Vol IFR en PA28 Arrow IV Turbo

Piper PA28 Arrow IV Turbo ©Xavier Cotton

Sachant que j’ai du renoncer à piloter depuis deux ans, un ami m’a très gentiment proposé de faire un vol en IFR au départ de Reims-Prunay (LFQA) avec une percée ILS (Instrument Landing System) à Chalons-Vatry (LFOK) et  une percée GNSS (Global Navigation Satellite System) au retour. Le rendez vous au terrain est fixé à 9h00. Passage obligé au club-house pour récupérer les papiers et la clé de l’avion, pour cela il faut inscrire son vol sur l’ordinateur de l’aéroclub ce qui permet d’ouvrir la boîte à clé des avions. tel que dans le jeu de Fort-Boyard et on s’attend à voir de la fumée envahir la boite, si nous ne sommes pas assez rapides.

Visite pré-vol, il est important de vérifier que rien ne puisse gêner la rentrée du train d’atterrissage ©Xavier Cotton

Après avoir sorti le PA28 Arrow IV Turbo de l’aéroclub de Champagne du hangar et l’avoir tiré à la mains jusqu’à la pompe à essence, nous faisons un complément de plein par sécurité. Ensuite le pilote effectue la visite pré-vol  en  faisant le tour de l’avion pour vérifier certains points sensibles, tel que les commandes des gouvernes, les tubes Pitot qui permettent de connaître la vitesse de l’avion, le niveau d’huile du moteur, et vérifier que les logements du train rentrant sont bien dégagés.

Début de givrage sur le pare brise ©Xavier Cotton

Comme pour tout vol en IFR, nous devons demander l’autorisation de mise en route au contrôle aérien, celui ci nous délivre  ensuite une « clairance », c’est à dire un ensemble d’instructions de contrôle comprenant un niveau à atteindre sur une radiobalise ou une intersection et un code transpondeur à afficher , ce qui nous permettra d’être identifié et suivi par les radars tout au long du vol.  En l’occurrence nous sommes « clairés » niveau 60, c’est à dire 6000 pieds par rapport au zéro de référence quand l’altimètre est calé sur 1013 millibars.
Nous volons dans la couche nuageuse et alors que nous avons amorcé la descente sur Chalons-Vatry , on peut voir assez vite un peu de givre se former sur le bord d’attaque des ailes et sur le pare brise. On peut donc imaginer facilement qu’il s’en forme aussi sur le bord d’attaque des pales de l’hélice, ce qui réduirait la puissance à la remise des gaz à Chalons-Vatry. Ne voulant pas  prendre de risque inutiles, mon pilote annonce à la fréquence qu’il abandonne la procédure et que nous souhaitons faire demi-tour vers Reims-Prunay. Nous remontons au niveau 60 sous instruction de contrôle, et là on peut voir progressivement fondre le givre.
La procédure d’arrivée à Reims-Prunay se fait sans autre soucis grâce à la maitrise du pilote qui gère son avion avec méthode comme le ferait un pilote professionnel.

Tableau de bord du PA28 Arrow IV Turbo F-GJCL © Xavier Cotton

Caractéristiques du PA 28 Arrow IV Turbo

  • Immatriculation : F-GJCL
  • Numéro de série :  28R8131004
  • Constructeur : Piper
  • Année de construction : 1981
  • Vitesse de croisière : 145kts/270km/h
  • Nombre de place : 4
  • Puissance 200 cv turbocompressé
  • Autonomie moyenne : 6 heures à environ 40l/h
  • Poids à vide : 850 kg
  • Masse maximum : 1315 kg
  • Équipement : classé IFR

Bois d’aviation de Jean-Marie Ballu

Bois d’aviation
Sans le bois, l’aviation n’aurait jamais décollé
Jean-Marie BALLU
préfacé par Catherine Maunoury


