en permanence sur la base aérienne 105 d’Évreux (Eure) où sa sécurité est assuré. Chaque fois qu’il est nécessaire, l’avion est mis en place sur l’aéroport d’Orly pour permettre au Président de la République Française et aux autres passagers d’embarquer à proximité de Paris.

A330-200 de la République Française à Nantes le 10 octobre 2014©Philippe Lohat
L’Airbus A330-200 arborent la livrée officielle des nouveaux avions réservés au transport du Président de la République Française et de ses invités. Le drapeau tricolore est peint sur l’intégralité de la dérive de l’appareil, se prolongeant de façon oblique vers le bas du fuselage, en direction des réacteurs. Un drapeau français, plus petit, est aussi présent à côté de la porte principale empruntée par le chef de l’État et la cocarde tricolore, symbole de l’Armée de l’air, sur et sous les ailes. Enfin, « REPULIQUE FRANCAISE » est peint le long du fuselage, sur deux lignes. Cette livrée très sobre représente les couleurs de la France et permet une identification immédiate de l’appareil sur un parking d’aéroport.

A330-200 de la République Française à Nantes le 10 octobre 2014©Philippe Lohat

Numéro de série : MSN240
Type : A330-223
1er vol : 20/10/1998
Immatriculation successives :F-WWKZ (vols d’essais), HB-IQB (Swissair puis Swiss), F-OPTP (Air Caraïbe), F-GRTP, F-ZWUG, F-RARF (French Air Force)
Indicatif radio: Cotam Unité quand le président de la République française est à bord
Moteurs : 2xPW4168A

A330-200 de la République Française à Nantes le 10 octobre 2014©Philippe Lohat

Aéropuces 2014

Aéropuces 18 et 19 octobre 2014


Pour la 8eme année consécutive, le musée de l’Air et de l’Espace organise sa grande brocante aéronautique. Collectionneurs, particuliers et professionnels se retrouvent, sous les ailes des deux Concorde du musée et dans le hall « entre deux guerres », pour deux jours de « chasse aux trésors », dans une ambiance festive. Plus de 60 exposants sont attendus sur 300m d’exposition linéaire. Entrée gratuite.


Hall Concorde : la brocante dédiée à l’aviation pendant tout le week-endAu cœur du premier musée aéronautique du monde, sur l’aéroport mythique du Bourget, Aéropuces,  initiative de deux passionnés, Jean-Charles Le Carréres et Jean Molveau, présente des stands diversifiés, pour satisfaire le plus grand nombre. On y croise d’insatiables collectionneurs de maquettes, des boulimiques de récits d’aventures, de documentation technique ou de bandes dessinées, des collectionneurs d’uniformes, d’objets publicitaires, d’affiches ou de cartes postales. D’autres « chinent » fiévreusement à la recherche de l’instrument de bord, du carburateur ou de l’hélice qui trônera dans leur salon ou les aidera à faire voler leur avion. Vendeurs  et visiteurs peuvent réellement dialoguer : contrairement à un achat sur Internet, Aéropuces permet un contact direct.

 

 

Informations pratiques :
Samedi 18 et dimanche 19 octobre, de 10 h à 18 h. Entrée gratuite. Venir à Aéropuces
Contact pour les exposants : http://www.museeairespace.fr/contact/communication/


Eclats de vie d’un pilote de chasse 1952-1967

Éclats de vie d’un pilote de chasse 1952-1967
Jean Louis Sébastiani
Autobiographie


« Et puis le vecteur, le T-Bird argenté, dont on a tous rêvé. Plus d’hélice et son régulateur, plus de couple à pleine puissance au décollage, plus de rugissement des 600 CV du R-985 Wasp. Le T-33 tricycle traduisait dans la finesse de ses lignes la performance, l’espace réduit du cockpit offrait au pilote toute la gamme des switches et autres organes de pilotage à portée de main et la verrière (canopy) type bulle favorisait considérablement la visibilité. On touchait du doigt ce « masterpiece » qui allait très bientôt nous faire passer des 300 km/heure aux 900 km/heure d’un seul coup d’un seul! Un autre monde nous ouvrait ses portes dans la logique de nos ambitions et du parcours du combattant attaqué dans la grisaille et la gadoue clermontoise d’Aulnat moins d’un an plus tôt. »

