Exposition photos au CIS de Reims : les 4 éléments

Vous allez me dire que vous ne voyez pas le rapport entre  cette exposition de photographies organisée par le club photo de Reims « Visions et Reflets » en jumelage avec celui de Salzbourg. mais il se trouve que je suis membre de ce club photos, et sur le thème de l’exposition , « les 4 éléments », j’ai réussi à associer 4 photos en liaison avec l’aéronautique.

Cette exposition inauguré mercredi 5 avril se tiendra  jusqu’au 30 avril au Centre International de Séjour de Champagne (CIS) 21 chaussée Bocquaine à Reims. Entrée libre.

Visions et reflets : http://www.visionsetreflets.fr/


Cessna 120 F-HCES

Cessna 120 F-HCES de Xavier DOREY ©Xavier Cotton

Ce Cessna 120 c/n 11725 vu au meeting d’Épernay en juin 2015 est unique en France. il a été produit dans la série immatriculée N76000 à N77499, donc en 1946. Son immatriculation d’origine N77283, sera conservée jusqu’à sa radiation le 26/11/1991 pour vente à l’étranger. Le dernier  propriétaire américain fut Robert H Webb, 20450 Union Street, Wildomar, CA 92395, il possédait l’avion depuis mai 1983. Immatriculé G-BTYW le 27/11/1991, trois propriétaires successifs, radié le 14/04/2009 pour changement de marques. Devenu G-OWIL le 14/04/2009, trois propriétaires successifs, puis radié le 02/10/2013 pour vente à l’étranger. Il est finalement enregistré en France sous l’immatriculation F-HCES le 18/11/2013 et basé à Vannes

Début 1946 la firme Cessna annonça la commercialisation d’un monomoteur biplace d’école et de tourisme. Monoplan à aile haute et train fixe, ce nouvel appareil sera le premier d’une une lignée de biplaces et quadriplaces de tourisme dont la production n’a pas cessée depuis plus de 60 ans ! Les lignes ont évoluées mais la philosophie reste la même …

Les Cessna 120 est 140 sont identiques, autant dans leur construction que du point de vu motorisation (continental C85-12F), l’absence de volets de bord de fuite, ainsi que la suppression du hublot de fuselage situé en arrière de la cabine permet  théoriquement de distinguer au premier coup d’œil le Cessna 120 du 140. A noter aussi mais moins visible l’absence d’origine de tout équipement électrique, mais au fil du temps, la plupart des Cessna 120 furent équipés d’un hublot arrière et d’une alimentation électrique par leurs utilisateurs, car cette option fut proposée par le constructeur dès 1948, rendant du coup les deux modèles difficiles à identifier.

Caractéristiques techniques du Cessna 120/140 :
Envergure : 10,25 m
Longueur :   6,55 m
Hauteur :1,91 m;
Surface Portante : 14,80 m²;
Masse à vide : 349 kg (Cessna120 sans option) à 433 kg (Cessna 140 avec flotteurs)
Masse maximale autorisée :  658 kg, 706 kg en configuration hydravion
Hélice :  Sensenich bipale
Vne : 224 km/h
Vitesse maximale : 201 km/h
Vitesse de croisière (80%) : 169 km/h
Vitesse d’atterrissage : 67 km/h (120), 64 km/h (140 avec volets)
Passage des 15 m au décollage : 442 m
Passage des 15 m à l’atterrissage : 302 m
Taux de montée initial : 3,5 m/sec
Plafond pratique : 4725 m
Distance franchissable : 725 km

Sources des informations :

Les Cessna 120 et 140 par Jean Louis Bléneau : http://richard.ferriere.free.fr/bleneau/cessna140/cessna140.pdf