PRÉAMBULE
Le bois a permis l’envol de l’aviation et, pendant un siècle, son épanouissement. 
Matériau facile à travailler, léger, souple, résistant et largement disponible, il est naturellement devenu le premier matériau de structure puis de revêtement, avec le bois moulé ou le très fin contreplaqué.
Les premiers constructeurs d’avions, souvent des marins, s’entourèrent de menuisiers. C’est en dentelle de bois, toile et fils de fer, que tous les inventeurs bricolèrent leurs prototypes pour tenter de voler. Que de pistes essayées, rêves ou délires de bois, avant d’arriver aux solutions volantes.
Les ballons et dirigeables firent également appel au bois comme les premiers planeurs, hélicoptères, ailes volantes et avions, même ceux à réactions, tous furent en bois. Il est toujours utilisé dans la construction aéronautique légère !
En nous racontant l’apport du bois à la conquête de l’air, c’est à un voyage allant de la forêt à l’atelier d’aviation d’hier et d’aujourd’hui que nous convie l’auteur.
SUJET DU LIVRE :
Il y a à peine plus d’un siècle, les premiers « avionneurs » se sont inspirés des graines (ailes volantes de la nature), des bateaux et des oiseaux, en copiant jusqu’à leurs os creux, en évidant leurs bois.
Après le frêne, résistant et élastique, et le bambou, les résineux à accroissements fins l’emportèrent rapidement. Quant aux hélices, elles furent sculptées en bois précieux : noyer, acajou…
Au gré d’une réflexion historique et technique, l’auteur nous entraîne dans les menuiseries et les ateliers bois des avions, assister aux tâtonnements avant les premiers envols, au choix des meilleurs bois d’aviation en forêt, aux techniques d’assemblage de ces bois pour garantir la légèreté et la sûreté. Il retrace la construction de nombre d’avions de légende, civils ou militaires, comme celle du célèbre Mosquito anglais, chasseur en bois de la seconde guerre plus rapide que ceux en métal, ou celle du plus grand avion jamais construit au monde, avec 18 m d’envergure de plus que l’A 380, le Spruce goose d’Howard Hugues. Il traite de l’évolution de la construction des avions de chaque époque, sans oublier les hydravions et la naissance de l’aéronavale.
Après un siècle, le bois est toujours présent dans l’aviation populaire et de compétition, CAP 10 et suivants. Il est resté longtemps en tête dans la vitesse et l’acrobatie jusqu’aux années 2000, et les meilleurs pilotes de voltige volaient encore il y a peu sur bois, pur ou composite. Enfin l’auteur, en professionnel de la forêt, nous rappelle que le bois, naturel, renouvelable et écologique, est le seul matériau qui consomme du CO2 et produit de l’oxygène dans son processus de fabrication !
L’AUTEUR :
Issu d’une famille de forestiers l’auteur, agronome et ingénieur général des Ponts des Eaux et des Forêts, a fait une grande partie de sa carrière à l’Office National des Forêts avant de la terminer comme président de la section « nature, forêt, paysages » du ministère de l’agriculture.
Au-delà de nombre de rapports sur la forêt et la nature, il a été notamment l’auteur de plusieurs livres sur la forêt et le bois (aux Éditions du Gerfaut) :
« Bois de marine, les bateaux naissent en forêt », primé en 2001 par l’académie de marine, réédité en 2003 et 2008.
« Bois de musique, la forêt berceau de l’harmonie », mars 2004,
« 250 réponses aux questions des amoureux de la forêt« , octobre 2006, « L’Hermione, l’aventure de sa reconstruction », juin 2007, réédité en juin 2010,
« La Fayette’s liberty ship of 1780, the reconstruction of the frigate Hermione », mai 2011.

