Air Legend Paris-Villaroche 7 et 8 septembre 2019

 

Paris-Villaroche AIR LEGEND
Aérodrome de Melun-Villaroche
Samedi 7 et dimanche 8 septembre 2019

Un des plus grands meetings aériens d’Europe aux portes de Paris !

Créé en 2018, le Paris Air Legend se déroule chaque année, le deuxième week-end de septembre, sur l’aérodrome de Melun-Villaroche, situé à 40 km au sud-est de Paris. Succès incontestable, ce show exceptionnel est l’occasion de voir voler des avions mythiques, rarement ou jamais vus en France. Le PARIS-VILLAROCHE AIR LEGEND propose également un village d’exposants avec de nombreuses boutiques et des animations pour toute la famille. Petits et grands pourront par exemple s’essayer aux simulateurs de vol. Plusieurs reconstitutions historiques, tels que des camps USAAF, RAF, Russe/Normandie-Niemen, Armée de l’Air 1939 et Luftwaffe, ainsi que le groupe vocal « Satin Dolls Sisters », transporteront le public dans l’ambiance des fêtes aériennes d’antan

LE PROGRAMME

Jeudi 5 – vendredi 6 septembre 2019
Journées professionnelles axées sur l’emploi et la formation dans le secteur industriel et aéronautique, organisées par le SYMPAV (Syndicat Mixte du Pôle d’Activités de Villaroche), qui gère l’aérodrome de Melun-Villaroche.
Ces deux journées pré-meeting donneront aux visiteurs l’occasion de rencontrer des entreprises aéronautiques, des institutionnels, des écoles spécialisées, des compagnies d’aviation d’affaires, des équipages, des pilotes… et de s’essayer aux simulateurs de vol !
Entrée gratuite sur invitation.

 

samedi 7 et dimanche 8 septembre

Le Show Aérien avec un plateau exceptionnel

• Un plateau d’une dizaine de jets de collection sera présenté pour la première fois en Europe : MIG15, F86, T33, Fouga…
• Un nombre exceptionnel de warbirds : Bearcat, Avenger, Skyraider, Corsair… avec plusieurs Spitfire, Mustang et Yak voleront en formation.
• Le Curtis P36, le Hawk 75 et le Morane 406 seront réunis en vol pour la première fois, afin de rendre hommage à la chasse française de la « drôle de guerre ».
• À découvrir également, des avions rares, tel que le BD5J, le plus petit avion à réaction au monde.
• Plusieurs Rafale Marine, le Rafale Solo Display, la Patrouille de France, la Patrouille Tranchant et de nombreux autres appareils complèteront ce plateau… de légende

Horaires :
8h : Ouverture au public
9h : Ouverture réceptif VIP
10h-12h : Visite du parking avions
10h-18h : Village exposants, animations, simulateurs…
13h-18h : Show aérien

Infos pratiques

 Tarif des billets

22 € en prévente – 24 € à partir du 1er juillet
27 € le jour du meeting
12 € pour les 12-16 ans
Entrée gratuite pour les moins de 12 ans
Accès au parking avions (10h-12h) : 5 €
Chaise pour spectacle aérien : 5 €

Les billets sont disponibles en prévente sur : www.airlegend.fr

 

En voiture de Paris :
rejoindre par A5b sortie 13 Réau Villaroche ou sortie 12 Limoges Fourches

En transports en commun : RER D

Présence de navettes au Paris Air Legend les 7 et 8 septembre :
– Depuis la gare de Melun vers l’aérodrome : toutes les 30 mn de 7h30 à 12h.
– Depuis l’aérodrome vers la gare de Melun : toutes les 30 mn de 18h à 20h.
– Depuis la gare de Lieusaint vers l’aérodrome : toutes les 30 mn de 7h30 à 12h.
– Depuis l’aérodrome vers la gare de Lieusaint : toutes les 30 mn de 18h à 20h.
Titres de transport vendus à bord : 3 € le trajet. 6 € l’aller/retour.

En avion ou hélicoptère : nous contacter (places limitées).
Coordonnées GPS : 48° 36′ 24″ nord, 2° 40′ 13″ est.


21eme Coupe d’Europe de Montgolfières

21ème Coupe d’Europe de Montgolfières

et

26ème Coupe du Monde des Dames

31 juiillet au 4 août

Mainfonds Aubeville

5 sites pour 5 dates à retenir

  • Mercredi 31 Juillet : ROYAN – SEMUSSAC
  • Jeudi 1er août : Pôle Mécanique La Genétouze
  • Vendredi 2 août : Angoulême, L’île aux vaches
  • Samedi 3 août : Jonzac, Aérodromme
  • Dimanche 4 août : Mainfonds Aubeville

La Coupe d’Europe de Montgolfières La Coupe d’Europe de Montgolfières est devenue un des évènements majeurs du calendrier aéronautique mondial.