FUJI FA-200-180 Aero Subaru PH-GIN

FA-200-180 Aero Subaru PH-GIN ©François Pages

Voici un avion rare en France, le FUJI FA-200-180 Aero Subaru, le PH-GIN bien qu’immatriculé aux Pays-Bas est basé sur le terrain de Bordeaux Léognan-Saucats  (LFCS). Sorti d’usine en 1974, Il porte le numéro de série 255 sur les 299 appareils produits. Un seul exemplaire est inscrit au registre des avions immatriculés en France le F-GXDE.
Premier avion de tourisme japonais, le Fuji FA-200 Aero Subaru fait son premier vol en 1965. Certifie trois puis quatre places mais aussi biplace voltige en 1967, l’Aero Subaru existe avec deux motorisations Lycomimg 160 et 180 hp La production démarrera en 1968.
Cet avion quadnplace monomoteur aile basse, train tricycle fixe a les ailes assez droites et rectangulaires avec un dièdre important, celles-ci contiennent chacune un réservoir de 120l de carburant. Toute la cellule et les ailes sont en alu riveté.  De larges ailerons Frize courent en bout d’aile. Les volets Fowler ont trois positions ( 15°, 25° et 35°) et sont actionnés manuellement.

FA-200-180 Aero Subaru PH-GIN ©François Pages

Le FUJI FA-200-180 Aero Subaru existe avec le moteur Lycoming 160 ou 180 Cv, ce ne lui permet pourtant qu’une assez faible vitesse de croisière autour de 100 kt, que grande autonomie compense un peu.

 

Tableau de bord du FA200-180 Aero Subaru PH-GIN ©François Pages

Caractéristiques :

FUJI FA-200-180 Aero Subaru : quadnplace de voyage Biplace de voltige
Premier vol  : 12 aout 1965
Nombre d exemplaires construits :  299 dont près de la moitié fut exportée
Constructeur FUJI Heavy Industries (Japon)
Dimensions :
Longueur : 7,96 rn
Hauteur : 2,59 m
Envergure :9,42rn
Moteur : Lycoming 180 hp (ou 160 hp)
Hélice :
Mc Cauley Bipale fixe (sur le ph-GIN présence d’une hélice tripale)
Masses et capacités :
Masse à vide : 650 kg
Masse max : Utilitaire (1150 kg) Voltige (940 kg)
Charge utile pleins complets : Utilitaire (328 kg ) Voltige (118 kg)
Réservoirs : 2x120L (172 kg)
Performances :
Vitesse de croisière a 75% : I00 kt
Consommation : 36 l/h
Vitesse max : 128kt
Voltige : +6 -3g
Range (avec 45 min réserve] : 70% 920 km 60% 1060km
Décrochage :
Lisse : 58 kt
15°    : 55 kt
25°    : 48 kt
35°    : 45kt
Prix : Les occasions se situent autour de 55 000€ selon état et potentiel
 
Contacts utiles
FUJI Club Allemagne : www.fujiflyer.de
Subaru France: www.subaru.fr
Source d’infos :

« Le temps des hélices », le bulletin de l’AJBS

« Le temps des hélices », c’est le nom de baptême du meeting annuel de l’Amicale Jean-Baptiste Salis qui se déroule à la Ferté Alais chaque we de pentecôte, mais depuis le 28 février c’est aussi le nom du nouveau bulletin de l’AJBS.

Afin d’améliorer sa communication aussi bien interne qu’externe, l’AJBS à décidé de créer ce bulletin/journal qui sera publié plusieurs fois par an.
 Vous pourrez ainsi découvrir toutes les activités de l’Amicale, ses projets, prendre connaissances de nouvelles fraîches mais également des dossiers techniques et historiques.

Ce bulletin est distribué en PDF sur le site de l’AJBS   (http://www.ajbs.fr) , mais  également en format papier pour les membres de l’AJBS qui le souhaiteraient
Le numéro 1 du temps des hélices est téléchargeable sur ce lien :

Le temps des hélices n°1

Espérant que  ce bulletin vous intéressera  au plus haut point, L’AJBS est bien évidemment dans l’attente de vos retours sur ce nouveau mode d’échange d’informations dans le but d’améliorer  les numéros à venir. Bonne lecture.