Les débuts de l’aviation à réaction à la poursuite de nouvelles performances, l’épisode de la guerre d’Algérie, l’entrée dans le « plus vite que le son », la vie en formations opérationnelles, puis le monitorat en École de Chasse, point final de ces épisodes distincts et variés: c’est l’aventure que partage avec nous Jean-Louis Sébastiani au fil de ses souvenirs. Engagé dans l’Armée de l’Air en 1952, formé comme pilote de chasse à l’US Air Force, l’auteur nous fait revivre l’aventure extraordinaire de l’aéronautique. Accessible à tous, généreusement illustré de photographies d’époque, son témoignage fascinera les néophytes et ravira les amoureux de la voltige. « Injection, mélange, plein petit pas, démarreur, ça tourne, ça tousse, ça fume, c’est parti… Vous êtes aux commandes et vous allez bientôt décoller »!

Editeur : http://www.societedesecrivains.com
Titre : Eclat de vie d’un pilote de chass 11952-1967
Autobiographie
Auteur : Jean Louis Sébastiani

Prix : 42,95 € 
Pages : 356 pages  
ISBN : 9782342028522  


1er vol vers la Réunion par Marcel Goulette

Le Farman 192 F-AJJB de Marcel Goulette au départ de Tamatave (Madagascar) pour la Réunion ©Gustave Giraudeau

Du 17 au 27 octobre 1929, Marcel Goulette, René Marchesseau et Jean Michel Bourgeois  ont établi un record sur la liaison Paris (le Bourget)-Madagascar (Tananarive) à bord du Farman 192 n°3 (F-AJJB) en parcourant les 12 400km en 10 jours 8h et 40 min.

Les deux photos de cet article sont extraites de l’album de famille du Lieutenant Gustave Giraudeau alors en poste au 41 ème régiment de tirailleurs malgache. Elles témoignent du passage de l’équipage à Tamatave à 240 km de Tananarive sur la côte est de l’île d’où il décollera pour atteindre la Réunion pour la première fois avec un avion.

Pour ce vol au-dessus de l’Océan, Marcel Goulette veut porter le rayon d’action du Farman à 1700 km, de façon à pouvoir faire demi-tour si l’atterrissage s’avérait impossible. Pour ce faire, entre le 18 et le 24 novembre, un réservoir supplémentaire de 200 litres est réalisé sur place avec l’aide du service des Travaux Publics de Tananarive et monté dans la cabine. Le 24 novembre un « cheval de bois » nécessite que le mécanicien Jean-Michel bourgeois redresse l’hélice à froid contrairement aux consignes du constructeur, un vol d’essai permet de valider la réparation.

Le 26 novembre, l’équipage parcourt pour la première fois en 5h30 de vol  les 800 km qui séparent Madagascar de La Réunion. « l’Explorateur Grandidier » un paquebot des Messageries Maritimes s’est positionné sur sa route pour lui permettre de corriger sa dérive. A 8h25, alors que Marcel Goulette est sur le point d’ordonner le retour vers Tamatave, René Marchesseau aperçoit la vapeur du paquebot. l’équipage atterrit à 11h20 à La Réunion, au lieu-dit « Gillot » (Aéroport Roland Garros).

René Marchesseau et Marcel Goulette (en partant de la droite) devant Le Farman 192 F-AJJB avant leur départ de Tamatave (Madagascar) pour la Réunion ©Gustave Giraudeau

Le 8 décembre, le F-AJJB et son équipage tentent de rejoindre Paris depuis Madagascar. De nombreux avatars que vous pouvez lire sur l’excellent site de Michel Barrière (http://www.crezan.net/pag_f190/192_03.html) retarde leur remontée vers la France. Le 22 avril alors que l’avion se dirige vers El Quit, où Goulette a prévu un ravitaillement le moteur s’arrête brutalement, Marchesseau tente un atterrissage d’urgence, mais une jambe de train se brise et l’avion se couche arrachant l’aile gauche et déchirant le flanc de la cabine, l’avion est abandonné là en plein désert. l’équipage est secouru le 28 avril par le groupe nomade de Timetrin qui les rapatrie sur Gao. Le 5 mai, Goulette, Marchesseau et Bourgeois rejoindront enfin Le Bourget

En novembre 2009 la compagnie Air-Austral a fêté les 80 ans de la ligne Paris-La Réunion en repeignant le Farman 192 n° 4 du Musée de L’Air et de l’Espace aux couleurs du n° 3 F-AJJB.