RÉCOMPENSES

Après s’être vu décerner à Toulouse, le Prix des Ailes 2014 (France Bleu), Bois d’aviation. Sans le bois, l’aviation n’aurait jamais décollé a reçu le 17 décembre un nouveau prix, le Prix du livre aéronautique 2014 à l’hôtel de Guénégaud, siège de la Fondation Sommer (un des pionniers de l’aviation).
Par ailleurs, cet ouvrage de la collection « Bois de » (Bois de Marine, Bois de musique), qui traite de l’utilisation du bois dans la construction des premiers avions, et présente une histoire de l’aviation sous un angle tout à fait original et novateur, a été labellisé « Centenaire 14/18 » par la Mission du Centenaire et a reçu le coup de cœur de l’Aérobibliothèque.
L’ÉDITEUR :
IDF, Institut pour le développement forestier, 47 rue de Chaillot, 75116 Paris.
Livre édité avec les soutiens du Musée de l’Air et de l’Espace, du Service Historique de la Défense, et de celui de la Fondation Sommer.
LIVRE :
Format : 24 x 30 cm / 192 pages / quadri / cartonné / 
Prix : 37 €.
Présence de QR code (« flashcodes ») pour compléter l’information sous forme de vidéos. 
ISBN : 9782916525075.
Si vous souhaitez commander ce livre, consulter la « Fiche de présentation de l’ouvrage »

JU 52 ou Toucan ?

AAC.1 Toucan au camp de Meucon 1951 @Bruno Baverel
Cette photo qui m’a été envoyée par Bruno Baverel à été prise en 1951 au camp de Meucon près de Vannes. Pour m’aider à la déchiffrer, j’ai fait appel aux spécialistes d’Aéroforum qui comme à l’habitude ont très vite répondu apportant de très nombreuses informations.
La question principale est toujours l’identification de l’avion. Au premier coup d’oeil, l’allure général de cet avion peut faire penser à un JU 52-3m construit par Junkers mais en y regardant de plus prêt on peut voir inscrit sur la dérive AAC 1, il s’agit donc d’un « Toucan ». 
Après 1945, l’armée de l’Air a effectivement été dotée de AAC1 « Toucan » et non de « vraies » Tante Ju en provenance de chez Junkers. L’appellation « Toucan » est la dénomination constructeur concernant les Amiot AAC-1 (Ju 52 construits par Amiot en France). Les moteurs étaient des BMW 132Z3 construits pas Gnome et Rhône.
C’est la Demi-brigade coloniale de commandos parachutiste qui a été stationnée à Meucon de 1947 à 1954, avant d’émigrer vers Bayonne où elle est devenue le 1er RPIMa qui y est toujours. Meucon était alors le point de passage obligé des bataillons coloniaux qui partaient ou revenaient d’Indochine.

Remerciement :
à Philippe Ballarini, Bruno Baverel, Sosthene Billault, Jean-Louis Bleneau,  Philippe Coudercho, Didier Lecoq,  Lucien Morareau.


14-18 L’aviation des missions spéciales

14-18 L’aviation des missions spéciales

Damien Rocha

 De l’union improbable de l’Aviation et des Douanes françaises, naquit à Hermonville, un jour de novembre 1914, l’école des » Missions spéciales ».
De nombreux élèves y furent instruits, puis envoyés en territoires ennemis pour effectuer leur devoir patriotique, pour une France victorieuse !
Découvrez leurs aventures.
Comment une mission aérienne au départ de Rosnay devait mettre un terme au conflit le 25 décembre 1915.
Accompagnez l’As Jean Navarre, l’enfant terrible de l’aviation, dans quelques unes de ses frasques savoureuses.
Navarre, l’homme de toutes les audaces et de toutes les folies !
La mission spéciale est l’une des pages de l’histoire d’un conflit horrible, aujourd’hui effacée de la mémoire des Hommes. Pourtant à l’origine de nos « Forces spéciales » contemporaines.
 
 
Titre : 14-18 L’aviation des missions spéciales
Auteur : Damien Rocha 
Préface : Général d’armée aérienne Jean Fleury, chef d’état de l’armée de l’air (24 avril 1989 – 1er décembre 1991)
Éditions Damien Rocha-Deroche
204 pages 69 documents ou photographies
ISBN N° :978-2-9531290-2-1
Prix : 20€
En vente à Reims dans les librairies :
FNAC Place d’Erlon et réseau FNAC
La Procure Largeron 13 rue Carnot
Le coeur à l’ouvrage 18 rue Chanzy
Librairie Amaury 30 avenue Jean Jaurès

Le DVD de Lens Airshow 2012

120 minutes de film qui retracent les meilleurs moments du meeting aérien 2014 à Lens-Bénifontaine et qui vous font découvrir les coulisses et les acteurs de ce show d’exception.