  • 36 équipages en compétition
  • 18 en fiesta
  • 18 équipages étrangers

La manifestation est homologuée par la Fédération Internationale d’Aérostation

Le dimanche aura lieu à Mainfonds Aubeville AIRPORT un meeting aérien avec  :

  • Passage de la patrouille de France
  • Des avions de collection (SEA5 – Kiebitz biplan 33AML – MORANE MS317 – Nieuport 17 – Maule ) Patrouille BULLDOG TEAM – COMET – C337 PUSH PULL – Sia Marchetti 260 – Fouga Magister – T6
  • De la voltige aérienne avec Pascale Alajouanine
  • Wing walker
  • Ballet d’hélicoptères (dauphin de l’aéronavale
  • Festival de patrouilles aériennes (Patrouille Reva et Yako team,un Diamond DA42NF et deux Cirrus SR 20)
  • Le Rafale en démonstration SOLO DISPLAY
  • La Patrouille Breitling  Jet Team

 


La Navette bretonne

La Navette bretonne  » composée du MH-1521 Broussard (F-GDPX) et du Colomban MC 15 E Cricri (F-PZTU) au meeting de La Ferté-Alais 2013 © Xavier Cotton

A  l’occasion de certains meetings dont celui de La Ferté-Alais vous pouvez voir cet attelage surprenant. Celui-ci est voulu comme un clin d’œil sympathique à la combinaison, navette spatiale transportée sur le dos d’un B747, pour sa part la « Navette bretonne » est constituée d’un  Cri-Cri MC15E monté sur le dos d’un Broussard sorti des usines Max-Holste de Reims en 1959. La première apparition de la « Navette bretonne » date de 1990 sous les couleurs rouge et blanche de Britanny Ferries.Yves Duval (le papa de Hugues) commandant de bord Air France et collectionneur d’avions basés à Rennes  à l’idée de monter un Cri-Cri MC15 sur le dos d’un broussard et d’effectuer une séparation en vol. Il en soumet l’idée à Michel Colomban, le concepteur du plus petit bimoteur eu monde qui accepte le défi, il vérifie les conséquences aérodynamiques de cet attelage et conçoit avec précision une armature solide fixée sur le dos du Broussard sur laquelle viendra se fixer le MC15, mais aussi un système de largage simple et rapide permettant de libérer en toute sécurité. le Cri-Cri en plein vol, lui permettant ainsi de s’envoler de ses propres ailes et d’accompagner le Broussard tel un poussin et sa mère-poule.

Hugues Duval

Depuis une dizaine d’année, Hugues Duval se bat pour maintenir en vol le patrimoine aéronautique familial à travers l’association « Yankee Delta » crée par son père. Pour cela en plus de son métier de pilote sur Boeing 777 chez Air France , il enfile très régulièrement la combinaison rouge et malgré ses 1m 90, il se met aux commandes du Cri-Cri dont il a remplacé les moteurs thermiques par des moteurs électriques, pour présenter en meeting aérien « La Navette bretonne« , mais aussi, en compagnie de quatre pilotes d’exception  (Jack Krine, Pierre Fages, Claude Espinet, Arnaud Kervella) il prend la place de leader de la « Patrouille Tranchant » composée de cinq Fouga Magister.

Robert Laurent et Hugues Duval installent le cricri MC15E (F-PZTU) sur le dos du MH-1521 Broussard (F-GDPX)lors du meeting de La Ferté Alais 2013 © Xavier Cotton

Hugues Duval pilote du Colomban Cricri MC15E Cricri (F-PZTU) monté sur le MH-1521 Broussard  (F-GDPX) formant ainsi la fameuse Navette bretonne  © Xavier Cotton

Si vous avez assisté à la mise en place de la navette lors du meeting, vous avez vu un camion grue loué pour l’occasion– pouvant soulever jusqu’à 100 tonnes – déplacer les 121 kg de masse à vide du Cri-Cri au bout d’une élingue. Une fois arrimé sur le Broussard, Hugues Duval monte à bord. Robert Laurent prend les commandes du Broussard et met en route le moteur en étoile Pratt et Whitney de 450cv. Depuis que des moteurs électriques ont remplacé les moteurs thermiques sur le Cri-Cri, leur démarrage est largement simplifié, son pilote peut les éteindre et les mettre en route quand il veut.  

La Navette bretonne au décollage lors du meeting de La Ferté-Alais 2013 ©Xavier Cotton

Pendant le décollage plein gaz du Broussard, le potard des moteurs électriques du Cri-Cri  MC15E est poussé à fond.

La Navette bretonne Broussard (F-GDPX) et Colomban MC15E Cri-cri (F-PZTU ) lors du largage au meeting de Meaux 2018 © Xavier Cotton

Ensuite le “Navette Bretonne” revient verticale piste faire un passage, c’est alors que le compte à rebours  est lancé en direct sur la fréquence radio du commentateur : 3, 2, 1, top ! L’anneau libère les câbles, le Cri-Cri délivré de ses chaînes se cabre instantanément subissant une accélération d’environ 2,5G… Largage réussi !