Fly in JODEL à Compiègne-Margny

Pour la septième année l’aéroclub Georges Guynemer de  Compiègne-Marny reconduit Son Fly-In JODEL le samedi 27 mai. le traditionnel buffet  froid est prévu pour 12€

Pour tout renseignement contactez :

Aéroclub Georges Guynemer de  Compiègne-Marny : http://www.accm60.com/

Tel 03 44 83 32 12

mail : acoise@wanadoo.fr


L’aérodrome de Cahors-Labéraudie 1931-1970

 

L’aérodrome de Cahors-Labéraudie / 1931-1970

Serge Austry – Claude Lufeaux

Préface de René Fournier, constructeur d’avions

Parution prévue avril–mai 2017

« Début des années 30, à l’ère du développement de l’aviation civile dopée par les progrès techniques initiés lors de la Première Guerre Mondiale, c’est le temps des héros, des records, des premières lignes intercontinentales, des rêves les plus fous. Avec la multiplication des terrains d’aviation, le plateau de Labéraudie va devenir, sur 14 hectares, et durant 40 années, le terrain officiel de l’Aéro-club du Quercy.

A ces lieux seront associés de nombreux passionnées par l’aéronautique : Gaston Artigalas, premier président du club, Paul Orliac, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, le docteur Etienne Barret de Nazaris, Camille Baboulène, génial constructeur. Ouvert officiellement en avril 1935 et inauguré en juin en présence du ministre Anatole de Monzie, il était un refuge sûr pour les avions qui survolaient le relief accidenté de la région. Des exploits dignes des pionniers de l’aviation seront réalisés à partir de cet aérodrome, tel le périple européen de M Laboudie sur un avion Caudron aiglon à moteur Renault . Les meilleurs virtuoses de l’air viennent saluer cet aérodrome : Jérôme Cavali, as de la Seconde Guerre Mondiale, René Paulhan, Michel Detroyat …

Puis vient le temps de l’ouverture à la jeunesse des premiers apprentissages pour démontrer le rôle d’avenir de l’aviation dans les relations entre les hommes. Les notables de l’époque possédaient leur avion (Caudron, Potez, Henriot, Broussard, Jodel, Dewoitine…), sans oublier quelques célébrités qui ont fréquenté les lieux : Marguerite Moréno, actrice célébre qui résidait à Touzac, le chanteur Marcel Amont ainsi que les personnalités locales Maurice Faure et Georges Héreil, PDG de Sud-Aviation. Deux avions furent même créés le « Pou du ciel » et l’ « Autoplan » par le docteur Etienne Barret de Nazaris, sans oublier le projet de M. Mourot pour la construction d’un appareil biplace l’ « Ortolan ».Une section aéromodélisme, animée par Camille Baboulène fut récompensée lors de la XVIe exposition aéronautique au Grand Palais à Paris en décembre 1938. Quant aux meetings et baptêmes de l’air, ils assuraient également à l’aérodrome une fréquentation importante et la découverte par les champions et les novices des beautés de notre région…

Les auteurs ne sauraient clôturer la présentation de cet ouvrage sans oublier René Fournier, artiste reconnu au début des années 50, qui, disciple du Docteur Barret de Nazaris pour la technique de construction amateur en bois et toile, décidait alors de concevoir et de réaliser un « avion-planeur ». Aujourd’hui, si son nom et ses avions sont reconnus dans le monde entier, son passage à Labéraudie restera gravé dans toutes les mémoires des passionnés d’aviation ».

160 pages / 170 photos et documents d’époque / format 21 x 26 cm / broché, dos carré collé, couture fil

Février 2017 :Lancement de la souscription au prix préférentiel de 20 € (jusqu’au 31 mars).