Le DVD est disponible ! 

Pour le recevoir à domicile, renvoyer un coupons avec vos noms et adresses accompagné du règlement à l’adresse ci-dessous.

Tarifs pour la France: 11,50€ (10€ + port 1,50€)  Tarif pour la zone Europe: 12€ (10€ + 2€) DVD disponible à l’ «Hurricane Bar» de l’aérodrome au prix de 10€  (à partir du 2 Déc.)
Pour les virements bancaires depuis l’étranger, nous contacter par mail.
Dans la limite des stocks disponibles

Rappel des coordonnées  :
Association « Fêtes de l’Air Lens-Bénifontaine »
62 bis, rue Pasteur   F-62410 BÉNIFONTAINE
Tel 06 09 50 31 52
organisation@meeting-air-lens.com
http://www.meeting-air-lens.com
http://www.facebook.com/Lens.Airshow


Jean Beaulieu s’est envolé pour toujours……

Je viens d’apprendre le décès de Jean Beaulieu (85 ans), figure inoubliable de l’aéroclub de Champagne.

Jean s’est inscrit à l’Aéroclub de Champagne en 1950, breveté 1er degré en 1952 puis 2ème degré l’année suivante, il est pilote « Estafette » de l’armée de l’air en 1957 et mais aussi pilote planeur. 
En 1960, il obtient sa qualification «remorquage», puis ses qualifications d’instructeur 1er et 2ème degré en 1969 et 1970. Instructeur complet en 1971, il devient pilote professionnel en 1972. Jean Beaulieu poursuit sa formation et se qualifie IFR monomoteur en 1974, puis IFR bimoteur en 1980. 
Il a été instructeur bénévole à l’Aéroclub de Champagne de 1968 à 1972 puis instructeur appointé de 1972 à 1974. Instructeur professionnel en 1984, il devient Chef Pilote de l’aéroclub de Champagne jusqu’au 1er mai 1989, date de sa retraite.
Lors de l’assemblée générale de l’Aéroclub de Champagne de 1992, Jean Beaulieu reçoit des mains du Président la médaille d’honneur de la Fédération Nationale Aéronautique. 
« Un pilote ne meurt jamais, il s’envole juste et ne revient pas » Antoine de Saint-Exupéry

Rafale en finale à Saint-Dizier

Rafale 113-FN en finale à Saint-Dizier ©Xavier Cotton
En route vers Montier-en-Der et son festival international de la photo animalière, j’avais repéré deux Rafale en vol. alors que j’allais traverser le village d’Hallignicourt, je fus survolé par les deux avions en configuration d’atterrissage pour la piste 11. Il était malheureusement trop tard pour que je sorte mon appareil photo du coffre de la voiture. Mais la chance était avec moi quand je vis le second chasseur remettre les gaz pour un nouveau circuit de piste, du coup je l’ai attendu de pied ferme.
Merci aux spécialistes d’Aéroforum qui m’ont apportés les informations suivantes : Il s’agit du Rafale biplace n° 347 qui a été convoyé de Bordeaux à Saint-Dizier le 8 juillet dernier et qui appartient à l’ESTA 2E.007 « Haute-Marne ». Depuis quelques années les appareils ne sont plus mis en dotation aux escadrons, c’est l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) qui les soutient qui leur fournit les machines dont ils ont besoin. Toutefois, les insignes sont toujours portés sur les appareils, mais ne sont pas indicatifs de l’équipage ou du pilote qui sont à bord.
Rafale 113-FN vue de dos se posant à Saint-Dizier ©Xavier Cotton

Les Ailes Anciennes de Toulouse et le Breguet 941S


Le Breguet 941S F-RANC appartenait à un parc d’attraction sur l’aérodrome d’Aubenas  © Ailes Anciennes de Toulouse

L’association Ailes Anciennes Toulouse a démarré un projet extraordinaire et a besoin de de l’aide de tous les passionnés d’aviation. En effet ils ont lancé un projet de financement participatif pour sauver un avion majeur dans l’histoire de l’aéronautique, un Breguet 941 S. Cet avion est à l’origine de plusieurs avancées technologiques majeures et doit être sauvé.