Navette bretonne Broussard (F-GDPX) et Colomban MC15E Cricri (F-PZTU) au meeting de Meaux 2018 ©Xavier Cotton

on assiste alors à quelques passages en patrouille de la mère poule accompagné de son poussin , puis chaque avions se posent l’un après l’autre.

Merci à tous ceux qui assurent la réussite de la présentation de « La Navette bretonne » et ceci en toute sécurité.  Cet  attelage si particulier anime de façon très particulière les meetings aériens auxquels il participe.

Contact

www.yankeedelta.com : la Navette bretonne


Air Legend 2019 Paris-Villaroche

Un des plus grands meetings aériens d’Europe aux portes de Paris !

Rendez-vous les 7 et 8 septembre 2019 sur l’aérodrome de Melun-Villaroche

Le PARIS-VILLAROCHE AIR LEGEND aura lieu samedi 7 et dimanche 8 septembre, sur l’aérodrome de Melun-Villaroche, en Seine et Marne (77). Il s’agit de l’un des plus grands meetings aériens d’Europe, avec plus de 100 appareils présentés ! Ce show exceptionnel sera l’occasion de voir voler des avions mythiques, rarement ou jamais vus en France.

Au programme :

  • Un plateau d’une dizaine de jets de collection pour la première fois en Europe : MIG15, F86, T33, Fouga…
  • Un nombre exceptionnel de warbirds : Bearcat, Avenger, Skyraider, Corsair… avec plusieurs Spitfire, Mustang et Yak volant en formation.
  • Curtiss P-36, Hawk 75 et Morane 406 seront réunis en vol pour la première fois, afin de rendre hommage à la chasse française de la « drôle de guerre ».
  • À découvrir également, des avions rares, tel que le BD5J, le plus petit avion à réaction au monde.
  • Plusieurs Rafale Marine, le Rafale Solo Display, la Patrouille de France, la Patrouille Tranchant et de nombreux autres appareils complèteront ce plateau… de légende !

Sur le tarmac :

Dans les airs, le spectacle sera exceptionnel et sur le tarmac, l’ambiance garantie, avec des animations pour toute la famille ! Un village d’exposants, avec des boutiques et des stands de restauration accueillera le public tout au long du week-end.
Les concerts des « pin up » Satin Doll Sisters (groupe vocal féminin) feront revivre avec humour et glamour, l’ambiance des fêtes aériennes d’antan.
Des simulateurs de vol de P-47 Thunderbolt, d’Airbus A320 et de l’Armée de l’air seront à la disposition des petits et des grands.
Des reconstitutions de camps RAF, USAAF, Luftwaffe, Russe/Normandie-Niemen… avec des véhicules d’époque, plongeront les visiteurs dans les années 40.
Des vétérans aviateurs de toutes nationalités, témoins des grands conflits du 20ème siècle, seront présents par le biais du French Wing, l’unité française de la Commemorative Air Force.

Un site chargé d’histoire

L’événement se déroulera sur l’aérodrome mythique de Melun-Villaroche, situé à 40 km au sud-est de Paris, célèbre notamment pour les essais en vol, civils et militaires, menés entre autres par Dassault Aviation, Breguet Aviation ou même Morane Saulnier. Aujourd’hui Melun-Villaroche reste un centre aéronautique important, ouvert à la circulation aérienne publique depuis octobre 2014. Ici se côtoient aviation ancienne, de loisir et professionnelle.

Informations Pratiques

Samedi 7 et dimanche 8 septembre 2019

8h00 : ouverture au public
9h00 : ouverture espace VIP
10h -12h : visite du parking avions
9h -18h : village exposants, animations, simulateurs de vol…
13h -18h : show aérien

Accès

En voiture de Paris : A5b sortie 13 Réau-Villaroche ou sortie 12 Limoges Fourches
En transports en commun : ligne D ou R. Navettes spéciales Paris-Villaroche Air Legend les 7 et 8 sept.
En avion ou hélicoptère : contacter Air Legend (places limitées)
Coordonnées GPS : 48°36’24’’Nord, 2°40’13’’Est

Tarifs

22€ en prévente
27 € le jour du meeting
12 € pour les 12-16 ans
Entrée gratuite pour les moins de 12 ans

Accès au parking avions (10h-12h) : 5€
Chaise pour spectacle aérien : 5€

Billetterie (prévente) : https://ticket.anixy.com/airlegend2019/payant


FIN DU CONTRAT ENTRE BREITLING ET LA PATROUILLE APACHE AVIATION

Breitiling Jet Team à Meaux en 2018 ©Xavier Cotton

Apache Aviation annonce qu’à la fin de la saison 2019, sa patrouille de sept L-39 Albatros ne volera plus sous les couleurs de la marque Breitling.

Breitling a décidé de ne pas renouveler en fin d’année son contrat de sponsoring avec Apache Aviation, opérateur du Breitling Jet Team depuis 17 ans.