Prix public  : 25 € (parution prévue avril-mai 2017)

Informations / bulletin en téléchargement / souscription en ligne sur le site www.edicausse.fr

bulletin  de souscriprion en PDF


AceS n°2 Les as de l’histoire de l’aviation mondiale

Le second numéro de la revue trimestrielle (février-mars-avril 2017) AceS, les As de l’Histoire de l’aviation mondiale est sortie en kiosque. Ce numéro de belle facture, richement illustré et aux textes agréables à lire aborde la vie des trois As suivants, Roger Sauvage (pilote français du Normandie-Niémen), Stanislaw Skalski (pilote Polonais  qui vola dans la RAF) et Adolf Galland (pilote Allemand). Je précise que l’article sur Adolf Galland s’arrête fin 1941 et que la suite sera publiée dans un numéro à venir.Vous  trouverez aussi  dans ce numéro un article sur les Yak-3 du Normandie et un sur l’aviation populaire pépinière d’as de la chasse française.  Deux nouvelles rubriques font leur apparition,  l’une consacrée aux maquettes parle du Yak-3 n°4 blanc de Roland de la Poype et l’autre traitant des livres sur l’aviation.

  • Roger Sauvage, la soif de voler (M. Souffan)
  • Les chasseurs Yak du « Normandie » (D. Breffort)
  • Le Yak-3 « n° 4 blanc » de Roland de la Poype (O. Soulleys)
  • L’Aviation Populaire, la pépinière d’As de la chasse française (J.-Ch. Stasi)
  • Stanislaw Skalski, le combat pour la liberté (M. Souffan)
  • Adolf Galland, le grand veneur (E. Lefèvre)
  • Bibliographie (J.-Ch. Stasi)

AceS N°2
Éditions Heimdal
98 pages
21 x 29,7cm
11€

SARL éditions Heimdal à Damigny BP 61 350, 14 406 Bayeux cedex – Téléphone. : 02 31 51 68 68 – Fax. 02 31 51 68 60 – www.editions-heimdal.fr


L’Etendard IV M exposé sur l’USS Intrepid sauvé par des marins français

Etendard IVM sur le pont d’envol de l’USS Intrepid à New-York (juin 2003) ©Xavier Cotton)

 

Vu sur le site de l’Echarpe Blanche ( http://www.lecharpeblanche.fr)

« A cause d’une situation administrative un peu compliqué, le Dassault Etendard IVM préservé sur le porte-avions musée USS Intrepid à New York qui était probablement voué à la destruction sera restauré par une association de marins français de l’état-major de l’OTAN à Norfolk, aux États-Unis. Une fois l’appareil restauré, celui-ci retrouvera sa place sur l’USS Intrepid. »

Lire l’article complet sur Mer et Marine.

 


AVRO ANSON G-AMCI

Avro 652A Anson G-AMCI ©Jacques Hémet

Jacques Hémet  nous fait de nouveau partager un petit trésor de sa collection personnelle de photos aéronautiques. Encore une fois grâce aux habitués d’Aerostories (http://www.aerostories.org) l’avion  fut vite identifié comme étant l’ Avro 652A Anson Mk XI qui a figuré brièvement sur le registre britannique: immatriculé G-AMCI le 01/06/50 (ex NK987) et radié le 20/12/50. Le propriétaire était Russell Littledale Whyham/Air Navigation & Trading Co. Cet appareil avait été vendu « pour pièces » et a été reconstruit mais aussi modifié, le vitrage de cabine n’étant pas standard d’un modèle.


l’Armée de l’Air achète des Pilatus PC-21

Pilatus PC-21 au Salon du Bourget 2013 ( photo Xavier Cotton)

Pilatus PC-21 au Salon du Bourget 2013 © Xavier Cotton

 

Le  4 janvier dernier,  Pilatus révélait une commande de 17 avions PC-21 par l’Armée de l’air Française dont le bon de commande était en fait signé depuis le 30 décembre 2016.