L’équipe de démontage ©Ailes Anciennes de Toulouse

Ce Breguet 941S est le résultat d’un concept imaginé dès 1948 par Louis Breguet : L’avion ADAC (Avion à Décollage et Atterrissage Courts) ou STOL (Short Take Off and Landing).
Il invente « l’aile soufflée », en dotant le prototype de volets « à persiennes » de grande surface pouvant s’abaisser à l’arrière des ailes sur la totalité de l’envergure, jusqu’à un angle de 97°. Les moteurs entraînant des hélices surdimensionnées ne peuvent que provoquer un énorme souffle qui, dévié vers le bas par les volets, crée une composante de sustentation. Il est l’un des quatre avions ADAC qui fut en service sur la BA112 de Reims de 1970 à 1974. Les quatre Breguet 941S furent retirés du service entre avril 1974 et avril 1975, ils quittèrent Reims en vol pour les réserves de Châteaudun avec la mention « RAS, bon pour le service » sur leurs carnet de vol !
J’avais déjà eu l’occasion  de vous  parler du Breguet 941S n°4 (F-RAND 62-ND) en attente de restauration sur la Tarmac du Bourget du coté Dugny

Démontage des moteurs ©Ailes Anciennes de Toulouse

L’AATLSE estime le budget nécessaire à ce sauvetage à 22.500 €, hors achat de l’avion évalué à 17.000 € et à son remontage. C’est donc un très gros budget, c’est pourquoi l’association a lancé un financement participatif  sur MyMajorCompany et elle espère grâce à cela récolter 10 000€ d’ici la fin de l’année. Je ne doute que le total soit atteint puisqu’on est à presque 50% de la somme. Alors ne tardez pas et participez même de façon modique et à partir de 50€ vous pourrez bénéficier d’un reçu fiscal vous donnant droit à une réduction de 66% de la somme versée du montant de vos impôts. parlez en autours de vous.

Le liens du projet :
Préservons ensemble le Breguet : https://www.mymajorcompany.com/preservons-ensemble-le-breguet-941
Les ailes anciennes de Toulouse : http://www.aatlse.org/

Eclats d’hélices par François Brévot

Eclats d’hélices
Warbirds 
et éclairages fantastiques
de
François Brévot
préface de Jack Krine

François Brévot nous rapporte dans ce livre des images exceptionnelles d’avions ayant marqué l’histoire des deux guerres mondiales, qu’il a capturées avec ses appareils photo au cours de ses voyages autour du monde.
Grâce à des textes courts et sa connaissance du milieu aéronautique militaire, l’auteur nous permet  de découvrir ou redécouvrir ces appareils mythiques souvent restaurés par des passionnés et dont la présentation en vol impressionne autant le public amateur que les passionnés de l’aviation. Un livre de référence sur le sujet

Chargé de ses 15 kg d’optiques et de « Nikon » en sac à dos, François Brévot voyage sans relâche sur tous les continents depuis vingt ans, à la chasse aux images d’avions. Les prises de vues en vol, tout comme les « Airshows » les plus exotiques, ou même les musées, entrent tous dans ses meilleurs albums d’images. Ainsi, l’auteur photographie plus régulièrement dans des pays aussi divers que le Canada, la Nouvelle-Zélande, l’Autriche ou la Russie. Il a précédemment publié aux éditions Pascal Galodé : Avions et meetings d’exception  en 2011, Avions et salons d’exceptions en 2013 et L’Agenda de l’aviation.   