Breitling Jet Team a été établie en 2003 comme la première patrouille acrobatique professionnelle civile au monde volant sur jet.
La patrouille s’est produite en Europe, Asie, Moyen-Orient, Amérique du Nord, réalisant des centaines de démonstrations avec ses 7 jets L39 Albatros. Elle a fait également découvrir les sensations fortes de la voltige en formation à des milliers de passagers, Apache Aviation étant la seule organisation au monde à proposer ce type d’expérience multijets.

Apache Aviation est opérateur d’une patrouille acrobatique depuis 1982 connue sous les couleurs de Martini, Ecco/Adecco puis Breitling.
Elle a effectué, à ce jour, en sécurité 3 000 démonstrations dans 39 pays.

Pour la saison 2020 et les suivantes, Jacques Bothelin, Président d’Apache Aviation, met en place une stratégie de recherche de sponsors en s’appuyant sur un savoir-faire unique développé au cours de 37 ans de démonstrations aériennes. Le futur de l’équipe qu’il dirige devrait être assurée à travers, soit un sponsor unique, soit un pool de co-sponsors.

« L’avion de chasse est une machine d’excellence, un vecteur de communication inégalé pour assurer à une marque une visibilité unique, que ce soit sur les événements publics, via Internet et les réseaux sociaux et par toutes les opérations privées pour lesquelles la patrouille se tient à la disposition du sponsor. L’acrobatie aérienne offre un spectacle fascinant, un condensé de maîtrise et de style. » rappelle Jacques Bothelin.

Flexible, transgénérationnelle et non contrainte par un calendrier sportif, la patrouille acrobatique est l’outil de communication qui offre l’un des meilleurs retours sur investissement et une expérience client inoubliable. Les futurs partenaires d’Apache Aviation bénéficieront de 30 démonstrations annuelles dans 10 pays d’Europe, complétées par des opérations sur mesure.

Solo Breitiling Jet Team à Meaux en 2018 ©Xavier Cotton

À propos d’Apache Aviation
Basé à Dijon-Longvic et fondé en 1982 par Jacques Bothelin, Apache Aviation est un opérateur de patrouilles acrobatiques professionnelles et opérateur de travail aérien référencé depuis 12 ans par le Ministère de la Défense français avec une flotte de 20 appareils, principalement jets et turbopropulseurs. La filiale Apache Aviation Training & Services créée en 2018 propose un module de formation UPRT (Upset Prevention & Recovery Training) et de la formation au vol en patrouille avec une flotte de 6 TB-30 Epsilon. www.apache-aviation.com


Formation sur PC-21 dans l’armée de l’air

Pilatus PC-21 de la base aérienne de Cognac présenté au Salon du Bourget 2019 ©Xavier Cotton

Le Pilatus PC-21 est le nouvel avion d’instruction des équipages de chasse de l’armée de l’air. A partir de ce début juillet 2019 remplace les TB30 Epsilon de de l’école de pilotage de l’armée de l’Air (EPAA) de Cognac et les Alphajet de l’École d’aviation de chasse (EAC) de Tours. Les deux premiers exemplaires sont arrivés sur la base aérienne 709 de Cognac-Chateaubernard le 30 août 2018, depuis début 2019, 15 autres sont arrivés soit au total 17 Pilatus PC-21 immatriculés 709-FC à 709-FS (c/n 293 à 309). La première promotion d’élèves pilotes formés sur PC-21 arrive en juin 2019.

Fabriqué par la société suisse Pilatus, le PC-21 est bien plus qu’un avion, c’est un véritable système de formation, grâce à des outils d’apprentissage au sol les stagiaires sont immergés dans un environnement proche des avions d’armes modernes. Le PC-21 permet également de faire des économies en heures de vol et de racourcir la durée de formation des stagiaires.

Avec cette acquisition, l’armé e de l’air devient le second opérateur européen apres la Suisse et le 8ème client militaire au niveau mondial. Babcock France assure l’exploitation et la mise à disposition de ces aéronefs et des systèmes d’entrainement associés

Les dix-sept PC-21 et leurs simulateurs associés sont prévus pour former annuellement 30 pilotes de chasse et 10 navigateurs officiers système d’armes de l’armée de l’air, dix pilotes pour la Marine nationale ainsi que 10 moniteurs simulateur. La pleine capacité sera atteinte en 2020 peu avant la fermeture de la plateforme aéronautique de Tours, un an plus tard

Pilatus PC-21 de la base aérienne de Cognac. Deux places en tandem, l’élève est devant, l’instructeur en place arrière ©Xavier Cotton

Doté de nombreuses qualités aéronautiques et d’un cockpit moderne, ce monoturbopropulseur se rapproche grandement d’un avion de chasse de dernière génération au niveau avionique. Le système embarqué garantit un haut niveau de représentativité des missions tactiques grâce à ses capacités de simulation.il supporte des facteurs de charge de -4G à +8G sensiblement identiques aux capacités du Rafale

Selon le programme, les stagiaires effectuent une première phase initiale sur Cirrus SR20 (phas1) à Salon de Provence, ils entament ensuite à Cognac le tronc commun à tous les pilotes militaires (chasse ou transport sur  Grob 120). Ensuite en fonction de leurs résultats de leurs motivations et des places disponibles, il sont orientés vers la chasse ou le transport. Pour les futurs pilote de Mirage 2000 ou de Rafale, la formation se poursuit sur PC-21 (phase basic, puis Advanced) La priorité de la phase Basic reste l’apprentissage des fondamentaux du pilotage (gestion  des pannes, voltige, vol en formation, navigation, vol de nuit). Les stagiaires découvriront quelques thèmes tactiques de base comme l’interception simple ou la délivrance  de l’arment en fin de base advanced.