l’Armée de l’Air française a fait le choix parmi ces trois avions : le M-345 HET (High Efficiency Trainer) du constructeur italien Alenia Aermacchi, le L-39 du tchèque Aero Vodochody et le Pilatus PC-21 suisse. Et c’est finalement l’avion à hélice, le seul mono-turbopropulseur en compétition qui a remporté l’appel d’offres. Celui-ci malgré un coût de maintenance réduit embarque une avionique moderne et possède des performances en vol correspondant aux avions de formation actuellement en service. Équipé du turbopropulseur PT6A-68B Pratt & Whitney délivrant 1 600 Cv, le PC-21 décolle sur 800m avec une masse maximale de 3100kg et monte avec plus de 20m/s au vario, il atterri en moins de 1 000 m. L’appareil peut évoluer entre +5G et -2,5G en conditions  de vol standard d’entrainement, mais peut aller jusqu’à +8G à -4G lors de certaines figures de voltige aérienne.  Le PC-21 biplace en tandem est long de 11,23m et large de 9,10m et affiche 625km/h sans soucis en vitesse de croisière. Cet avion possède une avionique moderne à base écrans tactiles, que l’on retrouve sur les avions de combat de dernière génération,

Ces 17 appareils, dont les premiers devraient être livrés à partir de 2018, seront stationnés sur la base aérienne 709 de Cognac, où a lieu une partie de la formation des pilotes de chasse et des navigateurs officiers système d’armes. Les PC-21 finiront par remplacer les Alpha Jet de Tours dont l’avionique est d’une génération trop ancienne par rapport a celle du Rafale.

Huit nations on commandé  ou utilise déjà dans leur force aérienne des Pilatus PC-21 : la Suisse (8), Singapour (19), les Emirats arabes unis (25), le Qatar (24), l’Australie (49), la Jordanie (8), et l’Arabie Saoudite (55).

 


Flying 80

L’aéroclub d’Albert-Meaulte organise le 28 mai 2017 une rencontre des avions de construction amateur dessiné par Claude PIEL


Georges Guynemer par Jean-Marc Binot

JEAN-MARC BINOT
PRÉFACE DU GÉNÉRAL ANDRÉ LANATA
CHEF D’ÉTAT-MAJOR DE L’ARMÉE DE L’AIR
Georges Guynemer

Il ne lui a fallu que deux ans et demi pour devenir une légende. Engagé volontaire alors qu’il avait été dispensé de service pour raisons de santé, d’abord simple élève mécanicien, Georges Guynemer est le premier pilote à être cité au communiqué officiel du Grand Quartier Général, après avoir abattu son cinquième ennemi en février 1916. Dans les mois qui suivent, les victoires s’enchaînent et il est proclamé as des as, promu capitaine puis officier de la Légion d’honneur. A vingt-deux ans à peine.
Pourtant la véritable histoire de celui qui a laissé son nom à d’innombrables rues, écoles et autres bâtiments publics reste mal connue, écrasée par une profusion d’hagiographies et d’ouvrages romancés.
Rédigé à partir d’archives pour une part inédites, notamment celles de la famille de Guynemer, cet ouvrage cherche à dépasser le stade de l’épopée pour approcher celui de l’histoire, en soulignant les conditions qui ont permis la construction du « mythe Guynemer », notamment une aéronautique militaire embryonnaire à la recherche d’une figure de proue et une propagande qui tente d’humaniser un conflit, où l’on meurt surtout victime d’obus, sans voir le visage de son ennemi. Objet de culte, l’aviateur est élevé au rang d’icône nationale afin de maintenir le moral d’un pays entièrement mobilisé par l’effort de guerre, et d’offrir aussi bien aux « poilus » qu’à la population un héros d’exception, capable d’incarner le courage et la volonté, qualités présumées des Français.

Jean-Marc Binot est spécialiste de l’histoire militaire. On lui doit, entre autres, chez Fayard, Héroïnes de la Grande Guerre, et Le repos des guerriers.

 

En librairie le 8 mars 2017