Éditions Pascal Galodé : http://www.pascalgalodeediteurs.com/
Broché – quadricouleur – 160 pages
Format : 270x210mm
Prix : 30€
Frais de port indicatifs : 1 €
ISBN : 9782355933295
Distribué par CED/BLDD
Date de parution : 05/10/2014


AEROBATIX : une gamme de vêtements pour passionnés d’aviation

J’avais envie de vous faire découvrir AEROBATIX, une nouvelle marque française de prêt à porter haut de gamme pour hommes qui adapte les codes aéronautiques pour en proposer une version contemporaine et élégante. Cette marque a été fondée en 2013 par Louis-Antoine Harlé  et David Benhammou deux pilotes passionnés  d’aviation et de mode.
AEROBATIX prête une grande attention, autant dans le design et la coupe de ses pièces que dans le choix des tissus et des fournitures textiles qu’ils utilisent et la marque s’attache à produire localement en choisissant avec soin les meilleurs artisans européens (par exemple les blousons en cuir sont faits en France et les chemises viennent d’Italie). 
Toutes les pièces AEROBATIX ont deux degrés de lecture : celui qui n’est pas familier à l’aviation appréciera la pièce pour sa coupe et son design ; alors que celui qui connait l’univers de l’aviation comprendra les subtilités cachées au travers de ses pièces : par exemple sous le col des blousons en cuir nous retrouvons les quatre galons et la boucle Nelson, les symboliques graphiques AEROBATIX.
AEROBATIX a développé des articles en collaboration avec les escadrons d’élite des pilotes de chasse français (EVAA, Patrouille Cartouche Doré, Rafale Solo Display). Le blouson Mirage F1 a ainsi été créé en édition limité à 100 exemplaire en l’honneur des 40 ans de bons et loyaux services de cet avion qui a effectué son dernier vol pour l’Armée de l’Air française le 14 juillet 2014

AEROBATIX a eu également l’opportunité de travailler avec AIR FRANCE et a développé le blouson des 80 ans de la compagnie.

Début 2014, AEROBATIX a eu le privilège de pouvoir présenter les premières pièces de sa collection au Galeries Lafayette Hommes, boulevard Haussmann et continue actuellement de développer la commercialisation de la marque.

Afin de parfaire son implication aéronautique, AEROBATIX sponsorise en exclusivité un Extra 330SC. Cet avion conçu en 2010 par le constructeur allemand Walter Extra est équipé d’un moteur Lycoming 6 cylindres de 315 Cv pour un poids de 600 kilos. On retrouve l’avion AEROBATIX dans les plus importantes compétitions de la discipline, Championnat d’Europe ou Coupe du Monde et les plus grands noms de la voltige aérienne française, François Rallet, Aude Lemordant ou encore Mickael Brageot.
Pour plus d’information :

L’aviation légère en France 1920-1942

L’aviation légère méritait un livre !

L’aviation légère a formé des milliers de pratiquants et pratiquantes et amené de nombreux jeunes vers un métier en rapport direct avec le monde de l’aéronautique. Pourtant l’aviation légère suscite peu d’intérêt dans le monde de l’édition aéronautique, les « beaux » livres sur l’Aviation ne lui consacrent que quelques paragraphes, quand ce n’est pas quelques lignes seulement….