Avec ce système de formation la simulation au sol a le vent en poupe 40% de la formation des stagiaires, soit 80 heures, a dorénavant lieu au sol. Simulateur de vol (Full Mission Simulator), simulateur de vol simplifié (part Task tTainer), Simulateur d’éjection ou encore moyen de formation informatique (computer based Trainer) et système local de préparation et de restitution d’émission équipent l’école de pilotage de l’Armée de l’air. Ces équipements peuvent être interconnectés pour réaliser des missions combinées.

Tableau de bord de la place arrière (où se trouve l’instructeur) d’un Pilatus PC-21 de l’Armée de l’air française ©Xavier Cotton

Sur le plan technique, la simulation embarquée de l’avion est une réelle plus-value. Grâce à elle, les pilotes peuvent mettre les avions en réseau, capacité que les élèves retrouvent sur Mirage 2000D, Mirage 2000-5 ou Rafale, il leur est aussi possible de simuler l’apparition d’avions fantômes et de faire réagir les élèves en conséquence. Le PC-21 dispose de capacités avancées de simulation air-air (tir de missile, détecteur d’alerte,etc) et air-sol (tir canon, tir de bombe en palier en semi-piqué notamment). Par exemple au cours du vol, le moniteur peut générer et piloter des cibles air-air (cap, niveau vitesse) et émuler des menaces sol-air. Les instructeurs font ainsi découvrir aux élèves pilotes certaines notions de base qu’ils approfondiront ensuite en escadron de transformation opérationnelle et en escadron de chasse.

Pilatus PC-21 709FF de la Bae aérienne 709 de Cognac vu de l’arrière ©Xavier Cotton

Caractéristiques de l’avion

  • Longueur : 11,22 m
  • Envergure : 9,11 m
  • Hauteur : 3,75 m
  • Surface alaire : 15,22 m2
  • Poids max. au décollage et atterrissage : 3 100 Kg
  • Places : 2 en tandem
  • Moteurs  : Turbopropulseur  PT68B délivrant 1600 ch
  • Hélice : 5 pales en graphite de 2,39 m de diamètre
  • Vitesse de croisière maximale : 690 km/h- 370 Kts-.0,72 Mach
  • Vitesse maximale : 690 km/h- 370 Kts-.0,72 Mach
  • Distance de décollage : 490 m
  • Distance d’atterrissage : 600 m
  • Vitesse de décrochage : 150 km/h 81Kts
  • Réservoir : 690 l
  • Autonomie  : 1300 km soit 2 h 20 min de vol
  • Plafond : 25 000 fts
  • Facteur de Charge maximum en configuration lisse : +8g / -4g
  • Vitesse ascensionnelle  :  4250 ft/min-1295 m/min

 

 


53ème Salon International de l’aéronautique du Bourget (présentations en vol)

Stolp SA-300 Starduster (F-PFJP) TRESCAL ©Xavier Cotton

Ce mercredi 19 juin vers 13h40, le Starduster SA-300 aux couleurs de Trescal (leader mondial de la métrologie) piloté par Jean-Marc d’Hulst a ouvert les présentations en vol. Le Starduster SA-300 a été développé aux États-Unis dans les années 1960 par Lou STOLP. Il est réalisé en tubes, bois et toile, sa construction demande au moins deux ans au constructeur amateur qui bénéficiera ensuite d’un avion reconnu comme l’un des biplans les plus sympathiques de sa catégorie. Celui-ci a été construit en 1989 et appartient aujourd’hui à Jean-Marc d’Hulst , Adjoint au Directeur général chez Trescal Group. Jean-Marc d’Hulst et son Starduster sont des habitués du Salon du Bourget, mais ont aussi participé à ceux de Farnborough en Angleterre et Marakech au Maroc. En 2017, Jean-Marc d’Hulst et son Starduster ont suivi la Patrouille de France lors de sa tourné aux États-Unis pour fêter le centenaire de la rentrée en guerre des américains. Après un voyage d’un mois et demi, l’avion est revenu à Chateau-Thierry où il est basé.