Sources d’informations :


FARMAN F40 F-AHMF

Farman F.40 F-AHMF lors du deuxième Tour de France des avions de tourisme en 1932 (collection privée Jacques Hémet)

L’avion au premier plan est le Farman F.40 (F-AHMF) avion conçu comme avion d’observation par Maurice et Henry Farman à la demande de l’Armée de l’Air dès 1915 et qui servit très souvent après guerre pour faire des « Baptêmes de l’air »   Le Farman F.40 (n°6828)  immatriculé F-AHMF (AHMF = Avions Maurice et Henry Farman) a appartenu à Henry et Maurice Farman du 12 janvier 1920 au mois d’octobre 1930, basé à Toussus-Le-Noble, a partir de cette date il a appartenu à Mr Larousse et basé à Paris jusqu’en janvier 33, son dernier propriétaire est Louis Gaubert de Ville d’Avray, l’avion étant basé à Toussus-Le-Noble.
Cette avion construit en 1912 équipé d’un moteur propulsif Renault de 80 Cv est l’avion le plus ancien qui participa au Deuxième tour de France des avions de tourisme en 1932. Il était piloté par Louis Gaubert, pilote ayant obtenu son brevet de pilotage en 1909 et qui avait gagné le rallye de Deauville en 1913.

Au second plan on peut voir le  Schreck FBA.310 F-ALOS le seule avion amphibie qui participa au Deuxième tour de France des avions de tourisme en 1932.

Sources des informations :
Les avions Farman de J Liron collection DOCAVIA n°21 editions Larivières


Farman 200 n°1 F-AIYO

Farman F.200 n°1 F-AIYO © Jacques Hémet

Le Farman 200 est un avion triplace de tourisme construit en bois avec une aile parasol permettant d’intégrer un pare-brise. Il est équipé d’un moteur Salmson 9ac (9 cylindres en étoile) de 120 Cv lui permettant d’atteindre 3100m avec une vitesse de croisière de 170 km/h.

C’est Lucien Coupet pilote d’essai de la maison Farman qui présente le F200 n°1 au Service Technique à Villacoublay en mars 1929 afin d’obtenir son Certificat de Navigabilité, ce qui est fait sans aucune difficulté. Le F-AIYO (c/n 7116, CdI 2184 du 30 juillet 1929) devient alors le premier appareil de série, vingt exemplaires  seront construits jusqu’en 1932. L.B. Dick, un américain habitant Buc en fait l’acquisition le 26 avril 1929, et après s’être entrainé dessus, il voyage avec en France puis en Europe. L.B. Dick étant étranger le F-AIYO ne sera enregistré à son nom qu’en octobre 1930.
L’avion est rayé du contrôle le 3 avril 1931 pour une raison inconnue, et c’est avec un nouveau CdN (3283 du 27 décembre 1932) qu’il est livré le 5 novembre 1932 à Léon Molon, ancien coureur automobile, pionner de l’aviation et créateur de l’Aéroclub « Jean Maridor » du Havre. Il restera basé au Havre-Bléville jusqu’en 1939, puis il est mis en vente le 16 juin de cette même année par la Société Commerciale d’Aviation, au nom de laquelle il est enregistré. Probablement réquisitionné par les allemands dès le début de la seconde guerre mondiale, on perd alors sa trace.

Toussus-le-noble, Jean Bétrancourt (3ème en partant de la gauche) prend possession en janvier 1932 du Farman 200 F-ALPF pour l’Aéro-Club de Normandie ©Alain Bétrancourt

Le dernier Farman 200 construit, soit le n°20 de la série, est acquis par l’Aéro-Club de Normandie, dont il porte les couleurs, un bandeau bleu et rouge. immatriculé F-ALPF (c/n 7327 CdN 3045 du 11 janvier 1932) Il est basé sur le terrain du Madrillet (Rouen-Rouvray).

En novembre 1934, il est enregistré au nom de la société HMD Farman, puis en février 1935 c’est Madame Sarah Antolin qui en fait l’acquisition pour l’Aéroclub d’Aragon. enregistré comme vendu à l’étranger en avril 1935, il sera détruit pendant la guerre civile.