Depuis des années, Roger Gaborieau rêvait, au sein d’une petite structure éditoriale, de trouver un auteur qui consacrerait son talent à un travail de fond sur l’aviation légère. Car si les auteurs régionaux qui passent des années à retracer l’histoire de l’aviation font un excellent travail, celui-ci est souvent limité à leur région.
Souhaitant une vision un peu synthétique et générale de la naissance de l’aviation légère et de son développement, il décida donc de produire lui-même cet ouvrage qu’il avait envie de trouver en librairie.
Son travail a été favorisé par sa proximité avec le Musée Régional de l’Air -Espace Air Passion- d’Angers. Ce superbe musée est consacré  à l’aviation légère, ce qui fait son originalité et son intérêt. Géré par l’association  Groupement pour la préservation du patrimoine aéronautique  (GPPA), bien connu des amateurs, il conserve de belles pièces volantes ou statiques de notre « petite » aviation. Mais pas seulement. Son créateur, Christian Ravel, collecte depuis plus d’un demi-siècle, les documents, photos, manuels techniques, journaux et revues concernant le sujet.
D’abord à titre personnel, puis pour le musée, le travail de Christian Ravel a permis de créer une section « Archives et documentation » exceptionnelle et d’une richesse insoupçonnable. Une mine pour les historiens, les chercheurs, les journalistes et autres auteurs…
En plongeant dans les dizaines de milliers de photos conservées à Angers (Maine-et-Loire), Roger Gaborieau a pu trouver le fil du livre qu’il espérait si fortement. Christian Ravel et son équipe des archives du musée, son président François Blondeau, ont eu la gentillesse de l’aider en mettant à sa disposition ce matériel d’illustration et en le conseillant. Ensuite,  ce fut deux ans de travail pour Roger Gaborieau qui est prêt à vous raconter l’histoire si vous voulez bien le suivre

L’Auteur :

Roger Gaborieau, auteur de « L’aviation légère en France, 1920 – 1942″ est journaliste, pilote privé et instructeur de vol à voile, membre du Musée Régional de l’Air – Espace Air Passion – d’Angers.
Passionné d’aviation ancienne et de collection, il a participé à l’édition de plusieurs auteurs dans le domaine de l’aéronautique et acquis l’expérience du contact avec les amateurs de livres aéronautiques.

Souscription à la commande du livre :


La parution étant prévue pour le début novembre 2014,
jusqu’au 30 octobre vous pouvez faire partie des quelques privilégiés qui auront permis la publication de « L’aviation légère en France, 1920 – 1942″. Une souscription sous forme de financement participatif est en cours afin de réunir les fonds nécessaires à l’impression. En fonction du montant attribué, les souscripteurs bénéficient de quelques petits avantages tel que la newsletter, une dédicace personnalisée, une collection exclusive des marques-page « les avion légers des années 30 » ou encore la citation de votre nom dans la page de remerciement des soutiens du projet.
Pour cela, vous pouvez télécharger le formulaire Pdf et le retourner accompagné de votre règlement par chèque.

Pour plus d’informations :
http://www.aviation-legere.fr/
Formulaire de souscription


Bulles d’Air-Evreux 2014

Bulles d’Air
Samedi 8 et Dimanche 9 novembre 2014
Base Aérienne 105  Évreux
Entrée gratuite
Le rendez-vous de la BD et l’aviation aura lieux sur la Base aérienne 105 d’Évreux le week-end du 8 et 9 novembre.
Vous pourrez rencontrer et discuter avec une vingtaine d’auteurs de bande dessinée aéronautique parmi lesquelles Francis Bergèse, Jean Bardaud, Frédéric Marsaly et bien d‘autres (voici la liste complète). Ceux-ci seront très heureux de vous dédicacer leurs œuvres.
Vous pourrez bien sur visiter le musée de la BA105 mais aussi un Transall, avion de transport capable de se poser sur un terrain sommairement préparé et assurant la logistique dans toutes les opérations de l’Armée de l’Air.
De nombreuses autres animations seront organisées tel que la reconstitution d’un camp militaire américain, la présentation d’une quinzaine de modèle de voitures américaines.
Des simulateur de vol seront présents et des animation et jeux seront organisés pour les enfants.

Deux artistes aéronautiques exposeront une partie de leurs œuvres :

Mme PATRICE-CREPIN Agnès : créatrice aéronautique de mobilier design et responsable du site aérodesign à Antibes. http://aero-design.fr/

Mr CHEVALIER Christophe, artiste peintre qui réalise ses œuvres sur des supports aéronautique

Pour plus d’informations :
Bulles d’Air : http://bulledair.hol.es/