TURKISH AEROSPACE INDUSTRIES, INC. – ATAK T129 HEL ©Xavier Cotton

Dassault Aviation – Falcon 8X ©Xavier Cotton

Dassault – RAFALE ©Xavier Cotton

Airbus – A330neo ©Xavier Cotton

Airbus – A350-1000 ©Xavier Cotton

Fouga Magister CM170 (F-GSYD) de la Patrouille Tranchant piloté par Hugues Duval ©Xavier Cotton

Si Hugues Duval est « ordinairement » Commandant de Bord sur boeing 777, il  présentait ce jour son Fouga au Bourget. Celui-ci et 3 autres constituent la patrouille Tranchant du nom de son sponsor, les autres pilotes étant  des  des « moustachu »s bien connus des metings aériens : Jack Krine, Pierre Fages et Claude Espinet. Cette année au meeting aérien de La Ferté-Alais, la patrouille s’est présentée pour la 1ere fois avec cinq avions. le 22 juillet 2017 la Patrouille à survolé le concert du célèbre groupe U2  et ses 80 000 spectateurs avec des fumigènes, aux couleurs du drapeau irlandais. vert blanc et orange. La patrouille est basée à Rennes et appartient à la société Yankee Delta qui présente aussi en vol la navette bretonne avec un cri-cri largué en vol depuis le dos d’un Broussard.

Pakistan Aeronautical Complex Kamra – JF-17 Thunder ©Xavier Cotton

AIRBUS HELICOPTERS – EC665 TIGRE ©Xavier Cotton

NHIndustries – NH90 CAÏMAN ©Xavier Cotton

Russian Helicopters ANSAT ©Xavier Cotton

La présentation en vol s’est terminée vers 16h00


1ère Journée Européenne de l’Hélicoptère, le 30 juin

Vol d’initiation en Robinson R44 F-HCNR ©Xavier Cotton

 

 

 

 

 

 

Le 30 juin, participez à la 1ère Journée Européenne de l’Hélicoptère

Paris, le 25 juin 2019 – Le 30 juin prochain aura lieu en France, ainsi que dans d’autres pays européens, la première édition de la Journée Européenne de l’Hélicoptère.

Le but de cette journée est de familiariser le plus grand nombre avec cet engin, encore méconnu du grand public, au travers d’événements variés qui incluent des visites, des présentations et des vols de découverte.

Nous encourageons tous ceux qui font partie du monde de l’hélicoptère en France ou dans d’autres pays d’Europe – écoles de pilotage, clubs de vol, industriels, opérateurs civils et militaires etc.- à participer dans cette journée spéciale en organisant des évènements permettant de rapprocher l’hélicoptère du grand public. Ils trouveront des informations sur la démarche à suivre sur le site internet : https://www.journee-helicoptere.fr/copie-de-contact.

Les personnes qui souhaiteraient connaitre les différentes activités organisées près de chez elles pourront consulter ce site web, mis en place à cette occasion : https://www.journee-helicoptere.fr/

En France, plus de 600 hélicoptères sont utilisés dans un large éventail de domaines civils et parapublics. Si certaines opérations comme le sauvetage en mer ou en montagne, ainsi que le transport urgent de malades et blessés sont assez connues du grand public, beaucoup seraient surpris par la variété de missions confiées aux hélicoptères qui incluent l’entretien de lignes électriques et des éoliennes, la lutte contre les incendies, le transport de personnel vers les plateformes pétrolières, le contrôle du trafic routier, la retransmission de grands événements etc.

Les constructeurs d’hélicoptères européens, ainsi que leurs exploitants civils et militaires sont reconnus mondialement pour leur savoir-faire. Rencontrez-les à l’occasion de cette journée spéciale et découvrez avec eux tous les atouts de cet aéronef qui fait partie de notre quotidien.
Suivez la #journeehelico sur Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram et Youtube

A propos de l’Union Française de l’Hélicoptère

L’Union Française de l’Hélicoptère (UFH) a vu le jour en 2004, pour rassembler et représenter les acteurs de la filière hélicoptère, un secteur industriel historique et innovant qui participe au développement et au rayonnement de la France à l’international.
Pour plus d’informations sur les activités menées par la UFH : http://www.ufh.fr/

Contact :
Héliport de Paris
61, rue Henry Farman – 75015 Paris Tel +33 (0)1 45 58 16 17
Fax +33 (0)1 45 58 30 53
contact.journeehelico@ufh.fr


53ème Salon International de l’aéronautique du Bourget (exposition statique)

Turbopropulseur de l’Airbus A400M ©Xavier Cotton

A l’occasion du 53eme Salon International de l’Aéronautique du Bourget, mercredi 19 juin, je vous rapporte un peu d’ambiance photographique en commençant par l’exposition statique. Mais attention, ce reportage ne se veut pas exhaustif de ce qu’il était possible de voir sur le tarmac. Par le choix des machines ainsi que par le cadrage des photos, je cherche  bien-sûr à vous apporter quelques informations, mais aussi une tranche de rêve.

Coté météo, même si le ciel était couvert, nous avons eu que quelques gouttes de pluie à la fin des présentations en vol, alors qu’il était prévu des averses durant toute l’après-midi.