Source des informations :
Jacques Hémet
Alain Bétrancourt
Crezan Aviation : http://www.crezan.net/crezan.html
Aviafrance : http://www.aviafrance.com

SIPA 121 N°51 à Essey-lès-Nancy

SIPA 121 n°51 à Essey-lès-Nancy en 1957 © Jacques Hémet
Récemment, je vous ai parlé des MS472 « Vanneau »  stationnés à Essey-les-Nancy au sein de l’ERALA 1/36 héritière du CERO307 en vous précisant qu’ils furent progressivement remplacés par des SIPA S111/121 à partir de 1957. En voici une photo ci-dessus, il s’agit du SIPA 121 N°51, reconnaissable à l’antenne du radio-compas à l’arrière de la verrière. D’après l’insigne visible sur l’avion, même si celle-ci est à l’envers par rapport aux représentations habituelles, on peut affirmer qu’il appartient à l’ERALA 3/38 de Tours issue du CERO 311. 
Voici ce qu’écrit Gilbert Nëel dans le fanatique de l’aviation n°91 de juin 1977 au sujet de la genèse des SIPA111/121 : « En 1943, le constructeur allemand Arado décida le développement d’un appareil d’entrainement dérivé de l’Arado 96 B. Cet avion monomoteur (moteur Argus AS 410 de 450 ch) de construction métallique à ailes basses et train rentrant, biplace en tandem devait être utilisé par la Lutwaffe pour l’entrainement avancé. La société Industrielle Pour l’Aéronautique (la SIPA fondée par M. Volland en 1938) fut chargée de l’étude et de la construction du nouvel appareil désigné Arado 396, qui devait utiliser des matériaux rustiques (métaux de qualité courante et bois) et être facile à construire en grande série….. ». La progression des alliés obligea les allemands à confier la construction de l’Arado 396 à la firme Tchèque Letov. La construction du prototype  fut poursuivi sous contrôle français chez SIPA. Rebaptisé SIPA S.10, il fit son 1er vol le 29 décembre 1944 avec aux commandes le chef-pilote de la société, R Launay. En plus du prototype, 4 avions de présérie et 30 de série (1 à 30) furent construits en 1945 et 1946. Puis cinquante exemplaires du SIPA11 (n°31 à 80) furent construits, ils se distinguaient du S10 par le montage d’une verrière coulissante. En 1950, sort une nouvelle version sous la désignation de SIPA S111 justifié par des améliorations de l’équipement et de l’installation électrique. En 1950 à la demande de l’État-major de l’Air, la SIPA étudie une version entièrement métallique du S111, à l’exception de la partie centrale du fuselage qui reste en acier, le bois est remplacé par un alliage léger : le dural. 50 exemplaires (S12 °1 à 50) sont commandés. Enfin en 1954, apparait le SIPA S121, avec la partie centrale du fuselage en dural comme le reste de la cellule, il y en aura 50 exemplaires (n°51 à 100). Équipe d’un moteur Renault-SNECMA 12 S 02  (version francisé du moteur allemand Argus) de 12 cylindres en V inversé de 12 litres de cylindrée, refroidi par air et développant 440 ch au sol, 495 ch à 3250tr/mn à 2400m, et 580 ch en surpuissance pendant 7 minutes. Ce qui donne les performances suivantes :
V Max : 360 km/h
V de croisière : 320km/h
V d’atterrissage : 114km/h
Plafond pratique  : 8000M
Deux réservoirs de carburant pour un total de 340 litres donnent une autonomie de 3h30 au régime de croisière .

Fiche DCMAA du SIPA121 n°51 ©SHD-Air

D’après la fiche « DCMAA » (Direction Centrale du Matériel de l’Armée de l’Air) du SIPA 121 n° 51,  celui-ci est pris en compte par l’Armée de l’air le 27 avril 1954, on peut supposer qu’il est d’abord affecté à la Base École de Salon de Provence (BE701) aux alentours du 2 novembre 1954 et jusqu’au 15 mars 1957, puis il est affecté à l’ERALA 3/38 de Tours jusqu’au 25 octobre 1957 avant d’être versé à l’ELA 41 qui gérait le parc de l’ERALA 1/36 basée à Essey-lès-Nancy. A partir du 20 août 1959 il est stocké dans l’Entrepôt de l’Armée de l’Air (EAA601) sur la base aérienne de Chateaudun (BA279) où il sera reformé définitivement le 3 juin 1960.