L’exposition commence par les aéronefs équipant l’armée française que ce soit l’Armée de l’Air, l’Aéronavale ou l’ALAT (Aviation Légère de l’Armée de Terre).

L’un (709FF) des 17 Pilatus PC-21, de fabrication suisse, basés sur la BA709 de Cognac fabriqués utilisés pour la formation basique et avancée des futurs pilotes de chasse de l’Armée de l’Air française ©Xavier Cotton

Place avant de l’Eurocopter EC665 Tigre (F-MBJZ) qui équipe l’ALAT et casque vision tête haute du pilote lui permettant de conserver sa cible toujours en vue ©Xavier Cotton

Falcon 8X de Dassault (F-GCDP) ©Xavier Cotton

Réacteur gauche du Falcon 8X (F-GCDP) ©Xavier Cotton

Tableau de bord du biplace Elixir F-HLXR qui deviendra dans les aéroclubs l’avion école par excellence ©Xavier Cotton

Fouga Zephyr (embarqué sur porte-avion) CM175 N°28 (F-AZPF) ©Xavier Cotton

Beriev Be-200ES (RA-21512) hydravion de fabrication russe de lutte contre les incendies de forêt ©Xavier Cotton

Embraer E195-E2  (PR-ZIQ) ©Xavier Cotton

Pilatus PC-12 NG (HB-FXR) ©Xavier Cotton

Airbus A350-1000 de Qatar Airways ( A7-ANH) ©Xavier Cotton

A

CAP20L (F-AZUN) construit par les avions Mudry et conçu par Jean-Marie Klinka ©Xavier Cotton

A suivre les présentations en vol………..


Le « Catalina » N9767 de France’s Flying Wardbirds retourne au USA

Consolidated PBY-5A « Catalina »  N9767 aux couleurs de Jacques-Yves Cousteau de  France’s Flying Warbirds lors du Paris Air Legend 2018 à Melun-Villaroche ©Xavier Cotton

D’après une brève du Fana de l’aviation (N°596 Juillet 2019) France’s Flying Warbirds s’est séparé de son Consolidated PBY-5A « Catalina »  immatriculé N9767. Celui-ci à décollé le 14 juin dernier de Melun-Villaroche pour rejoindre sa nouvelle base Eugene dans l’Oregon

Le « Catalina” N9767 construit au Canada en 1942 fut tout d’abord affecté à la Royale Canadian Air Force sous le matricule 9767 et basé à Reykjavik en Islande. Après son retour dans le civil en avril 1946, il resta longtemps au Canada avant d’être  acheté par Franklin Devaux qui le ramena en France en 1995. Sous le nom “la princesse des étoiles”,  il servit dès octobre 95 de régie volante et d’appareil d’exploration en Afrique à la fameuse émission de télévision animé par Nicolas Hulot : “Opération Okavango”. Durant un an et demi, sa mission l’emmena à Djibouti,  aux Comores, au Kenya, et en Éthiopie avec un seul ennui mécanique, la rupture d’un cylindre dont la réparation prit quelques heures entre deux vols. En 1998 Il refit « La ligne » sous les couleurs d’Air France de l’époque au départ de Toulouse jusqu’en Amérique du Sud en passant par Dakar,  soit 13 000 km. Depuis 2010, le N9767 qui avait rejoint France’s Flying Warbirds  nous régalait par sa présentation majestueuse en vol à l’occasion de nombreux meeting aérien. Comme pourrait dire Nicolas Hulot, les baies vitrées à l’arrière de l’aile sont de véritables « balcons sur le monde ». Pour en savoir plus sur l’histoire de “la princesse des étoiles” allez sur la page du site de France’s Flying Warbird dédié au Consolidated PBY “Catalina” en espérant que celle ci reste affichée malgré son départ.

Consolidated PBY-5A « Catalina »  N9767 aux couleurs de Jacques-Yves Cousteau de  France’s Flying Warbird lors du meeting aérien du Bourget 2018 organisé pour les 120 ans de l’Aéro-Club de France ©Xavier Cotton

Sur les 4000 appareils produits, il fait actuellement parte de la quinzaine en état de vol dans le monde et était le seul en France. Nous souhaitons longue vie au N9767.


English only NO!

« English only NO!«  est le slogan de l’association suisse qui s’oppose à la décision de l’OFAC (Office Fédéral de l’Aviation Civile) de vouloir imposer l’anglais comme seule langue parlée à la radio dans les espaces aériens contrôlés en Suisse avec application à partir du 20 juin 2019.

Le président du Groupe Genevois de Vol à Voile de Montricher pour en relayer l’information en France « C’est pour la Suisse romande une barrière qui va devenir infranchissable par les pilotes VFR français, qui parlent français et qui ne pourront plus traverser les espaces contrôlés suisse romands. Et pour les vélivoles, en été, le parcours habituel est Alpes du Sud – Est du Valais en suisse (Furka) pour des vols de 700 à 1000 km dans la journée. L’arc des Alpes est leur terrain de jeu et de performances.Là on va voir arriver des centaines de planeurs dans la journée qui vont « éviter » de communiquer avec Sion avec les conséquences que l’on peut imaginer. Les planeurs sont invisibles et intraçables si ils débranchent FLARM et Transpondeurs, s’ils en sont équipés. »

L’association s’appuie entre autre sur une étude  de la DGAC de 2017 « Les aérodromes en France confrontés à l’obligation d’utiliser la seule langue anglaise » dont la conclusion est la conservation de la langue française et l’anglais en second niveau si besoin.

Pour plus d’informations vous pouvez lire l’article paru sur le site  piloter.ch  et bien sur sur English only NO!

 

 


Voler ou ne pas voler telle est la question (1972-2012)….. par Jean-Marie Klinka

Voler ou ne pas voler, telle est la question ….

La vie d’ingénieur au service de l’aviation civile (1972-2012)

Jean-Marie Klinka

Jean-Marie Klinka  est né en 1947 à Vernou-en-Sologne dans une famille d’artisans. Devenu ingénieur aéronautique il conservera l’amour du bois hérité de son père menuisier. Dès l’age de 17 ans, formé à l’aéro-club des Ailes du Maine au Mans, Il obtient ses brevets de pilote planeur et avion. Puis il découvrira la voltige avec deux instructeurs rencontrés chez « Avions Mudry » Daniel Héligoin et Louis Peña . Diplômé Ingénieur des Arts et Métiers, il se spécialisa en aéronautique à l’École Spéciale des Travaux Aéronautiques (ESTA). D’abord salarié des « Avions Mudry », puis à son compte dans son propre bureau d’étude, il fut responsable de la conception de la plupart des CAP postérieurs à 1972 (CAP X, CAP 20L, CAP21, CAP 231 EX, CAP 232), et de divers projets pour Pierre Robin, René Fournier, Marc Ranjon, la SOCATA, la SAGEM.

Sa maitrise du logiciel CATIA* le conduira à concevoir, entièrement en CAO (Conception Assisté par Ordinateur), un avion composite, l’Oryx, optimisé pour le vol en croisière rapide.

Ses cultures  » bois » et  » composite » lui permettront de développer en 1988, à l’ENSICA  (École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Construction Aéronautique), une technologie « bois-carbone » qui a fait ses preuves récemment avec le CAP 10 BK. une partie non négligeable de sa carrière a été consacrée à l’enseignement dans les écoles d’ingénieur, ENSICA et Sup’ Aéro à Toulouse et ESEM (École Supérieure de l’Énergie et des Matériaux) à Orléans

En 2002 il rejoint la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile ) pour se consacrer à la certification des avions légers à commencer par le TBM de la SOCATA.

C’est sur l’insistance de Jean-Christian Bouhours spécialiste des avions Caudron  que Jean-Marie Klinka a accepté de rédiger ses mémoires  sous forme d’interview. Il consigne dans ce livre quelques souvenirs, qu’il souhaite destiner aux nombreux camarades qu’il a pu croiser au cours de sa riche carrière surtout dans le milieu de la voltige. Jean-Marie Klinka souhaite par la même occasion rendre hommage à tous les « créateurs » et principalement à Auguste Mudry, qui aurait eu 100 ans en juillet 2017.

Ce livre de 160 pages est agréable à lire grâce à une mise en page très aérée et richement illustré réalisée par Roger Gaborieau. Il  est édité dans la collection « mémoire de l’Aviation civile ». Il reprend la période 1972-1992 de la première édition sortie en 2017 et la complète par la période 1992-2012.

En annexe on trouve plusieurs textes de Jean-Marie Klinka lui-même, un de Jacques Callies sur la remise de la médaille aéronautique à Jean-Marie Klinka, un de Bernard Chabbert sur le premier vol du CAP 20L.

Que vous soyez pilote de voltige aérienne ou futur ingénieur aéronautique , ou tout simplement passionné d’aviation légère il vous faut lire ce livre de mémoire aéronautique qui sortira le 17 juin à l’occasion du prochain salon du Bourget. L’ouvrage est disponible auprès de la mission mémoire de l’aviation civile,vous pourrez le commander en écrivant à patrimoine-memoire-ld@aviation-civile.gouv.fr ou en téléphonant à ces numéros de téléphone 01 58 09 39 37 ou 06 24 51 54 69

*CATIA :(« Conception Assistée Tridimensionnelle Interactive Appliquée ») est un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO) créé au départ par la société Dassault Aviation pour ses propres besoins sous le nom de CATI (acronyme de conception assistée tridimensionnelle interactive).

 

Titre : Voler ou ne pas voler, telle est la question , une vie au service de l’aviation légère (1972-2012)

Auteur : Jean-Marie Klinka

Pages : 160

Format : 20X23cm broché couverture souple

Éditeur : Édité et imprimé par la  DGAC , l’ouvrage est disponible auprès de la mission mémoire de l’aviation civile (patrimoine-memoire-ld@aviation-civile.gouv.fr)

ISBN :  978-2-11-155106-0