Sources des informations :
Jacques Hémet
Gibert Nëel
Le Fanatique de l’Aviation : les SIPA S10 à S121 par Gilbert Nëel  (N°91 de Juin 1977 au N°96 d’octobre 1977)

Teaser du film du « meeting Lens Bénifontaine 2014 »

Cette année encore le meeting aérien de Lens-Bénifontaine a remporté un beau succès avec l’accueil de 64.000 visiteurs venus admirer, gratuitement et souvent de loin, 6h30 de spectacle aérien de qualité. Deux évènements inédits auront marqué cette édition 2014 : Le meeting aérien crépusculaire du samedi soir qui laissera un souvenir inoubliable aux nombreux invités et le vol inédit en patrouille du Rafale français et du F16 belge. Si le vol commun des deux chasseurs restera unique, le show crépusculaire sera en revanche reconduit à l’avenir pour un plus large public. Ce film, d’une durée de 52 minutes dans sa version longue, montre les coulisses du spectacle et rend hommage aux équipages et aux nombreux bénévoles qui œuvrent à son organisation.
À bientôt pour un prochain mail d’information pour vous présenter les actions entreprises et les nouvelles concernant notre prochain meeting des 19 et 20 Septembre 2015.
Amitié,
Régis Grébent
et l’équipe du bureau d’organisation.

Rappel des coordonnées pour nous joindre :
Association « Fêtes de l’Air Lens-Bénifontaine »
62 bis, rue Pasteur   F-62410 BÉNIFONTAINE
organisation@meeting-air-lens.com
http://www.meeting-air-lens.com
http://www.facebook.com/Lens.Airshow


Long-EZ de SHARKIT

Rutan Long-EZ ©SHARKIT

Il y a 3 ans je vous ai présenté Renaud Mangallon (https://www.passionpourlaviation.fr/2011/06/12/sharkit-com-renaud-mangallon),  un véritable artiste en arts graphiques que ce soit la peinture (renax-art.blogspot.com), la sculpture, la conception de maquettes (www.sharkit.com), ou la bande dessinée (« le crépuscule des guerrier« ). Renaud Mangallon revient vers nous avec la sortie de sa maquette de Long-EZ.  La maquette est disponible au 1/72eme (28€) et au 1/48eme (54€) sur simple demande par mail auprès de Renaud (renaud@sharkit.com)   Le Long-EZ avion dérivé du VariEze, a été  conçu pour les constructeurs amateurs par le génial Burt Rutan comme un avion de voyage rapide (185 Kt) de grande autonomie (1000 Nm) . C’est un avion en stratifié à plan canard, biplace en tandem avec un moteur de 200cv placé à l’arrière et une hélice propulsive.  Le Long-EZ effectua son premier vol le 12 juin 1979. Les liasses de plans ont été commercialisées à partir de 1980. La patrouille REVA se présente en meeting aérien avec leurs deux ACROEZ  (Long-EZ aux ailes raccourcies et à la puissance moteur augmentée) et un Long-EZ  

Pièces du Long-Ez ©SHARKIT

La boite du Long-EZ est illustrée par Renaud Mangallon, elle contient les pièces en résine moulées de la maquette et la notice d’explication. Mais cette fois ci, elle ne comporte pas de planche de décalcomanie car chaque pilote souhaitera sa propre décoration.

Contacts :


Vitry en Artois : Il y a 70 ans la libération

 
 Il y a 70 ans la libération
18 et 19 octobre 2014
Aérodrome de Vitry en Artois
Entrée gratuite

Le 18 octobre 1944 le groupe des FAFL lorraine a ré-occupé un aérodrome français à Vitry en Artois, faisant de ce terrain le premier terrain français réinvesti par un escadron français.  A l entrée de l aérodrome une stèle marque dans le marbre cette journée qui est commémoré tous les ans.

Le devoir de mémoire nécessite de marquer dignement les 70 ans de cette libération, pour cela collectionneur et  historiens, ont étés contactés pour deux jour d exposition.sur la base du bénévolat

Il y aura 130 exposants de matériel américain anglais allemand. une exposition de moteurs et divers pièces d avions crashés dans la région,  une collection de centaines de photos d époque,  vidéos,  présence de pilotes du lorraine 3 vétérans et 3 pilotes d’aujourd’hui car le Lorraine existe toujours,  et deux trois avions de l’association de Lens seront  présents, T6, Stampe……

Il est à noter qu’un historien sera présent pour montrer ses recherches sur l’histoire de ce terrain historique.  

Vitry en Artois doit  absolument rester en activité par devoir de mémoire.


Agendas et Calendrier 2015 de Hugo Image

Pour tous les passionnés d’aviation qui fréquentent ce blog, je vous présente un calendrier mural et un agendas de bureau édités par Hugo Image
Le calendrier 2015 « AVIONS de Légende » présente à raison de deux photos par mois, 24 avions militaires d’actualité et de collection 
Édition : Hugo Image
Titre : Calendrier 2015 AVIONS de légende 
Date de parution : 25/09/2014
ISBN / EAN : 978-2-7556-1579-1 – 9782755615791 
Format : 30cm x 30cm 
Prix : 9€99
Ouvert sur le bureau, l’agenda-calendrier 2015 « Avions d’exception » donne à rêver sur de magnifiques photographies des plus beaux avions d’exception. Il vous propose de découvrir les avions les plus exceptionnels qui tracent leur sillage blanc au-dessus de nos têtes. Les F22 Raptor, F117 furtif, Rafale, Mig 35… dernier cri en matière d’aviation militaire, mais aussi les Spitfire, Mustang, Hurricane… héros de la Seconde Guerre mondiale, sont présentés au travers de photos rares et magiques. Mais l’aviation civil n’est pas oubliée : les Airbus A380, Boeing 747, Concorde… sont aussi là pour vous faire rêver.  
Édition : Hugo Image
Titre : Agenda-Calendrier Avions d’Exception

Date de parution : 18/09/2014
ISBN : 978-2-7556-1556-2
Format : 18cm x 24cm x 3cm
106 pages
Prix : 14€99

« METAL BIRDS » Lucio Perinotto

Exposition « Metal Birds » 2014 à la Galerie Vitesse « Constellation climbing » ©Lucio Perinotto
LUCIO PERINOTTO 
Exposition de peintures
« METAL BIRDS » 
du 16 octobre au 15 novembre 2014 
à la Galerie Vitesse 
(du mardi au samedi de 14h00 à19h00)

 Sur le site de Lucio Perinotto http://www.lucioperinotto.com voici ce qui est écrit concernant sa biographie,
  « La passion de Perinotto et son talent véritable ont été reconnus en 1992, quand il a été invité  à rejoindre le groupe des peintres de l’air. Ses peintures à l’huile noires et blanches lui ont rapidement forgé une grande réputation. À de multiples occasions, il fut invité par la Guilde des Artistes de l’Aviation. Aujourd’hui, il est sans aucun doute l’artiste d’aviation français le plus doué.

  Avec un style simple et efficace, combiné avec un traitement incroyable de lumière, son travail a une vitalité exceptionnelle. Lucio Perinotto aime aussi jouer avec des ombres et des couleurs ; ses peintures de couleur montrent une variation particulière vers des bleus profonds.

 Lucio Perinotto est passionné d’avions de ligne à hélices et d’avions de chasse de la seconde guerre mondiale. Avec ses avions, vous entendez le bruit des moteurs, vous estimez que le stress d’un pilote s’est engagé dans un combat aérien, vous partagez le frisson de croisière au-dessus de l’océan Atlantique du Nord sur un Constellation.


Le style de Lucio Perinotto est unique : dans chacune de ses peintures, un avion légendaire, vu sous un angle particulier vous fait ressentir l’action, vous en êtes le héros. Lucio Perinotto aime les détails subtils, mais authentiques qui donnent un sens  formidable des réalités à ses peintures et une certaine nostalgie.
Lucio Perinotto nous mène loin au-dessus des nuages, et lorsque l’on atterrit, c’est pour se retrouver dans l’aérogare d’un monde précurseur.
Pour cette nouvelle exposition à la Galerie Vitesse, il a particulièrement étudié les reflets sur les carlingues des somptueuses machines. Ainsi découvre-t-on plusieurs gros plans de Constellation, Stratocruiser, Breguet 2 Ponts, Super-sabre, Typhoon, B-17 … :
Le jeu de la lumière sur les carlingues, la remarquable composition des œuvres, une maîtrise irréprochable des volumes, voici un ensemble de caractères qui absorbe la réalité pour en extraire l’ultime poésie.

Galerie Vitesse
48 rue de Berri
75008 Paris
Tel : +  33 (0) 1 42 25 48 13
galerievitesse@gmail.com
www.galerievitesse.com
www.lucioperinotto.com